vendredi 17 janvier 2014

Communiqué du MAK: Commission préparatoire de la conférence nationale des cadres

Communiqué du MAK: Commission préparatoire de la conférence nationale des cadres

17/01/2014 - 18:50

KABYLIE (SIWEL) — Le Mouvement pour autodétermination de la Kabylie (MAK), convoque par voir de communiqué les cadres de sa structure dans la perspective de la préparation de la conférence nationale des cadres


Ce communiqué tient lieu de convocation

Communiqué du MAK: Commission préparatoire de la conférence nationale des cadres

Communiqué : Commission préparatoire de la conférence nationale des cadres 

La conférence nationale des cadres du MAK ayant pour mission d’adapter les textes du mouvement à la résolution du Conseil National du 4 octobre dernier aura lieu le 24 janvier à Smaoun dans le département de Vgayet. 

Ce communiqué tient lieu de convocation 

Kabylie, le 17 janvier 2014 

Mohand Ouamer Hachim, Président de la commission préparatoire de la conférence nationale des cadres. 

SIWEL 171850 JAN 14

Racisme d’Etat et diaspora amazighe : Le pouvoir Algérien actionne ses relais mozabites en France

Racisme d’Etat et diaspora amazighe : Le pouvoir Algérien actionne ses relais mozabites en France

17/01/2014 - 18:37

PARIS (SIWEL) — Propagande, manipulation, infiltration, le pouvoir algérien, sclérosé dans sa mentalité comme dans ses pratiques, essai d'anticiper sur la solidarité entre les peuples amazighs qui, d’année en année, ne cesse de se consolider, à l’intérieur de l’Algérie, comme à l’extérieur. Pour se faire il use comme d’habitude de quelques larbins de services. Après les Kabyles, les Chaouis et les Touaregs de service, voici venu le temps des Mozabites de service.


M. Abdallah Zekri, franco-algérien, semble être un habitué de l’infiltration. Ce chargé de mission au Conseil français du culte musulman (CFCM) était membre de l’UMP. Face à la presse, il a « déchiré » sa carte d’adhérent à l’UMP en appelant « tous les musulmans de l’UMP » à l’imiter pour protester contre un  « débat » sur la laïcité et l’Islam. une belle preuve de tolérance  (PH/DR)
M. Abdallah Zekri, franco-algérien, semble être un habitué de l’infiltration. Ce chargé de mission au Conseil français du culte musulman (CFCM) était membre de l’UMP. Face à la presse, il a « déchiré » sa carte d’adhérent à l’UMP en appelant « tous les musulmans de l’UMP » à l’imiter pour protester contre un « débat » sur la laïcité et l’Islam. une belle preuve de tolérance (PH/DR)
Dans une déclaration rendue publique sur un site algérien (Algérie-patriotique) appartenant à la mafia politico-militaire de la nomenclature algérienne, un « Collectif des Mozabites en Europe », né miraculeusement de nulle part, juste après l’annonce d’un grand rassemblement de solidarité à Paris, s’en est violemment pris à « l’internationalisation du conflit du Mzab » et donc au militant des droits de l’homme, Kameleddine Fekhar qui a eu l’audace de demander une médiation internationale dans un conflit qualifié de racial, après avoir déclaré « ne plus avoir confiance en le pouvoir algérien » et qu’il accuse ouvertement de pratiquer un ethnocide sur les mozabites. 

On comprend mieux pourquoi ce mystérieux collectif de mozabites « refuse de cautionner ceux qui veulent internationaliser les événements du M’zab », et insiste pour rester dans le giron de l’Etat « car il s’agit d’un problème algéro-algérien qui doit être réglé localement par le dialogue et la concertation »insiste-t-il.…autrement dit, ce collectif, qui attaque directement le militant des droits de l’homme Kameleddine Fekhar, veut maintenir le peuple Mozabite dans une isolation préméditée qui arrange le pouvoir algérien afin de « régler le conflits du Mzab», comme l’a proposé le premier ministre algérien, A. Sellal, en « tournant la page », en « oubliant » et en « pardonnant » et…en « partageant équitablement les terres », dont il convient de préciser que les terres qu’il souhaite partager équitablement entre arabes et mozabites appartiennent tous aux mozabites. 

