dimanche 6 avril 2014

Kabylie: Tizi Ouzou quadrillée par la police: Recours à la force pour tenir un meeting | Kabylie Actualité | Site d'information - Politique, Société, Economie, Science, Technologie, Culture ...

Kabylie: Tizi Ouzou quadrillée par la police: Recours à la force pour tenir un meeting

Tizi Ouzou ressemble à Kaboul. Une ville totalement quadrillée par un énorme dispositif de sécurité, tous les accès qui mènent à la Maison de la culture sont strictement surveillés. Tout ce cirque pour permettre à Sellal de tenir un discours insignifiant dans lequel il embellira le bilan économique de l’Algérie qui est catastrophique, pour faire de lui un chef-d’œuvre du président sortant.
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À cet effet, des centaines d’étudiants Kabyles ont tenu un rassemblement non loin de la Maison de la culture Mouloud Mammeri afin de montrer leur lassitude d’un système dictatorial, illégitime et usurpateur en scandant des slogans et des pancartes hostiles au pouvoir. Ces derniers sont empêchés d’exprimer leur liberté avec un énorme dispositif de sécurité où une trentaine de ces protestataires sont arrêtés par les force de la police.
En outre, selon des sources fiables, le staff de Bouteflika a parvenu à rassembler les grands bras de Tizi Ouzou, voir la mafia qui est dirigé par ce même régime dans le but d’empêcher les manifestants de nuire au meeting de Abdelmalek Sellal. La même source nous a révélé que ce denier à passer la nuit à Tizi Ouzou pour éviter toutes difficultés pour arriver à la maison de la culture.
PAR MOUMENE OUAZZITechnologie, Culture ...

KABYLIE



Publiée le 6 avr. 2014
A/S DES EVÉNEMENTS DE BEJAIA

Meeting des cadres du MAK à Sidi Aïch : « Le 20 Avril est une journée de lutte et de combat et non de folklorisation »

06/04/2014 - 11:42 par SIWEL - Agence kabyle d'information
SIDI AICH (SIWEL) - Alors que l’élément temporel nous rapproche inexorablement de la farce planétaire du siècle, appelée « Elections présidentielles du I7 avril », les cadres du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK), à leur tête, Bouaziz Aït-Chebib, multiplient les meetings et les rencontres avec les citoyens kabyles pour les avertir du danger les menaçant même dans leur existence. Qu’il pleuve ou qu’il vente, les animateurs du MAK sont toujours sur le terrain pour expliquer au peuple kabyle que son avenir dépend fondamentalement de lui-même, c’est-à-dire de son autodétermination absolue, et non de sa cohabitation avec des peuples se nourrissant d’une idéologie inconnue de nos aïeux.
Meeting des cadres du MAK à Sidi Aïch : « Le 20 Avril est une journée de lutte et de combat et non de folklorisation »
Alors que l’élément temporel nous rapproche inexorablement de la farce planétaire du siècle, appelée « Elections présidentielles du I7 avril », les cadres du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK), à leur tête, Bouaziz Aït-Chebib, multiplient les meetings et les rencontres avec les citoyens kabyles pour les avertir du danger les menaçant même dans leur existence. Qu’il pleuve ou qu’il vente, les animateurs du MAK sont toujours sur le terrain pour expliquer au peuple kabyle que son avenir dépend fondamentalement de lui-même, c’est-à-dire de son autodétermination absolue, et non de sa cohabitation avec des peuples se nourrissant d’une idéologie inconnue de nos aïeux.

En effet, hier, Bouaziz Aït-Chebib, en sa qualité de président du MAK, Razik Zouaoui, secrétaire national à la promotion de la langue et culture kabyles (SNDDLCK), Hocine Azem, secrétaire national aux relations extérieures (SNRE) et Farid Djenadi, secrétaire général du MAK, se sont alternés aujourd’hui à Sidi-Aïch dans la prise de parole à l’adresse d’une assistance nombreuse et vivement attentionnée, et ce en dépit d’une bruine incessante. 

