mardi 25 février 2014

Karima (Serhass I Oufoussiw) Clip Kabyle



Publiée le 25 févr. 2014
La diva Kabyle KARIMA dans le titre "Serhass I Oufoussiw" (des années 80)

avec Rabah KHAFA à la percussion et derbouka , Salah MEKERKEB à l'orgue et synthé ,
Farid KEZIM à la guitare électrique rythmique , Feu Dda Hachemi BELLALI à la basse et FOUHANE Mouloud à la batterie .
Direction artistique : Kamel HAMADI

Youcef ABDJAOUI (Lkas N' Crav / Ruh Ayahviv Ruh) Clip Kabyle



Publiée le 25 févr. 2014
Le regretté Youcef ABDJAOUI en live acoustique sur les superbes titres "Lkas N' Crav" & "Ruh Ayahviv Ruh" (vidéo des années 90)

Maatkas's Blog

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Quelle différence entre celui qui dis-je ne veux pas laisser ma place et celui qui dit j’y vais malgré tout ? Quelle différence entre un homme du système qui veut rester au pouvoir et celui qui dit je ne veux pas me présenter si le système à un candidat ? Comment appeler à un contre-pouvoir et en appeler l’armée ? Se demande saïd Sadi.
25/02/2014 – 19:43 mis a jour le 25/02/2014 – 20:20 parSaïd F.
 

L’ex-leader du RCD, Saïd Sadi n’y est pas allé avec le dos de la cuillère pour tirer à boulet rouge contre les anciens chefs du gouvernement algérien, Mouloud Hamrouche et Ali Benflis, deux autres candidats dit potentiels de la prochaine élection présidentielle lors de son apparition, ce matin, au forum du quotidien Liberté.
« Quelle différence y a-t-il entre celui qui dit : je ne veux pas laisser ma place et celui qui dit : j’y vais malgré tout ? Quelle différence y a-t-il entre un homme du système qui veut rester au pouvoir et celui qui dit je ne veux pas me présenter si le système a un candidat ? Comment appeler à un contre-pouvoir et en appeler l’armée ? » se demande saïd Sadi.
Il a affirmé qu’il est « déchargé de toute responsabilité pour démontrer que la transmission générationnelle est possible. L’Algérie est en péril. Ce qui me pousse au débat ce sont les termes de la propagande qu’on nous impose. La logique reptilienne du système impose des débats clos. La confiscation et le conditionnement de la communication sont les vecteurs de la crise actuelle. Il nous faut ouvrir les yeux”, dira Saïd Sadi qui a qualifié la situation que vit l’Algérie actuellement de très grave et inédite en même temps. 
Il dénoncé le pouvoir parallèle, en faisant allusion au clan du DRS et de celui de Bouteflika qui s’affronte. La crise que vit le pays est qualifiée également « d’aigue ».
Pour Saïd Sadi, qui est resté très longtemps à l’écart de la politique depuis son départ de la présidence du RCD, la solution à la crise que vit le pays n’est pas entre les mains d’une seule personne, comme veut le faire croire le pouvoir, mais d’une force politique et un front d’opposition uni et élargi à d’autres horizon politiques.
Questionné quant au rapprochement du RCD avec les islamistes, l’ancien responsable ne s’étalera pas et dira que c’est par nécessité d’amener toutes les tendances à un débat national où le pouvoir lui-même sera convié en qualité de « partenaire » !
Saïd Sadi a, durant son intervention, refusé de répondre aux questions des trois journaux anti Kabyle, à savoir Ennahar, Echourouk et Algérie News.
Saïd F.

ALLAOU CHANTE MATOUB LOUNES A PARIS





ALLAOU CHANTE MATOUB LOUNES A PARIS

ALLAOU CHANTE MATOUB LOUNES A PARIS





ALLAOU CHANTE MATOUB LOUNES A PARIS

Algérie | Présidentielle algérienne : Ali Benflis publie sa déclaration de patrimoine | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

Ali Benflis annonçant officiellement sa candidature à la présidentielle algérienne, le 19 janvieAli Benflis annonçant officiellement sa candidature à la présidentielle algérienne, le 19 janvie © Farouk Batiche/AFP
Le probable candidat à la présidentielle algérienne Ali Benflis publie sa déclaration de patrimoine dans la presse, mercredi et jeudi. L'occasion pour le rival malheureux de Bouteflika en 2004 de faire preuve d'un maximum de transparence.
Comme il l'avait fait en 2000 (voir ci-dessous), Ali Benflis publie sa déclaration de patrimoine dans les journaux algériens, mercredi 26 et jeudi 27 février, dans l'attente que son dossier de candidature soit validé par le Conseil constitutionnel, le 4 mars. Ses biens sont relativement modestes puisqu'il ne possède, selon ses dires, qu'un seul bien immobilier habitable : "une maison individuelle sis à Alger, résidence Chabani, acquise en 1992 (...) que j'habite à ce jour", dit l'ancien chef du gouvernement. À quoi s'ajoute un local à usage professionnel à Batna (un "cabinet d'avocat") et surtout plusieurs terrains d'une superficie totale de 37 hectares, toujours dans la wilaya de Batna où il est né, mais dont une seule lui échoit en bien propre.
Ali Benflis ne déclare posséder par ailleurs que trois comptes bancaires. Deux en Algérie, au Crédit populaire algérien d'Hydra, pour un montant global de 6 878 599, 56 DA (soit 63 878, 87 euros). Et un en France, à Paris, où sont déposés 15 188, 28 euros. Soit en tout 79 067, 29 euros.
Fac-similés de la déclaration de patrimoine de Ali Benflis (cliquer pour agrandir).
1ère page :
2e page :
3e page :
Il est à noter que cette déclaration de patrimoine est plus complète que celle que Benflis avait faite en 2000 avant de prendre la tête du gouvernement : elle prend en considération les différentes comptes bancaires du probable candidat à la présidentielle. Mais il faut remarquer aussi que celui-ci paraît moins riche en bien immobiliers en 2014 qu'il y a une dizaine d'années (une seule maison individuelle en bien propre contre 3).
Fac-similé de la déclaration de patrimoine de Ali Benflis en 2000 :
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Pierre-François Naudé


