Lyazid Abid dans sa conférence au Québec:
"Nos richesses sont dilapidées,nos forets brûlés,les investisseurs harcelés,la corruption généralisée ,l’insécurité totale,notre cohésion sociale menacée et notre peuple est contraint à l'exil,notre culture est marginalisée,nos traditions folklorisées,notre langue rabaissée au rang de patois et l'armée algérienne abat au moyenne un kabyle par mois. Il est difficile de ne pas voir en ces pratiques le comportement de colonisateur envers le colonisé. Le gouvernement provisoire kabyle dénonce vigoureusement cette politique d'occupation et appelle les instances internationales, les intellectuels et toutes les personnes éprises de justice à nous soutenir dans notre combat contre la tyrannie
Vivement le référendum d’autodétermination de la Kabylie.
Vive la Kabylie libre démocratique et laïque Vive la fraternité entre le peuple québécois et le peuple kabyle."
lundi 7 avril 2014
Maatkas's Blog
Boudjemaa Agraw Au "Soir D’Algérie" : "Que Chacun Assume Publiquement Ses Actes !"
Le Soir D’Algérie : Un Groupe D’artistes Kabyles A Organisé Ce Mardi Une Conférence De Presse À L’espace Frantz-Fanon. Certains Voient À Travers Cette Sortie Une Occasion De Plaider La Participation À L’Année De L’Algérie En France. Avez-Vous Été Convié À Cette Réunion Et, Surtout, Peut-On Connaître La Position De Boudjemaâ Le Chanteur ?
Boudjemaâ Agraw : Moi-Même, J’ai Été Contacté Par Aït-Menguellet Pour Assister À La Réunion Qui A Eu Lieu, Deux Jours Avant, À Tizi-Ouzou. L’ordre Du Jour Devait Porter Sur Les Problèmes Que Rencontrent Effectivement Les Artistes, Qui, Au Demeurant, Sont Les Mêmes Que Rencontre Toute La Population. Je N’ai Pas Été À La Rencontre Car J’avais, Le Même Jour, Une Autre Réunion Des Arouch À El-Kseur. Maintenant, Je Constate Avec Regret Que Ce N’est Nullement Pour Discuter Des Difficultés Des Artistes. Le But Inavoué De Cette Rencontre Était En Fait De Parler De La Participation À L’Année De L’Algérie En France, Que Nous Avons Déjà Boycottée En Réitérant Les Principes Directeurs Du Mouvement Citoyen, À Savoir Que Toute Action Initiée Par Le Pouvoir Est Rejetée Tant Que La Plate-Forme D’El- Kseur N’est Pas Satisfaite. Je Signale Au Passage Que, Contrairement À Ce Qui A Été Avancé Lors De La Conférence De Presse, Les Initiateurs Du Boycott Ne Sont Pas Des "Fantômes". Ils Sont Tous Identifiés. Je Citerais Quelques Noms : Idir, Takfarinas, Ferhat, Rabah Ouferhat Et Moimême. Aussi, J’insiste Pour Signaler Qu’aucune Pression N’a Été Exercée Sur Quiconque. Seulement, Que Chacun Assume Publiquement Ses Actes, L’histoire Retiendra.
Certains Artistes Qui Se Disent Aussi Parties Prenantes Du Mouvement Ayant Plaidé La Participation À Cette Manifestation En France Indiquent Qu’il Faut Exploiter Tous Les Espaces Pour Porter La Voix De "L’Algérie Qui Souffre".
D’abord, Une Précision : On Ne Peut Pas Se Revendiquer Du Mouvement Citoyen, Porter Les Aspirations Légitimes Du Peuple Algérien Et Cautionner En Même Temps Des Initiatives D’un Pouvoir Qui A Assassiné Des Dizaines De Ses Enfants En Kabylie Dans Le Seul But De Se Refaire Une Virginité Qu’il A Perdue Depuis Plus De Quarante Ans. On Ne Peut Pas Avoir Un Pied Dans Le Mouvement Et Un Autre Dans Le Pouvoir, Comme Dit L’adage "Avoir Le Beurre Et L’argent Du Beurre". Une Façon De Nous Dire Aussi : "Viens T’exprimer Aujourd’hui Et Tais-Toi Demain". Quant À L’argument Avancé Pour Justifier Une Éventuelle Participation Et Qui Consiste À Dire Qu’on Peut Toujours Se Servir De Tribune Pour Parler De L’autre Algérie, Celle Du Peuple S’entend, Je Crois Que Ces Mêmes Personnes Jouissent D’une Grande Notoriété Qui Leur Permet De Créer Eux-Mêmes Ces Espaces Pour Défendre La Voix Des Opprimés Comme Annoncé. Pour Moi, Un Fleuve De Sang Nous Sépare De Ce Pouvoir. N’oublions Pas Que Des Dizaines D’innocents Souffrent Actuellement Dans Les Geôles De Ce Pouvoir Au Même Moment Où Des Terroristes Islamistes Jouissent Des Faveurs De Ces Organisateurs De Ce Que Je Qualifierais De L’Année Du Carnaval De L’Algérie En France. Une Précision De Taille Est Que Parmi Les Participants À La Conférence Certains N’ont Même Pas Été Invités. Ils Auraient Dû S’élever Contre Cette Marginalisation Au Départ Déjà. Mais La Réponse Est, En Fait, Ailleurs. La Seule Interprétation Possible À Leur Geste À Mes Yeux Est De Se Faire Inviter.