Le lieu de la rencontre a eu lieu plus exactement au lieudit « Les Quatre chemins ». Comme de coutume, Bouaziz Aït-Chebib prendra la parole le premier. Dans sa longue intervention, il mettra en exergue les différentes principales phases historiques de la Kabylie, éléments prouvant son impossible mariage avec le pays, appelé par les fossoyeurs de la vérité historique « l’Algérie », surtout « la dissolution » du peuple kabyle dans ce moule algérien ayant pour repère « l’arabo-islamisme », les multiples opérations criminelles orchestrées par le pouvoir d’Alger contre la Kabylie pour la maintenir sous son giron, et qui se sont traduites par le sabotage économique, l’instauration du terrorisme et en parallèle les forces de répression, l’action psychologique consistant à faire croire aux Kabyles que leur patrie ne rengorge aucune ressource naturelle, et tant d’autres faits et discours contraires à la morale. 

Lui succédant au micro, Razik Zouaoui entamera son discours par de bien belles métaphores pour dénoncer l’iniquité dont a toujours été victime la Kabylie. « Oui, commence effectivement le SNDDLCK, l’Algérie a beaucoup d’argent et le pouvoir algérien en a donné beaucoup pour la Kabylie ». « Il faut savoir cependant, poursuit Razik Zouaoui, qu’il a destiné cet argent exclusivement pour la construction de pénitenciers, de casernements et autres établissements répressifs ».
Le SNDDLCK cite l’exemple de cette prison construite à Remila, dans la wilaya de Béjaia et classée 2e à l’échelle africaine sur les plans dimensionnel et architectural lesquels se portent naturellement sur la sévérité pénitentiaire. L’intervenant signale également que cette prison « monstrueuse » est implantée sur une terre agricole. Razik Zouaoui poursuit son discours en annonçant à l’assistance que « l’objectif du pouvoir est d’affamer la Kabylie en la spoliant de ses terres et richesses et parallèlement à ces opérations de sabotage économique, ce pouvoir mène une répression sans pareille ici en Kabylie ».
Et encore une fois, le SNDDLCK se réfère au baromètre financier et matériel pour prouver le bien-fondé de sa thèse. « Le prix d’une bombe lacrymogène que le pouvoir utilise contre les enfants kabyles équivaut à celui de trois quintaux de semoule », assure-t-il. 

Revenant à la valeur réelle de la langue kabyle, Razik Zouaoui martèlera puissamment qu’il n’y a que le pouvoir et les tenants de l’arabo-islamisme qui tentent de faire croire aux innocents que ce n’est pas une langue à part entière. « La langue kabyle, poursuit encore l’orateur avec véhémence, est réelle ; elle est grammatisée. La preuve en est que le PrKamel Bouamara a bel et bien fait un dictionnaire dans notre langue ». 

Abordant ensuite la question relative aux élections du 17 avril, l’orateur indiquera le négativisme symbolisé par Abdelaziz Bouteflika et Ali Benflis. « Nous les connaissons tous les deux ! », a indiqué le SNDDLCK avant d’appeler à commémorer dignement le 34e anniversaire du Printemps I980 « car ce sera une journée de lutte et de combat et non de folkmorisation ». 