Pendant ce temps, les accusations portées par le militant des droits de l’homme, Kameleddine Fekhar étant étayées par de nombreuses vidéos, photos et témoignages, le pouvoir algérien tente coute que coute de museler ce militant et lui applique la même technique qu’à Ferhat Mehenni, avec d’autant plus de hargne que ce dernier apporte au Dr Fekhar un soutien appuyé. Craignant une contagion « séparatiste », iIl n’en fallait pas plus pour que le régime tenter d’organiser l’isolation du nouveau « traitre » qui veut diviser l’Algérie sauf que cette fois, il est mozabite. 

Alors, dénigrer et isoler toute tentative de solidarité entre les amazighs devient une affaire qui se fait urgente d’autant plus qu’une cinquantaine de militants mozabites a fait des milliers de kilomètres, de Ghardaia à Tizi-Ouzou, pour aller marcher avec leurs frères et sœurs amazighs de Kabylie à l’appel d’un Mouvement « séparatiste » qui prône l’autodétermination. Et comble de malchance pour le régime algérien, qui affectionne les crimes à huis-clos, le Collectif des amazighs en France, le même jour, organise un rassemblement de solidarité à Paris, sur la place des droits de l’homme au Trocadéro pendant que la disapora amazighe du canada organise, toujours le même jour, un autre rassemblement à Ottawa…s’en est trop pour le pouvoir algérien qui décide de créer sur place un collectif des mozabites pour dénier à quiconque de parler au nom des mozabites sous peine de déposer plainte contre eux ! 

Il suffit de relever passages du communiqué de ce collectif pour comprendre de suite à qui l’on a affaire. Ainsi dit par exemple qu’il , appelle « les Algériens à éliminer les germes de la fitna » et « appelle les algériens à rester solidaires pour renforcer le bon vivre ensemble dans le droit et la justice au sein de la République»... donc se soumettre au droit et à la justice qui sont bafoué par les institutions-même de cette république qui mobilise ses forces de répression . 

En outre, ce collectif mystérieux rajoute qu’il «apporter son soutien total aux revendications contenues dans la plate-forme du CCS (Comité de coordination et de suivi) de Ghardaïa en Algérie» et fait mine de rappeler aux forces répressives en action à Ghardaia qu’il « est de leur devoir d’agir, avec les citoyens, pour rétablir la sécurité, la justice, l’égalité et la paix». Ce collectif est coordonné par un certain Abdallah Zekri, personnalité connue à Ghardaia pour être partie prenante du système algérien et infiltré en France où il occupe le poste de chargé de mission au conseil français du culte musulman. 

La cerise sur le gâteau est la menace à peine voilée où les membres de ce collectif «interdisent à toute personne, associations ou partis politiques de parler en leur nom sous peine de poursuites judiciaires», avant de finir par des remerciements où ils saluent et remercient « l’élan de solidarité de tous ceux qui ont condamné ces violences, en particulier la communauté algérienne de par le monde », sachant que le seul élan de solidarité qu’il y a avec les mozabites vient non pas de la communauté algérienne de par le monde mais uniquement des peuples amazighs. 

Craignant un cet élan de solidarité amazigh, particulièrement en France qui compte la communauté amazighe la plus importante d'Europe, les dernières menaces visent clairement le Collectif des Amazighs en France qu’ils tentent d’intimider avec des poursuites judiciaires, oubliant juste que la France n’est pas l’Algérie et que, même si la France soutien les régime raciste et criminel comme l’Algérie dans la vue étroite de ses propres intérêts, l’Etat Français respecte les lois de la liberté, de la démocratie et des droits de l’homme sur son territoire, et ne pourrait en aucun cas interdire et encore moins poursuivre en justice des personnes qui se solidarisent avec les peuples victimes d’un racisme flagrant. 