Parlons Un Peu De Vous : Est-Ce Que Vous Avez Été Invité À Participer ?
Oui, J’ai Été Contacté Par La Même Personne Qui A Programmé Baaziz. Elle M’a Proposé Plus D’une Vingtaine De Galas Avec Un Cachet De 20 Millions De Centimes Français. J’ai Décliné L’offre Pour Les Raisons Que Je Viens D’énumérer, À Savoir Une Réponse Favorable Au Préalable Aux Revendications Citoyennes. On Ne Doit Surtout Pas Oublier Que Toute Une Région Souffre Le Martyre Depuis Deux Années. On Ne Peut Ni Pardonner Ni Oublier.
Propos Recueillis Par A. K.
Comme un voleur, le KDS Abdelmalek Sellal, entre par « effraction » à Tizi-Ouzou
Comme un voleur, le KDS Abdelmalek Sellal, entre par « effraction » à Tizi-Ouzou
07/04/2014 - 18:45
TIZI-OUZOU (SIWEL) — C’est par effraction, comme un vulgaire voleur, que le KDS (Kabyle de service), Abdelmalek Sellal, est entré à Tizi-Ouzou et faire sa campagne, sous haute protection policière, pour son fantomatique candidat Abdelaziz Bouteflika. Pour éviter toute mauvaise surprise, très tôt le matin tous les alentours de la maison de la Culture Mouloud Mammeri étaient quadrillés et le bachagha Ould Ali Lhadi avait déjà préparé le terrain afin d’éviter à son « collègue KDS » une nouvelle humiliation à Tizi-Ouzou après celle de Vgayet. Le plus grave n’est pas que la secte des assassins, soit servis par des KDS de professions et que leur public soit trié parmi la racaille tizi-ouzienne mais que des slogans tels que «Nous sommes la Grande Kabylie et pas la petite» aient été vociférés sous le nez des kabyles pour semer la haine et la discorde entre le Djurdjura et la Soumam.
Contraste entre la rue kabyle et l'intérieur de la maison de la culture où les KDS se donnent en spectacle face à une assistance triée sur le volet (PH/DR)
Hier , avant la venue du KDS, Abdelmalek Sellal, Tizi-Ouzou était littéralement assiégée. Les forces de répressions algériennes ont « sécurisé » toutes les issues susceptibles de donner accès au meeting de Sellal.
Les posters et fanions à l’effigie de Bouteflika ont été accrochés en cachette, dans la nuit, et les « invités », triés parmi la crème de la racaille tizi-ouzienne, sont partis, en famille, assister au cortège funèbre de la présidentielle algérienne. Le troupeau familial devait se présenter au grand complet avec femmes, enfants, sœurs, frères, mères, pères, grand-mère et grands-pères.
Tous ces braves gens, une fois réunis à la maison de la culture de Tizi-Ouzou transformée pour l’occasion en écurie, ont été décorés comme des arbres de noël. Tous drapés dans des drapeaux algériens, portant casquettes et tee-shirts à la gloire de Bouteflika, criaient fièrement «Nous sommes la Grande Kabylie et pas la petite !», comme au temps de gloire de « l’Algérie française » et de sa cohorte de harkis !
Reprenant à son compte la politique du régime colonial français qui a inventé ces appellations de «grande Kabylie» et «petite Kabylie» pour diviser le peuple kabyle et affaiblir sa capacité de résistance contre la colonisation française, le bachagha Ould Ali Lhadi, réédite cette minable tentative de division du peuple kabyle mais cette fois pour le compte du colonialisme arabo-islamique, ignorant que par ces actes de haute trahison, il ne fait que réaliser les sombres prévisions de sa pauvre mère qui disait de lui « ce garçon finira mal ».
Non satisfait d’avoir pris en otage « La maison de la culture de Tizi Ouzou » depuis son ralliement au camp des assassins et sa prise de fonction déshonorante de grand bachagha de Tizi-Ouzou, Oud Ali Lhadi se surpasse dans les actes de trahisons et va jusqu’à insulter publiquement une partie de la Kabylie, à savoir la Kabylie de la Soummam. Ce que le bachagah Ould Ali Lhadi semble oublier, c’est que, malgré la puissance de sa force politique et militaire, la France coloniale a été mise dehors et ses collabos n’ont eu pour seule reconnaissance que l’infâme titre de harkis.
