Malika Arabi au centre culturel d’Aokas
Massidida pour Tamurt.info
Dans une ambiance conviviale, à cœur
ouvert, l’auteure s’est livrée au jeu des questions-réponses en mettant
en exergue la menace islamiste d’autant plus qu’elle est convaincue que
l’opium des peuples est incontestablement la religion.
ouvert, l’auteure s’est livrée au jeu des questions-réponses en mettant
en exergue la menace islamiste d’autant plus qu’elle est convaincue que
l’opium des peuples est incontestablement la religion.
17/03/2014 – 10:45 mis a jour le 17/03/2014 – 10:45 par
Après Tarik Djerroud qui est passé le
samedi 8 mars pour présenter son dernier né « un cœur à prendre », le
samedi dernier, ce fut au tour de Malika Arabi d’être l’hôte du centre
culturel d’Aokas pour y animer une conférence. « Eclats de vie » et
« Sur les traces de mon père » étaient à l’honneur lors de cette
rencontre avec une population avide de culture.
Dans une ambiance conviviale, à cœur
ouvert, l’auteure s’est livrée au jeu des questions-réponses en mettant
en exergue la menace islamiste d’autant plus qu’elle est convaincue que
l’opium des peuples est incontestablement la religion.
Le débat était aussi l’occasion de
revenir sur son récit, une autobiographie où son histoire est liée au
destin de sa famille. Initialement enseignante, elle versera
instinctivement dans l’écriture qu’elle considèrera par la suite comme
un besoin vital pour survivre.
Elle profitera également pour parler de
la condition féminine et fustigera le discours hypocrite des hommes à
l’égard de la femme. D’ailleurs son récit raconte la soumission de la
femme à l’homme dans une région où le mâle est dominant par la force des
choses et des traditions imposées en réalité par l’homme. Elle reste
d’ailleurs sceptique quant à l’évolution des choses dans ce domaine mais
voit plutôt d’un autre œil la question de l’identité kabyle, convaincue
que tôt ou tard, la Kabylie aura son indépendance.
Massidida
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