En ce qui le concerne, Hocine Azem interviendra sur le volet portant sur la politique de déstructuration de la Kabylie menée par le pouvoir d’Alger sur le plan culturel et intellectuel. « En éloignant les artistes et les intellectuels du pays, en les poussant à l’exil quand il ne s’agit pas carrément de leur élimination physique obéit à la logique de maintenir les Kabyles dans le sous-développement intellectuel et, par conséquent, faciles à leur faire oublier leur origine kabyle », a souligné le SNRE en citant quelques personnages comme exemples comme Slimane Azem, Jean-El-Mouhoub Amrouche, Mohand-Bessaoud Arab, Mouloud Mammeri… « Et parallèlement à l’occultation de la culture authentique kabyle, poursuit l’intervenant, le pouvoir encourage la médiocrité et la fausseté ».
Hocine Azem cite l’exemple de ces sketchs animés par des artistes, animés par des artistes kabyles certes, mais en interprétant des personnages aussi kabyles mais ignares. « En interprétant des personnages bégayants et au comportement absurde et stupide est loin d’être innocent puisque c’est l’image du Kabyle que le pouvoir d’Alger à l’idéologie arabo-islamiste veut montrer aux autres », a encore explicité Hocine Azem. 

Concernant l’occultation du Printemps I980, l’objectif du pouvoir est de tenter l’inexistence du peuple kabyle. Et avant de révéler la vraie nature d’Ali Benflis, le SNRE a encore cité le cas de feu Mohand-Ouharoun , « assassiné » psychologiquement par le pouvoir puisqu’il lui a refusé même l’autorisation d’assister à l’enterrement de sa mère. 

S’agissant justement de l’homme qui n’arrête pas de piailler qu’il changerait l’ordre des choses en Algérie si on venait à voter pour lui, Hocine Azem Indiquera à son propos que lors de son meeting à Tindouf, il a déclaré à l’assistance tindoufienne être fervent partisan de l’autodétermination du peuple sahraoui alors qu’à Tizi-Ouzou, il n’ a pipé mot sur la revendication du peuple kabyle. « A Médéa, poursuit l’orateur, Il a promis à l’assistance de réhabiliter l’ex-FIS s’il venait à être élu président de la république alors qu’à Tizi-Ouzou, il n’avait fait aucune allusion aux gendarmes qui ont assassiné les jeunes kabyles ». 

Revenant au cas touchant les élections du I7 avril, le SNRE qualifiera le Général Tewfik de metteur en scène, Abdelaziz Bouteflika et Ali Benflis d’ « acteurs principaux » et le reste des candidats de simples figurants. Ce comparatif établi par l’orateur veut dire tout simplement que le verbiage et les gesticulations des uns et des autres par rapport à ce rendez-vous du I7 avril n’est que de la poudre aux yeux car tout est pipé d’avance et d’autant plus que le peuple kabyle n’en est aucunement concerné. 

Pour sa part, Farid Djenadi se montrera très virulent dans le discours. Développant et défendant la même thèse que ses camarades, toutefois, le secrétaire général du MAK usera d’un autre ton dans le discours. L’homme a commencé d’abord par faire monter d’un cran la colère de l’assistance vis-à-vis du pouvoir d’Alger en révélant que la première ferme agricole pilote à l’échelle algérienne et se trouvant entre El-Kseur et Amizour a été entièrement détruite sous prétexte qu’elle devait abriter une centrale électrique. Le deuxième acte criminel vis-à-vis de la terre agricole de Kabylie a consisté à choisir une grande orangeraie, sise à El-Kseur, pour y implanter un stade de football. Selon les révélations de Farid Djenadi, plus de 30 ha de terres fertiles seront détruits, et ce dans la logique de politique de faire disparaître toutes les terres fertiles en Kabylie. ‘Il Y a des espaces mieux indiqués pour abriter une centrale électrique et un stade football », s’est écrié le secrétaire général du MAK pour conclure ce point précis que l’objectif du pouvoir d’Alger est de réduire « à néant l’agriculture dans notre pays (Kabylie ndlr) ». « Le pouvoir ne peut pas nous affamer, poursuit l’orateur en augmentant de plusieurs décibels la tonalité de sa voix, car nous déjà l’expérience de la famine ». 