Mais la jeunesse kabyle de Tizi-Ouzou, à l’instar de celle de Vgayet, était bien décidée à ne pas se laisser trainer dans la boue. Nullement intimidés par une atmosphère sécuritaire digne de la « pacification française », la jeunesse kabyle du Djurdjura a bravé les colossales forces de répressions mobilisées pour l’évènement et même s’ils n’ont pas réussi à empêcher le meeting de cette nouvelle classe de kabyle de service, ils ont quand même sauvé l’honneur du Djurdjura.
Plus d’une centaine d’arrestation ont eu lieu dans la matinée parmi les rangs des étudiants de Tizi-Ouzou dont plusieurs étaient des militants du MAK. Malgré les arrestations et le dispositif sécuritaire, la jeunesse revient à la charge pour dénoncer la présence du « KDS Sellal » à Tizi Ouzou. Les jeunes réussissent à occuper la rue juste devant la maison de la culture, puis d’autres étudiants arrivent en renfort. On entend les slogans fuser : « Ulac Lvot Ulac », « Boutef dégage », « DRS dégage », « pas d’élections en Kabylie » les militants et étudiants du MAK répétaient sans cesse : «Non au système colonial, Kabylie autonome, Kabylie indépendante »…
Pendant ce temps, à l’intérieur du bunker de la maison de la culture de Tizi-Ouzou, c’est sous les ovations nourries des vétérans du « club des moudjahidine », des militants du FLN et des membres de l'UGTA, que Sellal a fait une entrée « floklorique » sur la scène avec trompette et tambour. Le frère de Abane Ramdane est exhibé sur scène, aux côté de Sellal, pour appuyer la candidature de Bouteflika ! … Quel triste sort que celui de porter en triomphe les assassins de son propre frère.
Puis Sellal aura le culot d'évoquer le passé militant et engagé de la Kabylie ainsi que ses nombreux martyrs et c’est sans gêne aucune qu’il évoque les noms de ceux que son clan a fait assassiner : Amirouche, Abane, Krim, sans oublier Tahar Djaout dont ils ont amnistiés les assassins et Matoub Lounès qu’ils ont fait assassiner juste avant de rallier à leur camps la nouvelle troupe de kabyles de services qui on gravité autours de lui au RCD tels que Ould Ali Lhadi, Khalida Toumi et Amara Benyounes et leur éviter ainsi quelques pamphlet bien acérés...
De son côté le bachagha Ould Ali Lhadi, n’ayant ni honneur, ni dignité, a même osé aller jusqu’à demander une minute de silence à la mémoire des « martyrs » tout en glorifiant «le bilan et les perspectives» du candidat Bouteflika ; lequel bilan compte les 128 jeunes kabyles assassinés au cours du Printemps Noir et l’amnistie des terroristes. Et parmi les perspectives de Bouteflika, on peut citer l’exploitation de gaz de schistes en Kabylie au profit et avec le concours d’un pays, la France en l’occurrence, qui refuse d’exploitation ces mêmes gaz chez elles pour « préserver l’environnement et la santé publique française ».
A la fin du meeting, Sellal est parti comme il est venu, comme un voleur. Dehors la foule des étudiants n’ayant pas eu l’opportunité de le croiser à son arrivée, cherchent à savoir « par où il va sortir ». Mais en vain, ils ne réussiront pas à mettre la main sur le KDS, ils improvisent alors une marche au cours de laquelle de nombreuses arrestations auront encore lieu, y compris jusque dans l’enceinte même de l’université.
zp,
SIWEL
Les posters et fanions à l’effigie de Bouteflika ont été accrochés en cachette, dans la nuit, et les « invités », triés parmi la crème de la racaille tizi-ouzienne, sont partis, en famille, assister au cortège funèbre de la présidentielle algérienne. Le troupeau familial devait se présenter au grand complet avec femmes, enfants, sœurs, frères, mères, pères, grand-mère et grands-pères.
Tous ces braves gens, une fois réunis à la maison de la culture de Tizi-Ouzou transformée pour l’occasion en écurie, ont été décorés comme des arbres de noël. Tous drapés dans des drapeaux algériens, portant casquettes et tee-shirts à la gloire de Bouteflika, criaient fièrement «Nous sommes la Grande Kabylie et pas la petite !», comme au temps de gloire de « l’Algérie française » et de sa cohorte de harkis !