Le 15 janvier, ce collectif d’apparatchiks mozabites a été dénoncé par le Dr. Fekahr. Dans une publication diffusée sur sa page facebook, le militant des droits de l’homme, visé par l’interdiction d’internationaliser le drame mozabite répond en ces termes : « Acculé, le pouvoir Algérien raciste fait bouger ses marionnettes !! » et met en avant que « Personne n'a entendu parler d'eux auparavant ». Le Dr. Fekhar ajoute que ces gens « n'ont jamais bougé le petit doigt pour dénoncer les agissements racistes du pouvoir Algérien contre leurs propres familles !! » et que « Ces fantômes qui ont créé l’énigmatique et très suspect association (collectif des Mozabites d'Europe) à la veille du merveilleux et glorieux rassemblement à paris de soutien au Mozabites le 12/01/2014 pour le saboter », avant de les défier d’aller prêcher leurs discours à Ghardaia : « Ici à Ghardaia on a la certitude qui ces fantômes ne sont que des lâches serviteurs du pouvoir Algérien corrompu et corrupteur. On les défie de venir ici à Ghardaia prêché leur discours asservi au pouvoir raciste devant les jeunes rebelles Mozabites » 

zp, 
SIWEL 171837 JAN 13

Malijet "La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad" Mali Bamako



URGENT: "La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"





"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"


Par Le Courrier du Sahara - Date: il ya 1 heure 12 réactions


avec fracas en décembre 2012, peu avant le déclenchement de l’opération Serval contre les djihadistes du Nord-Mali. Hama Ag Mahmoud estime que cette opération militaire poursuivait également d'autres objectifs.


Interview :


Hama Ag Mahmoud était en charge des affaires Extérieures dans le Conseil Transitoire de l’Etat de l’Azawad, le gouvernement autoproclamé du MNLA, formé en juin 2012 après la conquête des villes du nord du Mali.





Farouchement opposé à l’alliance entre les indépendantistes touaregs et le groupe djihadiste Ansar Dine d’Iyag Ag Ghali, Hama Ag Mahmoud a démissionné en décembre 2012, quelques mois avant le début de l’offensive française Serval au Mali. Ancien ministre de la fonction publique sous la présidence de Moussa Traoré, Hama Ag Mahmoud est également un fin connaisseur des enjeux économiques régionaux.


Il a officié en tant que secrétaire général de la Chambre de Commerce et de l’Industrie du Mali et a été élevé au rang de Chevalier de l’Ordre National du Malien 2009, une distinction qu’il a refusé de se voir décerner. Témoin clé des événements ayant conduit au déclenchement de l'opération Serval il y a un an,Hama Ag Mahmoud livre son analyse pour Le Courrier du Sahara.


- Un an après le déclenchement de l’offensive française au Mali, quel bilan faites-vous de ces opérations ?


- J’ai surtout vu des assassinats de civils, des pillages, des destructions d’habitats et de points d’eau. La presse n’en parle pas. Qu’a-t-on dit au sujet des 600 morts civils que nous avons répertoriés depuis le début de ces opérations militaires? Et quand vous regardez les images de Hollande à Tombouctou, vous ne voyez pas une seule personne blanche. Comparez l’arrivée de Hollande à Tombouctou avec celle de Chirac et vous allez voir la gaffe de l’armée française. On a procédé à une épuration ethnique des 3 régions du nord sous le regard impassible de l’armée française et de la communauté internationale. Personne n’en dit mot. Ça me révolte.


- Doit-on comprendre que vous mettez en cause la légitimité de cette intervention ?


- Tout le monde sait aujourd’hui qu’il y a un agenda caché derrière cette intervention. Durant toute l’année 2012 on a mis en garde la communauté internationale contre cette intervention. On ne peut pas lutter contre le terrorisme avec des avions et des blindés. Les terroristes connaissent particulièrement bien la région. Ils circulent avec des 4X4 qui filent à 100km/h hors piste. Ils connaissent le moindre petit trou de rat dans le désert.




"Le MNLA, avec le soutien des populations de l'Azawad, pouvait faire échec aux terroristes mille fois mieux que l'armée française"





Les français n’ont pas accepté les solutions qu’on leur avait présentées à l’époque. A savoir négocier pour parvenir à la paix, comme le préconisait la résolution 2085 du conseil de sécurité. On pouvait régler les problèmes politiques et laisser les populations locales faire la guerre aux terroristes, sans dégâts collatéraux. Le MNLA, avec le soutien des populations de l’Azawad, pouvait faire échec aux terroristes mille fois mieux que l’armée française.


- Après avoir conquis le nord du Mali, le MNLA s’est retrouvé débordé par les djihadistes. La menace était bien réelle, vous l’admettez ?