Abordant le volet sécuritaire, le secrétaire général du MAK a indiqué que 40% des effectifs des forces militaires algériennes sont implantés à présent en Kabylie. « Si le pouvoir compte nous faire peur avec ses militaires, il se trompe ! », a souligné l’orateur avant de poursuivre : « Le terrorisme, c’est le pouvoir algérien qui le fait. Le kidnapping aussi car c’est avec « terrorisme » qu’il justifie la présence militaire dans notre pays et ces kidnappings sont font faits pour éloigner les investisseurs de notre pays. Nous ferons décamper ces militaires de notre pays et nous avons les capacités de le faire. Personne ne peut nous faire trembler car nous aussi nous avons les capacités de riposte aux agresseurs. Historiquement, nous avons prouvé notre capacité à faire fléchir nos agresseurs car nous savons nous nous adapter à toutes situations y compris la misère, le dénuement et la famine ». S’attaquant à la politique d’Abdelaziz Bouteflika, l’orateur a révélé que les dépenses qu’il a ordonnées depuis sa première intronisation, s’élèvent à 600 milliards de dollars avant de poser cette interrogation : « Qu’a-t-il fait réellement de tout cet argent ? » 

Le mouvement Barakat a eu aussi sa part de reproches de la part de Farid Djenadi. En effet, il s’interrogera sur le fait que ce mouvement en question ne s’est jamais rendu nulle part ailleurs qu’en Kabylie pour inciter les gens à s’impliquer dans cette question relative au rendez-vous du I7 avril. « Pourquoi donc ce mouvement Barakat ne se rendrait pas à Constantine et à Oran pour inciter les gens à suivre sa ligne ? Pourquoi est-ce seulement en Kabylie qu’il fait ses numéros ? », s’est insurgé le secrétaire général du MAK. 

Après avoir harangué longuement l’assistance sur ces questions d’une extrême sensibilité, Farid Djenadi aborde ensuite la question purement économique, qui est en fait une véritable bombe qui risque de souffler tout le pouvoir d’Alger. En effet, l’orateur révélera qu’avec la suppression de la sanction d’embargo commercial pesant sur l’Iran qui est pour bientôt et l’entrée du pétrole américain sur le marché international, la concurrence algérienne sera mise à rude épreuve, voire l’impossibilité pour l’Algérie de vendre son pétrole. Il faut avoir à l’esprit, indique encore le secrétaire général du MAK que les besoins et les produits énergétiques à partir de maintenant seront différents de ceux d’autrefois. « C’est pourquoi, ajoute-t-il encore, la véritable richesse économique à considérer est la ressource humaine ». Farid Djenadi cite l’exemple du Japon et Taïwan qui sont les symboles de la prospérité économique sans pour autant posséder de terres à vocation agricole ou des puits de pétrole. C’est sur ces mots que le secrétaire général a clos son intervention. 

Et pour baisser l’adrénaline de l’assistance, Bouaziz Aït-Chebib a repris le micro pour appeler, encore une fois, non seulement les Kabyles à considérer la journée du 20 avril comme il se doit puisqu’elle sera l’occasion d’exiger la tenue d’un référendum sur l’autodétermination de la Kabylie mais aussi à moquer la manière du régime d’Alger de faire remplir l’urne de bulletins de vote en faveur de son candidat. En effet, à l’instar des citoyens de Larbaâ Nath Irathen et ses environs, les habitants de Sidi-Aïch ont ri de la galéjade du président du MAK à propos du candidat ayant pour nom Abdelaziz Boutefilka. « Cette fois-ci, a-t-il dit, ce sont les vivants à qui on a demandé de voter pour un moribond alors que dans les élections précédentes, on faisait voter les morts pour le candidat du régime ». 

Devant l’éclatant succès du meeting du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK) hier matin, à Sidi Aich, le candidat Ali Benflis qui devait animer à son tour un meeting à 14h dans la même localité , a carrément déclaré forfait et annulé son rassemblement. L’effet boule de neige ne fait que commencer ! 