Reprenant à son compte la politique du régime colonial français qui a inventé ces appellations de «grande Kabylie» et «petite Kabylie» pour diviser le peuple kabyle et affaiblir sa capacité de résistance contre la colonisation française, le bachagha Ould Ali Lhadi, réédite cette minable tentative de division du peuple kabyle mais cette fois pour le compte du colonialisme arabo-islamique, ignorant que par ces actes de haute trahison, il ne fait que réaliser les sombres prévisions de sa pauvre mère qui disait de lui « ce garçon finira mal ».
Non satisfait d’avoir pris en otage « La maison de la culture de Tizi Ouzou » depuis son ralliement au camp des assassins et sa prise de fonction déshonorante de grand bachagha de Tizi-Ouzou, Oud Ali Lhadi se surpasse dans les actes de trahisons et va jusqu’à insulter publiquement une partie de la Kabylie, à savoir la Kabylie de la Soummam. Ce que le bachagah Ould Ali Lhadi semble oublier, c’est que, malgré la puissance de sa force politique et militaire, la France coloniale a été mise dehors et ses collabos n’ont eu pour seule reconnaissance que l’infâme titre de harkis.
Mais la jeunesse kabyle de Tizi-Ouzou, à l’instar de celle de Vgayet, était bien décidée à ne pas se laisser trainer dans la boue. Nullement intimidés par une atmosphère sécuritaire digne de la « pacification française », la jeunesse kabyle du Djurdjura a bravé les colossales forces de répressions mobilisées pour l’évènement et même s’ils n’ont pas réussi à empêcher le meeting de cette nouvelle classe de kabyle de service, ils ont quand même sauvé l’honneur du Djurdjura.
Plus d’une centaine d’arrestation ont eu lieu dans la matinée parmi les rangs des étudiants de Tizi-Ouzou dont plusieurs étaient des militants du MAK. Malgré les arrestations et le dispositif sécuritaire, la jeunesse revient à la charge pour dénoncer la présence du « KDS Sellal » à Tizi Ouzou. Les jeunes réussissent à occuper la rue juste devant la maison de la culture, puis d’autres étudiants arrivent en renfort. On entend les slogans fuser : « Ulac Lvot Ulac », « Boutef dégage », « DRS dégage », « pas d’élections en Kabylie » les militants et étudiants du MAK répétaient sans cesse : «Non au système colonial, Kabylie autonome, Kabylie indépendante »…
Pendant ce temps, à l’intérieur du bunker de la maison de la culture de Tizi-Ouzou, c’est sous les ovations nourries des vétérans du « club des moudjahidine », des militants du FLN et des membres de l'UGTA, que Sellal a fait une entrée « floklorique » sur la scène avec trompette et tambour. Le frère de Abane Ramdane est exhibé sur scène, aux côté de Sellal, pour appuyer la candidature de Bouteflika ! … Quel triste sort que celui de porter en triomphe les assassins de son propre frère.
Puis Sellal aura le culot d'évoquer le passé militant et engagé de la Kabylie ainsi que ses nombreux martyrs et c’est sans gêne aucune qu’il évoque les noms de ceux que son clan a fait assassiner : Amirouche, Abane, Krim, sans oublier Tahar Djaout dont ils ont amnistiés les assassins et Matoub Lounès qu’ils ont fait assassiner juste avant de rallier à leur camps la nouvelle troupe de kabyles de services qui on gravité autours de lui au RCD tels que Ould Ali Lhadi, Khalida Toumi et Amara Benyounes et leur éviter ainsi quelques pamphlet bien acérés...
De son côté le bachagha Ould Ali Lhadi, n’ayant ni honneur, ni dignité, a même osé aller jusqu’à demander une minute de silence à la mémoire des « martyrs » tout en glorifiant «le bilan et les perspectives» du candidat Bouteflika ; lequel bilan compte les 128 jeunes kabyles assassinés au cours du Printemps Noir et l’amnistie des terroristes. Et parmi les perspectives de Bouteflika, on peut citer l’exploitation de gaz de schistes en Kabylie au profit et avec le concours d’un pays, la France en l’occurrence, qui refuse d’exploitation ces mêmes gaz chez elles pour « préserver l’environnement et la santé publique française ».
A la fin du meeting, Sellal est parti comme il est venu, comme un voleur. Dehors la foule des étudiants n’ayant pas eu l’opportunité de le croiser à son arrivée, cherchent à savoir « par où il va sortir ». Mais en vain, ils ne réussiront pas à mettre la main sur le KDS, ils improvisent alors une marche au cours de laquelle de nombreuses arrestations auront encore lieu, y compris jusque dans l’enceinte même de l’université.
zp,
SIWEL
LES BUS DE LA HONTE
Publiée le 6 avr. 2014
Un fric fou a été dégagé pour la campagne du candidat "indépendant" BOUTEFLIKA en région parisienne
Le MAK dément les propos du représentant de Benflis à Tazmalt
Le MAK dément les propos du représentant de Benflis à Tazmalt
07/04/2014 - 17:54
TAZMALT (SIWEL) — Selon des informations parvenues à notre rédaction, le représentant d'Ali Benflis qui a animé aujourd'hui un meeting à Tazmalt aurait affirmé que le MAK, le RCD et le FFS avaient promis de "soutenir la candidature d'Ali Benflis en Kabylie". La direction du MAK, que nous venons de contacter a catégoriquement démenti cette information qualifiée de "totalement mensongère" .