- Mais bien sur que je l’admets. Je sais aussi pourquoi. C’était pour faire échec au MNLA. Tous ces mouvements ne sont pas venus de rien. On sait d’où ils viennent, qui les ravitaille, qui les finance. Toutes les positions politiques qu’ils proclament correspondent aux positions politiques défendues par certains pays. Soyons clair, ils faisaient la guerre au MNLA par procuration.


- Ce sont des arguments que vous avez tenté de faire entendre à Paris lorsque vous étiez en charge des affaires extérieures du MNLA?


- Au départ, on avait dit à la France faites attention. Vous tenez les deux bouts. C’est vous qui nous avez incité à revenir dans l’Azawad. C’est vous aussi qui détenez le pouvoir politique à Bamako. Arrangez les problèmes avant qu’il ne soit trop tard. La France ne l’a pas fait. Aujourd’hui je crois que c’est même trop tard.


- La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?


- Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.




"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"





Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA.


- A vous entendre, les enjeux de cette guerre sont cachés. Quels sont-ils, selon vous ?


- Tout le monde convoite notre territoire. Il y a une guerre pour les ressources minières. La France a pris les devants pour obliger le Mali à signer un accord de défense et ensuite s’octroyer des concessions minières et protéger celles qui existent déjà. C’est ça l’essence de cette guerre. Les autres puissances ne sont pas dupes. Et ça pourrait ouvrir la porte à une intervention étrangère avec une implication des américains, des russes et même des chinois. Je vois mal ces pays laisser la France faire une OPA sur les ressources de l’Azawad et de la région.


- Quelles sont ressources auxquelles vous faites référence ?


- Il y en a énormément et rien n’a encore été exploité ni même exploré. Vous avez de l’or, vous avez du phosphate, du gaz, du pétrole et surtout vous avez de l’eau. C’est une ressource qui deviendra plus importante que le pétrole ou l’uranium. Le bassin de Taoudeni est une mer intérieure d’eau douce.


Imaginez les enjeux dans cette région où l’eau va se raréfier de plus en plus. La zone est éminemment stratégique. Les grandes puissances cherchent à se positionner dans le nord du Mali depuis très longtemps. Prenez la base de Tessalit, elle a toujours été convoitée par les américains, les européens mais aussi les russes. Tout le monde veut avoir cette base.






"Trouver la stabilité pour pouvoir exploiter les ressources de la région, c'est l'un des enjeux de cette guerre"





A partir de là, comme à Tamanrasset (n.d.l.r : sud de l’Algérie), vous avez un point de vue sur toute la région. Donc c’est une zone hautement stratégique et tout le monde a un œil dessus. Mais on ne peut pas exploiter des ressources dans une région en état d’insécurité permanente. Il faut trouver la stabilité avant de pouvoir exploiter. C’est l’un des enjeux de cette guerre.


- Vous avez une position très critique vis-à-vis de la France. Comment étiez-vous perçu par Paris lorsque vous étiez en charge des Affaires extérieures au MNLA ?


- La France ne voulait plus de contacts avec nous. Elle a tout bloqué. Elle a mis tout son arsenal diplomatique pour bloquer le MNLA dans le monde. Mais tout le monde savait que nous avions raison sur le fond. C’est un problème qui existe depuis très longtemps, une conséquence du découpage de la colonisation. Un découpage qui n’a pas respecté les réalités africaines et qui a voulu faire des Etats imaginaires impossible à faire exister sur le long terme.


Les Etats prennent des siècles voir des millénaires à se constituer. On ne fabrique pas des Etats en quelques années. Ce sont des pays créés artificiellement. Des pays dotés d’institutions calquées sur le modèle français. Ce n’est pas utile en Afrique. On ne peut pas travailler les sociétés africaines avec des institutions françaises.


- En mai 2012, le MNLA et Ansar Dine annonçaient officiellement leur alliance. Qu’en pensiez-vous à l’époque ?


- Il y a toujours eu des discussions. Mais l’annonce officielle de l’alliance est le résultat de manipulations venant de l’étranger et visant à ternir l’image du MNLA. A l’origine, le MNLA n’a jamais été pro-islamiste. Mais le MNLA a été infiltré au plus haut niveau par les pays qui financent le terrorisme. Je veux parler de l’Algérie mais aussi du Qatar. On a tous vu comment s’organisaient les distributions d’argent et de ravitaillement dans le nord du Mali et qui en était à l’origine. Et je n’exclus pas que les français et les américains soient aussi impliqués.