Addenda : Au cours de la journée d’hier à I9 heures, Bouaziz Aît-Chebib et Hocine Azem ont animé un meeting au village Aït-Hamdoune dans la commune d’Aghbalou (Bouira). A l’issue de ce rendez-vous, les deux hommes ont axé leur interventions sur l’explication du projet pour un Etat kabyle, le rejet des élections et d’autres points d’actualité. Par ailleurs, il y a lieu de relever qu’après le rendez-vous de Sidi-Aïch, les quatre responsables du MAK ont pris la direction de Taskriout (Béjaia) pour animer un autre meeting. En définitive, les responsables du MAK poursuivent leur mission sans répit. 

Belaid Abrika tente de revenir sur la scène politique en Kabylie | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie

Les Kabyles ne sont plus dupes et ne font confiance à personne. Le seul mot d’ordre est clair, net et précis : le rejet de toute élection organisée par le régime. Une manière de rejeter le régime dictatorial d’Alger.
05/04/2014 - 12:22 mis a jour le 05/04/2014 - 15:10 parR. Moussaoui
Que se trame-t-il en Kabylie ? Après quelques jours après la nomination d’Ahmed Ouyahia au niveau du cabinet de présidence, l’ex-délégué des aarchs, Belaid Abrika refait étrangement surface. Belaid Abrika a fait appel à certains médias pour refaire parler de lui en prenant pour excuse l’accusation de « soutien au présidant candidat Abdelaziz Bouteflika » dont il fait l’objet, alors qu’en réalité, aucun médias n’en a parlé. Même l’ENTV, qui est au service du pouvoir n’a pas rapporté l’information. Abrika a publié, il y a quelques jours, un démenti où il niait tout soutien au président.
Selon certains observateur, « Abrika tente de refaire surface peut-être à l’appel d’Ouyahia, tout en se demandant si un nouvel embrasement est programmé par le pouvoir Algérien et qui sans doute touchera la Kabylie. Ce qui justifierait cet opportunisme ! Ces personnes sont connues pour être des relais des services et pour preuve, aucun point de la plateforme d’El Kseur ne s’est réalisé et pourtant Abrika et les autres délégués avaient bien négocié avec Ouyahia ».
Les Kabyles ne sont plus dupes et ne font confiance à personne. Le seul mot d’ordre est clair, net et précis : le rejet de toute élection organisée par le régime. Une manière de rejeter le régime dictatorial d’Alger.
Ceux qui tentent de procéder à la ruse ou à la manipulation butent toujours par l’éveil de la population qui n’entend plus le chant des sirènes.
Ce qui est remarquable aussi, c’est que toutes les tendances politiques en Kabylie sont d’accord pour un rejet massif des élections.
R.Moussaoui

"Vous devez renaître sept fois en Pays kabyle pour nous parler des principes de la démocratie | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie

Manipulation politique et médiatique contre le Pays Kabyle
Les actes de saccage qui ont visé la maison de la culture Taos Amrouche, et dont toute la population de Vgayet s’est démarquée, sont attribués par le directeur de campagne du petit dictateur Bouteflika, le nommé Abdessalam Bouchouareb, à « des groupuscules fascistes comportant parmi eux des éléments de Barakat et du Mak (Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie ». Ce qui est très loin d’être le cas. Car les centaines de présents sur les lieux témoignent avoir vu de leurs propres yeux des policiers arabes, en civil, à l’œuvre pour la sale besogne.
06/04/2014 - 01:49 mis a jour le 06/04/2014 - 10:43 parAmenay A
L’exploitation politique et médiatique des événements qui se sont déroulés hier dans la ville de Vgayet, et provoqué par les policiers du système despotique d’Alger, témoigne encore une fois de la nature abjecte et nauséabonde des tyrans régnants en Algérie.
La manière utilisée cette fois-ci par les partisans du nain d’Oujda est des plus simples, pour attirer la compassion, et utiliser ces faits, qu’ils ont eux-mêmes provoqués, afin de les retourner de manière politique à leur profit.
En panne de bonnes idées, qu’ils n’affectionnent nullement, ils deviennent champions de la manipulation la plus infâme.
Les actes de saccage qui ont visé la maison de la culture Taos Amrouche, et dont toute la population de Vgayet s’est démarquée, sont attribués par le directeur de campagne du petit dictateur Bouteflika, le nommé Abdessalam Bouchouareb, à « des groupuscules fascistes comportant parmi eux des éléments de Barakat et du Mak (Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie ». Ce qui est très loin d’être le cas. Car les centaines de présents sur les lieux témoignent avoir vu de leurs propres yeux des policiers arabes, en civil, à l’œuvre pour la sale besogne.
Cette démarche machiavélique vise à diaboliser les manifestants présents sur les lieux pour crier pacifiquement leur colère contre les dictateurs régnant en Algérie, et en même temps, attirer la compassion et la pitié envers les partisans de Bouteflika.
Tout cela est flagrant, à travers l’exploitation médiatique consacrée à cet effet par les médias publics et privés, mais toujours monopolisés par l’état. Ces derniers, ont accordés leurs violons avec les politiques pour oser dénoncer un « acte contraire à la démocratie ! ».
On ne peut pas accuser ces énergumènes de méconnaissance du Peuple Kabyle qui porte les principes de la démocratie dans ses gènes, mais c’est bel et bien de la malhonnêteté la plus répugnante. Car ces gens-là doivent renaître au moins sept fois en Pays Kabyle pour nous parler des principes de la démocratie. Eux qui sont capables de présenter une cadavre humain comme candidat à une élection présidentielle.
Amenay A

"C'est bel et bien la police qui a allumé le feu à Bgayeth !" | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie

Des Citoyens de Bgayet apportent leurs témoignages à Tamurt.info
Une chose est claire, les jeunes de l’antique et rayonnante civilisation de Bgayet sont loin de commettre de tels actes. Mais le système dictatorial et despotique d’Alger est bien connu, à travers le monde entier, pour ses sales manœuvres, notamment en Pays Kabyle.
06/04/2014 - 00:43 mis a jour le 06/04/2014 - 10:34 parAmenay A
L’état dictatorial d’Alger ne se lasse pas de ses habitudes moyenâgeuses pour créer le chaos au Pays Kabyle. N’ayant pas gobé l’humiliation subie hier matin par Abdelmalek Sellal, le maître chanteur du clan d’Oujda, pour la campagne électorale de la momie Bouteflika, ceux-ci ont décidé de riposter de manière violente pour discréditer la manifestation pacifique organisée sur place.
Des témoins et manifestants présents sur les lieux ce matin, contactés par Tamurt.info, ont confirmé que c’est bel et bien des policiers en civil qui ont mis le feu à la maison de la culture Taos Amrouche de Vgayet. Cela dans le but d’exploiter ces faits aux besoins de la campagne électorale de Bouteflika. Ce qui est visible de la manière la plus flagrante à travers les couvertures journalistique des « Journalistes à la carte » ayant été envoyés pour la circonstance.
« Ces actes ne peuvent jamais venir de la population de Vgayet, quoi que très en colère, nous avons gardé notre calme. Nous avons manifesté de manière vraiment pacifique, comme d’habitude d’ailleurs, et c’est bel et bien des policiers en civil qui ont allumé le feu, devant nos yeux » se démarquent, et témoignent des jeunes étudiants de l’université de Bgayet, contactés par nos soins.
Une chose est claire, les jeunes de l’antique et rayonnante civilisation de Bgayet sont loin de commettre de tels actes. Mais le système dictatorial et despotique d’Alger est bien connu, à travers le monde entier, pour ses sales manœuvres, notamment en Pays Kabyle.
Les dictateurs du clan d’Oujda sont capables du pire pour salir la réputation d’un Peuple et d’une civilisation plusieurs fois millénaire. un but qu’ils ne pourront jamais atteindre.
Amenay A