Cours de sa campagne pour le rejet des élections algériennes, le MAK a collé sur les visages de tous les candidats son affiche appelant au rejet des élections algériennes et pour un référundum sur l'autodétermination de la Kabylie
Ainsi, selon des informations parvenues à notre rédaction, le représentant d'Ali Benflis qui a tenu un meeting aujourd’hui à Tazmalt, dans la région de Vgayet, a affirmé à l'assistance que le MAK, le RCD et le FFS avaient promis de soutenir la candidature de Benflis en Kabylie.
Surpris par cette information, nous avons immédiatement contacté la direction du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie, (MAK) pour vérifier l'information. son président M. Bouaziz Ait-Chebib a immédiatement démenti l'information qu'il a qualifiée "d'absurde" et de "totalement mensongère". Il a précisé que son mouvement "rejette toutes les élections algériennes quels que soient les candidats et à plus forte raison celle de Benflis" car précise-t-il " Si Ali Benflis fait semblant d'oublier qu'il était premier ministre en 2001 et qu'il avait même qualifié la jeunesse kabyle assassinée par sa gendarmerie "d'agents à la solde de l'étranger, eh bien nous nous ne l'avons pas oublié ! "; "personne ne passera en Kabylie, ni Bouteflika, ni Benflis ni personne".
M. Ait-Chebib a par ailleurs estimé que de telles manœuvres expriment "la malhonnêteté des candidats algériens qui vont jusqu'à s'apporter eux-même le soutien de leurs principaux adversaires" et pire encore, ils vont même jusqu'à aller déposer des gerbes de fleurs à la mémoire des victimes du Printemps Noir et de Matoub Lounès, alors qu'ils en sont les assassins !" conclue-t-il avec une pointe de mépris dans la voix.
maa/wbw
SIWEL 071754 AVR 14
Surpris par cette information, nous avons immédiatement contacté la direction du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie, (MAK) pour vérifier l'information. son président M. Bouaziz Ait-Chebib a immédiatement démenti l'information qu'il a qualifiée "d'absurde" et de "totalement mensongère". Il a précisé que son mouvement "rejette toutes les élections algériennes quels que soient les candidats et à plus forte raison celle de Benflis" car précise-t-il " Si Ali Benflis fait semblant d'oublier qu'il était premier ministre en 2001 et qu'il avait même qualifié la jeunesse kabyle assassinée par sa gendarmerie "d'agents à la solde de l'étranger, eh bien nous nous ne l'avons pas oublié ! "; "personne ne passera en Kabylie, ni Bouteflika, ni Benflis ni personne".
M. Ait-Chebib a par ailleurs estimé que de telles manœuvres expriment "la malhonnêteté des candidats algériens qui vont jusqu'à s'apporter eux-même le soutien de leurs principaux adversaires" et pire encore, ils vont même jusqu'à aller déposer des gerbes de fleurs à la mémoire des victimes du Printemps Noir et de Matoub Lounès, alors qu'ils en sont les assassins !" conclue-t-il avec une pointe de mépris dans la voix.
maa/wbw
SIWEL 071754 AVR 14
Le MAK n’est ni BARAKAT ni l’ex-FIS | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie
Le MAK n’est ni BARAKAT ni l’ex-FIS
De Tizi-Ouzou, Saïd Tissegouine
Il se trouve justement que ce mouvement BARAKAT ne s’attaque qu’au quatrième mandat d’Abdelaziz Bouteflika et à rien d’autre. Par ailleurs, le MAK a treize années d’existence et de lutte bien claires et qui ne souffrent aucune ambiguité alors que BARAKAT est né à l’annonce de l’intention d’Abdelaziz Bouteflika de briguer un quatrième mandat et les instigateurs de ce mouvement étaient bien silencieux lors du viol de la constitution par ce même Bouteflika. Faut-il aussi rappeler que BARAKAT a d’abord péniblement joué du « coude » à Alger avant de tenter vainement de s’implanter en Kabylie, alors que le MAK n’a jamais considéré la capitale algérienne comme son espace géographiqueet que pour lui il s’agit de sauver la kabylie.