- Plusieurs ONG internationales ont accusé le MNLA d’avoir commis de graves exactions lorsque le mouvement était présent dans les villes du nord du Mali. Vous réfutez ces accusations ?


- Absolument, ce n’était pas le fait du MNLA. Il faut se rappeler que le MNLA est venu dans l’Azawad avec les combattants d’Ansar Dine et d’AQMI. Ces hommes se sont infiltrés dans le MNLA et ce sont eux qui ont provoqué tous les crimes commis durant cette époque. Le MNLA a, au contraire, sauvé des européens qui étaient là-bas en les escortant jusque vers la Mauritanie, l’Algérie, le Burkina et le Niger.




"Le MNLA n’a jamais voulu commettre des exactions contre les populations"





C’est la preuve que le MNLA n’a jamais voulu commettre des exactions contre les populations. Il ne faut pas confondre la propagande avec la vérité. La vérité c’est que Bamako a toujours été un allié des terroristes et des trafiquants de drogue et que cette alliance a perduré pendant que les terroristes occupaient l’Azawad.


- Les revendications du MNLA sont passées de l’indépendance à l’autonomie. Bamako parle d’une décentralisation poussée. Le MNLA a progressivement abandonné ses revendications historiques, vous le confirmez ?


- Oui bien sur parce que le MNLA a été infiltré. Depuis longtemps, le MNLA cadre sa politique avec les désidératas des pays étrangers. Ce n’est plus le MNLA originel. Et ce n’est pas ce que veulent les populations de l’Azawad. Sinon le MNLA n’aurait jamais signé les accords de Ouagadougou. Toutes les revendications du MNLA ont été vidées de leur substance avec cet accord.


- La direction du MNLA ne représente plus la base, selon vous ?


- Non et de loin. Sinon le MNLA n’aurait jamais signé ces accords. La preuve, c’est que cet accord a été adopté sans en référer à la base. Regardez aujourd’hui, les dirigeants du mouvement ne peuvent plus aller à Kidal. Comment peut on se battre pendant des années pour l’autonomie, l’indépendance et dire aujourd’hui on n’en veut plus? On accepte la constitution du Mali, une copie du système français, à l’encontre des usages en cours dans l’Empire du Ghana, du Mali et de Gao.


- Selon votre analyse, le MNLA arrive à la fin?


- Absolument, le MNLA a atteint ses limites. Il va passer à la trappe comme il l’a déjà fait en 1991. Mais si on veut un Mali stable, un Mali qui se développe, il ne faut pas fermer les yeux sur la réalité. La vérité c’est que le MNLA défend l’Azawad. L’Azawad, c’est la boucle du Niger constituée d’Etats indépendants avant l’arrivée des français. C’est une zone qui a fait partie pendant des millénaires de l’ensemble des royaumes et empires africains.




"Les touaregs ont de tout temps joué un rôle politique et social qui a bénéficié aux populations noires"





Il faut rappeler que les touaregs n’ont jamais fait la guerre aux noirs. Ils ne se sont jamais révoltés contre l’empire du Ghana, du Mali ou de Gao. Pourquoi? Parce qu’ils ont de tout temps joué un rôle politique et social qui a bénéficié aux populations noires. Ils ont assuré le commerce transsaharien. Ils ont enrichi les empires noirs. Ils ont organisé la sécurité du Sahara. Les touaregs étaient reconnus et respectés dans les empires noirs. Ce que ni le Mali ni la France n’ont réussi à faire.


Il faut revenir à ça si on veut la stabilité de la région. Il faut accepter le principe d’une entité à part. On le voit aujourd’hui, les islamistes gagnent du terrain, ils constituent une menace au Mali, dans l’Azawad mais au Niger, au Cameroun et au Nigéria. Ils sont présents en Algérie et en Libye. Tant que cette question ne sera pas réglée politiquement, le désordre ne pourra que se généraliser dans la sous-région.


- Les djihadistes, très affectés par l’offensive Serval, semblent se reconstituer. Ils sont à nouveau une grave menace selon vous ?