Vous allez mourir de rire Abdelmalek sellal avec ses partenaires à Bejaia



DIMOCRATIYA ??????????????????????????????? 52 ANS DE DICTATURE. PLIE DE RIRE ! DEMOCRATIE ???
CHER VENDU POUR DES BISCUITS JE NE PARLE PAS L'ARABE ET TU ES EN KABYLIE YA COCO.
QUEL HONNEUR ? QUEL DIGNITE ? DE REPRESENTER UN ZOMBI ! YA DIN REB KHOM ! VIVE LA KABYLIE LIBRE INDEPENDANTE

PHOTOS/VIDEO. Nuit sous tension à Béjaïa

samedi, 05 avril 2014 13:38

PHOTOS/VIDEO. Nuit sous tension à Béjaïa Spécial

Écrit par  El Watan 2014

    La Maison de la culture de Béjaïa
La Maison de la culture de BéjaïaPhoto DR
Les affrontements qui ont éclaté avant l'arrivée d'Abdelmalek Sellal, ce samedi 4 avril à Béjaïa, se sont poursuivis jusque dans la nuit. La Maison de la culture a été saccagée et alors que des personnes se trouvaient encore à l'intérieur, policiers et émeutiers, échangeaient, à l'extérieur, tirs de gaz lacrymogène et projectiles. Samedi soir, les réactions de la classe politique et des associations étaient déjà nombreuses.




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Les affrontements ont éclaté en milieu de journée, près de la Maison de la culture, entre les manifestants venus attendre Abdelmalek Sellal, dont le meeting a finalement été annulé, et les forces de l'ordre. Le bilan provisoire est de 15 blessés, dont des policiers. En début de soirée, des jeunes qui ne se revendiquent d'aucun parti ni d'aucun mouvement, ont mis le feu à la Maison de la culture. Son matériel informatique a été pillé. Des personnes se trouvent encore à l'intérieur et la police est toujours sur les lieux.

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Avant de décoller pour Alger, où il a animé cet après-midi un meeting à la salle Atlas à Bab el Oued, l'ex-Premier ministre a déclaré : « Nous avons mené une campagne contre la violence et l'extrémisme. L'extrémisme ne mène à rien. J'ai annulé le meeting mais je remercie les habitants de Béjaïa pour leur accueil. Nous allons poursuivre notre travail avec la même détermination.» Le meeting de Tizi Ouzou prévu demain dimanche est maintenu.

Depuis Oran, Louisa Hanoune a qualifié l'empêchement de la tenue du meeting à Bejaïa de « dérive dangereuse et inacceptable ». « Cela ne ressemble pas aux habitants de la wilaya de Béjaïa qui ont une tradition démocratique », a-t-elle ajouté. « C'est le système du parti unique qui a privé le peuple du droit de l'expression libre, car chacun est libre d'exprimer son opinion mais dans le respect et sans que cela risque de nous entraîner vers le dérapage. Nous ne pouvons pas au nom de la démocratie et de l'opposition recourir aux pratiques plus dangereuses que celles du parti unique ».

La Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme de Béjaïa a déclaré de son côté que ces incidents marquent « un tournant grave, qui doit interpeller toutes les consciences et les acteurs politique et de la société civile. La LADDH Bureau de Bejaia qui a déjà alerté l'opinion à la veille de ce meeting en appelant la population et l'ensemble des acteurs à se démarquer de tout acte d'empêchement et de violence, n'a pas été malheureusement entendus. » Said Salhi, son vice-président a aussi appelé au nom de la LADDH « la population de Béjaïa à la vigilance, au calme et à demeurer dans le stricte cadre pacifique et démocratique pour l'avènement d'un état de droits et des libertés » et « les forces de sécurité et les pouvoirs publics à la retenue et à la clairvoyance dans le respect des lois de la république et des droits de l'Homme ».