07/04/2014 - 09:41 mis a jour le 07/04/2014 - 10:54 parSaïd Tissegouine
L’empêchement du meeting d’Abdelmalek Sellal à Béjaia par les citoyens, samedi, a suscité une grande panique au sein du directoire de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika. Etre paniqué ne relève d’aucune honte. Car, c’est le subconscient de l’individu qui dicte et ordonne le geste réactionnaire face au danger. En revanche, se servir de la « panique » comme prétexte pour justifier son échec relève de la malhonnêteté. Il est aussi connu dans le monde des sciences psychologique et psychanalytique que l’être humain ne peut admettre la vérité absolue le concernant lorsqu’elle lui indique ses propres tares.
Le cas du responsable de la campagne électorale du camp Abdelaziz Bouteflika qui, dans son communiqué rendu public, a accusé les membres de la famille militante et patriotique du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK) d’être des nervis à la solde du mouvement BARAKAT est venu rappeler que cette théorie scientifique sur le rejet de la vérité absolue sur le négativisme est plus que jamais de rigueur. Sinon, l’auteur de ce communiqué, aussi diffamatoire et insultant, aurait tout simplement admis que « Bouteflika, l’homme providentiel » ne fait pas recette en Kabylie ; c’est le moins que l’on puisse en dire.
A moins que cet homme qui vient d’agresser le MAK dans son honneur soit, bien au contraire, un génie puisqu’il a trouvé une occasion, même peu exploitable, de s’attaquer au courant politique le plus authentique et le plus porteur des valeurs du congrès de la Soummam. En effet, comment serait-il possible qu’un homme évoluant au niveau des plus hautes sphères du pouvoir d’Alger semble ignorer que la famille militante et patriotique du MAK n’a non seulement pas la moindre corrélation avec ce Mouvement BARAKAT mais n’arrête pas non plus d’informer le peuple kabyle – lequel d’ailleurs est très mûr politiquement et idéologiquement – que le seul choix dans l’honneur est le rejet des élections algériennes.
Il se trouve également que la devise du MAK est le rejet pur et simple de toutes les élections algériennes et pas seulement celle du 17 avril ; autrement dit, les communales, l’APW, les législatives, les sénatoriales et les présidentielles. Cela veut dire donc, que le candidat Abdelaziz Bouteflika n’est pas plus adversaire du MAK que ses autres concurrents au fauteuil d’El Mouradia et même de tous les élus, y compris et même surtout ceux de la Kabylie puisqu’ils cautionnent par leur participation un régime et son système.
Il se trouve justement que ce mouvement BARAKAT ne s’attaque qu’au quatrième mandat d’Abdelaziz Bouteflika et à rien d’autre. Par ailleurs, le MAK a treize années d’existence et de lutte bien claires et qui ne souffrent aucune ambiguïté alors que BARAKAT est né à l’annonce de l’intention d’Abdelaziz Bouteflika de briguer un quatrième mandat. Faut-il aussi rappeler que BARAKAT a d’abord péniblement joué du « coude » à Alger avant de tenter vainement de s’implanter en Kabylie, alors que le MAK n’a jamais considéré la capitale algérienne comme son espace géographique et que pour lui il s’agit de sauver la kabylie.
Faut-il aussi préciser que le combat du MAK est résolument pacifique et, par conséquent, a proscrit toute forme de violence ? Qualifier donc les honorables militants et patriotes du MAK de nervis relève de l’absurdité. Ignorer réellement que le MAK n’entretient aucune corrélation avec BARAKAT relève d’une autre absurdité. Ignorer cette réalité et l’affirmer à travers la presse relève tout simplement d’un manque d’éducation et de culture de la part de son auteur.
Sachez Monsieur l’auteur de cette insulte que les militantes et militants du MAK sont toutes et tous issus de familles qui ont combattu la France coloniale, comme la plupart des familles kabyles. Et aujourd’hui encore, les militantes et les militants du MAK combattent la France néocoloniale et son groupe d’Algériens, partisans de l’Algérie-France dont apparemment vous faîtes partie.
L’erreur d’Abdelaziz Bouteflika est d’avoir accepté dans ses rangs des gens dont les parents ont, de toute leur âme, combattu le Front de Libération Nationale (FLN) pendant toute cette période de la guerre d’indépendance de l’Algérie. Sachez, monsieur l’auteur de l’insulte que, nous au MAK, nous connaissons pas mal de gens issus de familles de harkis et qui prétendent aujourd’hui venir en aide à l’Algérie. Et jusqu’à preuve du contraire, les nervis de la France néocoloniale sont parmi votre camp monsieur l’auteur de l’insulte.
Le MAK est suffisamment mâture et surtout bine plus honorable que vous ne pourrez jamais l’être pour accepter d’être le nervi de quiconque. Le nervi n’est autre que vous, monsieur l’auteur de cette insulte. C’est vous le nervi dans la mesure où vous avez accepté de jouer le mauvais rôle.