- Absolument. A-t-on dénombré les pertes dans les rangs djihadistes? Personne ne l’a fait. 200 morts selon les français. Qui a vu les corps? Où sont-ils? L’opération Serval n’a servi que de test pour les islamistes. Ils sont en train de se préparer pour reprendre une guerre sous une autre forme. Regardez, 2 hommes sont arrivés à Tombouctou pour semer la pagaille. Ils sont rentrés jusque dans le camp de bataillon. Ils ont exterminé des gens. A Kidal, à Tessalit, à Gao ils font la même chose. 2 ou 3 hommes suffisent à mettre en échec un bataillon durant plusieurs heures.


- Les casques bleus et les soldats français, ça ne suffit pas ?


- Ca suffit en apparence mais c’est inefficace en réalité. Le nombre d’hommes est supérieur aux vrais besoins. Mais c’est inefficace. Les Français sont dans leurs avions et dans leurs blindés. Ce n’est pas là que la guerre se joue. Les soldats de la MINUSMA sont venus pour les salaires et les avantages. Ils ne vont pas s’entretuer avec les islamistes pour la sauvegarde des intérêts du Mali. Quant aux militaires maliens, ils ne font rien.




"La guerre contre le terrorisme, c’est d’abord une guerre politique"





Comment voulez-vous qu’il y ait une guerre contre le terrorisme dans ces conditions là? La guerre contre le terrorisme, c’est d’abord une guerre politique. Il faut la gagner sur ce terrain là et à travers les populations. Sans la collaboration pleine et entière des populations, cela restera totalement inefficace. Tout ça est mal fait, mal conçu et n’apportera absolument aucun résultat.


- Que préconisez-vous pour régler la question sur le plan politique? Une meilleure représentation de la société civile dans les négociations?


- Ce que je préconise, c’est un règlement politique qui prenne forme sur des bases préexistantes. Inutile de faire du raccommodage. Inutile de revenir à ce qui s’est fait dans le début des années 90. Ces accords n’ont jamais rien résolu. Ils n’ont fait qu’aggraver la déchirure et n’ont apporté aucune solution. La communauté internationale n’a aucun intérêt à ce que les islamistes prennent prétexte des problèmes sociaux, politiques et économiques pour pouvoir infester la région. Il faut régler le fond du problème. C’est un problème politique. C’est en réglant ce problème qu’on règlera le problème du terrorisme.


Dans cette région, personne ne veut aller avec les terroristes. Les populations sont hermétiques au terrorisme. Si le terrorisme a pris corps, c’est parce que les gens avaient besoin de travailler. Parce qu’ils voulaient les salaires et les autres avantages que les terroristes pouvaient leur donner. Rien d’autre.


- Pensez-vous que le MNLA devrait désarmer?


- Mais bien sur car l’arme ne joue plus. C’est la diplomatie maintenant. Il faut défendre les thèses du MNLA par la diplomatie, par la presse, par la communication. A quoi peuvent nous servir les armes aujourd’hui? Le désarmement a été signé. Quand on s’engage à désarmer, il faut le faire. Les accords de Ouagadougou exigent du MLNA qu’il soit désarmé et cantonné.


- Avez-vous l’impression que le président IBK est sincère dans sa volonté de négocier?


- Ah oui, le président IBK est un homme de parole, je le connais personnellement. Il a la volonté de régler les problèmes. Mais avec qui peut-il compter aujourd’hui au Mali ? Il n’y a personne. Ce sont les mêmes hommes qui ont détruit le pays par la corruption, les liens avec AQMI, avec les trafiquants de drogue. Ils ont détruit les institutions au Mali. Il n’y a pas de classe politique de rechange, il n’y a pas d’administration de rechange. IBK est prisonnier de cette situation. Quel que soit sa bonne volonté il lui faut des institutions, des hommes nouveaux et il n’y en a pas au Mali. Il est entouré des mêmes gangs qui ont miné le Mali depuis 20 ans.