Saïd Sadi à propos du 4e mandat : « la question ne se pose pas puisque la Constitution le permet »

Saïd Sadi à propos du 4e mandat : « la question ne se pose pas puisque la Constitution le permet »

25/02/2014 - 18:50


ALGER (SIWEL) — En retrait de la vie politique algérienne, Saïd Sadi, l’ancien président du RCD, a fait une apparition, ce matin, au forum du quotidien Liberté, où il a traité de la situation politique du pays, à propos de laquelle, il a estimé qu’elle est dangereuse.


Saïd Sadi appelle à un boycott massif des élections.

Saïd Sadi, ce matin, à Alger. PH/Liberté
Saïd Sadi, ce matin, à Alger. PH/Liberté
Dans une longue déclaration préliminaire, l’ancien patron du RCD souligné que concernant la crise actuelle, « donne toute la mesure de cet immense malentendu qui veut que c’est dans la catégorie où prolifèrent les responsables de l’échec que doivent se recruter les artisans de son dépassement ». Ceci pour se positionner vis-à-vis des différents appels à un consensus où le régime doit être au cœur de l’équation. « L’Algérie est en péril », a-t-il martelé tout au long de son intervention pour expliquer que le débat en Algérie est « délibérément biaisé ». 

Plus loin il a ajouté que « ce qui fait qu’au lieu de participer à sérier les enjeux, dévoiler les positions de chacun et distinguer les causes des effets, la logique reptilienne du système impose des paliers de discussion qui interdisent de sortir du champ clos des slogans fossilisés, de la manipulation et de la soumission ». Ce système reptilien, explique encore Saïd Sadi « est connu, est incapable d’évolution. Programmé pour des fonctions primaires, il est animé par la satisfaction immédiate de besoins élémentaires et réagit par la violence contre tout ce qui peut contrarier la prédation ou inciter à une adaptation des conduites et comportements ». 

A propos de le semblant différend qui a opposé Bouteflika au patron des services secrets et de la police politique, Sadi estime que cette « guerre » est dictée par « le simple souci de partage de la rente ». Ciblant Bouteflika et le général Toufik, Saïd Sadi, a déclaré qu’avant, « ils allument le feu en Kabylie pour régler leur différends ». Et comme le procédé est usité, ils ont choisi un autre terrain pour la polémique. Interrogé sur l’alliance tissée par son ancien parti avec des partis islamistes à qui ils a de tout temps dénié même jusqu’à l’existence, Saïd Sadi a justifié ce choix par la nécessité de faire participer toutes les tendances à un « débat national » où « même le pouvoir sera convié », mais « en qualité de simple partenaire » et « non pas de tuteur ou d’arbitre ». 

Il a plaidé pour la dissolution de la police politique du DRS. Pour lui, elle est responsable du marasme et partage même l’échec de Bouteflika, puisque « c’est le DRS qui l’a placé à la tête de l’Etat » et « c’est elle qui lui avait ouvert la voie pour un 3e et puis pour un 4e mandat ». A propos d’un autre mandat pour Bouteflika, Saïd Sadi estime que la question ne se pose pas pour cet aspect puisque « la Constitution est violé pour justement assuré cette présidence à vie », mais « dans les conditions dans laquelle se tiendra l’élection ». Il a appelé à un boycott massif des élections présidentielles. Interrogé sur les attaques du SG du FLN contre le DRS, Dr. Sadi a estimé que Saâdani a le droit de parler et qu'il faut s'intéresser sur la véracité de ses propos. Quant aux attaques de Hicham Aboud contre Saïd Bouteflika, en révélant son homosexualité, Sadi se dit contre ces attaques. Il na pas manqué de s'en prendre à Ali Benflis, son ancien allié en 2004 et à Mouloud Hamrouche. 
A signaler que durant le forum, Saïd Sadi a refusé de répondre aux questions des journalistes d'Ennahar et il a informé que le procès qui l'oppose à Smail Mira et Ennahar se déroulera le 04 mars. Pour rappel, Smail Mira avait traité, sur la chaîne d'Ennahar, le père de Saïd Sadi de Harki. 

dm 
SIWEL 25 1850 FEV 14