« Vos maîtres d’Alger », et qui sont à leur tour les nervis de la France néocoloniale, sont dérangés par l’existence du MAK et la sympathie que lui témoigne le peuple kabyle. Car c’est bien le MAK qui constitue la menace pour les biens qu’ils ont acquis au prix de la trahison de leur patrie et du fleuve de sang qu’il fait couler pour que l’Algérie reste la chasse gardée de leurs maîtres de Paris.
Il se trouve monsieur l’auteur de l’insulte que c’est l’homme à qui vous faites campagne électorale contre des sommes colossales d’argent qui a autorisé les avions de guerre français à survoler le ciel algérien pour aller massacrer le peuple touareg dont le seul « tort » est d’avoir demandé à être le propriétaire de ses propres biens.
C’est encore l’homme pour qui vous avez accepté de jouer le rôle de nervi qui a autorisé la France à faire l’exploitation de Gaz de schiste sur le territoire kabyle, ce territoire que vous ne voulez pas lâcher.
C’est encore l’homme pour qui vous avez accepté de jouer le rôle de nervi qui a autorisé la France à faire l’exploitation de Gaz de schiste sur le territoire kabyle, ce territoire que vous ne voulez pas lâcher.
Non, monsieur l’auteur de l’insulte, les nervis, ce sont vous et ceux qui vous emploient. Cependant, même en étant de dangereux nervis, vous ne pourrez pas arrêter le cours de l’histoire du peuple kabyle.
La grande foutaise de Sellal à Tizi Wezzu | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie
meeting de Sellal à Tizi Wezzu
Des moyens sécuritaires qui n’ont jamais été utilisés pour éradiquer l’insécurité et le terrorisme le plus sanglant qui frappe la Kabylie. Pire encore, des groupes de mafieux très connus dans la ville de Tizi Wezzu ont été payés pour épauler les forces de sécurité. Mais ces derniers sont restés en marge, car ayant la peur au ventre d’être confrontés à des militants courageux, motivés par des principes dignes, et déterminés, non pas par des miettes d’argent sale.
07/04/2014 - 00:22 mis a jour le 07/04/2014 - 13:23 parAmenay A
La sortie électorale de Abdelmakel Sellal, d’hier à Tizi Wezzu, fut une grande foutaise, à la mesure du comique qu’est ce chef de campagne du candidat mourant, Abdelaziz Bouteflika. C’est également le cas de tous les larbins, et mafieux locaux qui ont organisés cette sortie, pour le moins que l’on puisse dire, rocambolesque. Mais que veulent-ils faire croire ? Personne n’est dupe de leurs mises en scène des plus absurdes.
Le régime dictatorial d’Alger n’a pas du tout lésiné sur ses efforts pour réussir sur la forme, puisque sur le fond, c’est chose impossible à réussir en Pays kabyle avec de telles marionnettes politiques.
Ainsi donc, des moyens de guerre ont été mobilisés pour assurer la sécurité de Sellal, et des morveux locaux contre les manifestants kabyles venus en nombre pour crier leur rejet total de toute mascarade électorale du système despotique d’Alger, en Terre kabyle.
Des chars de l’armée algérienne coloniale ont été mobilisés pour la circonstance, postés tout au long de l’axe Alger-Tizi Wezzu. Plus de 5 milles policiers sont appelég en renfort pour sécuriser le lieux où s’est déroulé le meeting, à la maison de la culture de Tizi Wezzu.
Ainsi donc, des moyens de guerre ont été mobilisés pour assurer la sécurité de Sellal, et des morveux locaux contre les manifestants kabyles venus en nombre pour crier leur rejet total de toute mascarade électorale du système despotique d’Alger, en Terre kabyle.
Des chars de l’armée algérienne coloniale ont été mobilisés pour la circonstance, postés tout au long de l’axe Alger-Tizi Wezzu. Plus de 5 milles policiers sont appelég en renfort pour sécuriser le lieux où s’est déroulé le meeting, à la maison de la culture de Tizi Wezzu.
Des moyens sécuritaires qui n’ont jamais été utilisés pour éradiquer l’insécurité et le terrorisme le plus sanglant qui frappe laKabylie. Pire encore, des groupes de mafieux très connus dans la ville de Tizi Wezzu ont été payés pour épauler les forces de sécurité. Mais ces derniers sont restés en marge, car ayant la peur au ventre d’être confrontés à des militants courageux, motivés par des principes dignes, et déterminés, non pas par des miettes d’argent sale.
Par ailleurs, cinq bus ont été dépêchés d’Alger, tôt dans la matinée d’hier, sous escorte, remplis de « citoyens-applaudisseurs » pour servir de décor à l’intérieur de la salle.
Cela alors que Sellal, déclarait hier àBgayet que les manifestants qui l’ont humilié dans cette ville venaient « d’autres wilayas ». Mais, en réalité, qui vient des « autres wilayas » ? Les manifestants ou les applaudisseurs pour un sandwich ?
Cela alors que Sellal, déclarait hier àBgayet que les manifestants qui l’ont humilié dans cette ville venaient « d’autres wilayas ». Mais, en réalité, qui vient des « autres wilayas » ? Les manifestants ou les applaudisseurs pour un sandwich ?
En tout, au maximum une vingtaine de personnes de Tizi Wezzu ont participé à ce semblant de meeting de Sellal, et encore, ces personnes sont, soit payées, soit induises en erreur, ou carrément forcées d’y être présentes. Abdelmalek Sellal s’est prêté à un discours des plus archaïques, fade, sans queue ni tête.
Sinon, aucun kabyle digne de ce nom ne pourra applaudir un tel énergumène politique, ni soutenir un système dictatorial et sanguinaire qui les opprime dans leurs droits les plus élémentaires.
Sinon, aucun kabyle digne de ce nom ne pourra applaudir un tel énergumène politique, ni soutenir un système dictatorial et sanguinaire qui les opprime dans leurs droits les plus élémentaires.
Les convictions et les principes politiques sont deux choses qui restent à inventer dans le sillage du petit nain d’Oujda. Un clan qui ne connaît que la rapine, la corruption, la traîtrise et les sales manœuvres. Une chose est sûre, le vote n’aura pas lieux au Pays kabyle, car son peuple a vomi ces imposteurs depuis belles lurettes.
Amenay A
Meeting pro-Bouteflika à Paris - Violences envers les membres d'ACA
Publiée le 6 avr. 2014
PAGE OFFICIELLE D'ACTION CITOYENNE POUR L'ALGERIE :
https://www.facebook.com/actiondz
Aujourd'hui 6 avril 2014, durant le meeting de soutien au président sortant Abdelziz Bouteflika (sis Paris porte maillot, hôtel méridien, animé par les ministres Amara Benyounes et Amar Ghoul), des citoyens et des des militants du mouvement " Action Citoyenne pour l'Algérie" on été victimes de graves violences portées à l'encontre de leur intégrité physique pour seul motif d'avoir exercer le plus fondamental des droits, celui de l'expression. Ces derniers se sont faits molestés et violemment agressés impliquant l'hospitalisation de certains d'entre eux.
L'action citoyenne pour l'Algérie tient à dénoncer fermement les violences commises à l'encontre des citoyens qui ont pris parole pour signaler de manière pacifique et non-violente leur opposition :
- au quatrième mandat,
- à la parodie électorale,
- au système en place à travers toutes ses ramifications,
- à l'absence de démocratie, de liberté et de justice.
Cette agression illustre la nature profondément anti-démocratique et liberticide du régime algérien, ainsi que son refus total du dialogue; n'ayant d'autres réponses à nos revendications que la violence et la censure. Ceci confirme la logique totalitaire et despotique du pouvoir algérien à travers son recours systématique à la répression.
Nous, membres du collectif Action citoyenne pour l'Algérie, rappelons notre absolue opposition au régime et appelons à la mobilisation de toutes les forces vives de la nation pour tous ensemble défendre notre idéal de justice, de liberté et de démocratie.
Vive la démocratie
Vive le peuple
Vive l'Algérie
https://www.facebook.com/actiondz
Aujourd'hui 6 avril 2014, durant le meeting de soutien au président sortant Abdelziz Bouteflika (sis Paris porte maillot, hôtel méridien, animé par les ministres Amara Benyounes et Amar Ghoul), des citoyens et des des militants du mouvement " Action Citoyenne pour l'Algérie" on été victimes de graves violences portées à l'encontre de leur intégrité physique pour seul motif d'avoir exercer le plus fondamental des droits, celui de l'expression. Ces derniers se sont faits molestés et violemment agressés impliquant l'hospitalisation de certains d'entre eux.
L'action citoyenne pour l'Algérie tient à dénoncer fermement les violences commises à l'encontre des citoyens qui ont pris parole pour signaler de manière pacifique et non-violente leur opposition :
- au quatrième mandat,
- à la parodie électorale,
- au système en place à travers toutes ses ramifications,
- à l'absence de démocratie, de liberté et de justice.
Cette agression illustre la nature profondément anti-démocratique et liberticide du régime algérien, ainsi que son refus total du dialogue; n'ayant d'autres réponses à nos revendications que la violence et la censure. Ceci confirme la logique totalitaire et despotique du pouvoir algérien à travers son recours systématique à la répression.
Nous, membres du collectif Action citoyenne pour l'Algérie, rappelons notre absolue opposition au régime et appelons à la mobilisation de toutes les forces vives de la nation pour tous ensemble défendre notre idéal de justice, de liberté et de démocratie.
Vive la démocratie
Vive le peuple
Vive l'Algérie
Inscription à :
Articles (Atom)