Source: Le Courrier du Sahara

La chasse aux Mozabites continue... - TAMAZGHA le site berbériste

La chasse aux Mozabites continue...
vendredi 17 janvier 2014
par Masin
Le mardi 14 janvier 2014, des membres de la communauté arabe du quartier Hadj-Messaoud à Tagherdayt (Ghardïa), assurés de la protection des autorités algériennes, ont organisé une expédition en vue de s’accaparer des terrains appartenant aux Mozabites. Certains des propriétaires des terrains qui ont accourus afin de défendre leurs propriétés ont subi les agressions sauvages de leurs voisins châambas. La gendarmerie algérienne, comme à son habitude, a laissé faire avant d’intervenir, plus d’une heure plus tard, non pas pour arrêter les agresseurs mais plutôt pour arrêter quatre des Mozabites venus défendre leurs propriétés. Les assaillants n’ont pas été inquiétés et la gendarmerie les a laissés repartir en toute quiétude. Aïssa Bazzine, un jeune mozabite, a été grièvement blessé lors de cette attaque. Faudrait-il d’ailleurs rappeler que c’est depuis 1962 que les Mozabites sont régulièrement exposés à la spoliation de leurs terres ?
Aïssa Bazzine, agressé le 14 janvier 2014


Cette attaque sauvage intervient au lendemain du passage à Tagherdayt du premier ministre algérien qui est allé sur place pour faire semblant d’œuvrer pour trouver une solution à ce conflit dramatique pour la communauté mozabite. Comme si le puissant pouvoir algérien, "hyper-fliqué" et hyper-militarisé, peine à mettre fin aux agissements de quelques bandes de voyous !?

Le 16 janvier 2014, ce sont les Mozabites d’At-Mlicht, à Tagherdayt, qui ont fait face à la barbarie de Châambis venus des quartiers arabes notamment Hadj-Messaoud. Ces derniers s’attaquent aux personnes et à leurs biens dans l’indifférence totale de la police et la gendarmerie algériennes. Après le pillage, ils détruisent et incendient tout ce qu’ils peuvent : une véritable expédition hilalienne. Ces attaques se sont poursuivis également le vendredi 17 janvier, et la communauté mozabite est livrée à elle-même.

Face à cette situation de razzias à laquelle sont exposés les Mozabites, avec la complicité des autorités algériennes, que peuvent faire les Mozabites si ce n’est de songer à assurer, par tous les moyens possibles, leur propre sécurité ? Un élan de solidarité de l’ensemble des Imazighen doit plus que jamais voir le jour.

L’attitude raciste de l’État algérien qui ne cache plus sa haine envers Imazighen et qui ne lésine pas sur les moyens pour accélérer l’éradication de l’Amazighité doit être dénoncée. Mais au-delà de la dénonciation, jusqu’à quand Imazighen continueront à accepter l’humiliation d’États coloniaux, véritables voyoucraties, décidés à asseoir par la force l’hégémonie islamo-arabe en Afrique du Nord ?

Masin Ferkal. 

Scènes de l’attaque d’At-Mchilt, le vendredi 17 janvier 2014. 

URGENT/ Le pouvoir Algérien massacre les Mozabites en plein jour!!!!

URGENT/ Le pouvoir Algérien massacre les Mozabites en plein jour!!!!

17/01/2014 - 16:27

GHARDAIA (SIWEL) — Nous venons de recevoir à l'instant un message d'urgence du Dr Kameleddine Fekhar, militant des droits de l'Homme à Ghardaia dans lequel il fait état de la « reprise des massacres du pouvoir Algérien contre les mozabite, le peuple Amazigh autochtone qui habite la région du M’zab à Ghardaia ». Ci-après son appel de détresse dans son intégralité


Le militant des droits de l'Homme Kameleddine fekhar, lance un SOS à l'humanité toute entière : « Jusqu'à quand va durer le mutisme national et international devant ces crimes racistes contre l’humanité ?? »
Le militant des droits de l'Homme Kameleddine fekhar, lance un SOS à l'humanité toute entière : « Jusqu'à quand va durer le mutisme national et international devant ces crimes racistes contre l’humanité ?? »
Urgent !!!! 

S O S !!! 

Le pouvoir Algérien massacre les Mozabites en plein jour!!!! 


Ce jour le 17/ 01/ 2014 et à l’ instant même reprise des massacres du pouvoir Algérien contre les mozabite, le peuple Amazigh autochtone qui habite la région du M’zab à Ghardaia. Ces massacre ont commencé depuis plus d’un mois, par le biais des mercenaires regroupé en bandes organisé, de voyous et criminels arabes et cette fois ci contre la ville Mozabite At M'licht. Ces hordes sauvages détruisent, saccagent et incendient tranquillement maisons et magasins ... 
Et comme toujours sous la couverture et l’aide de la police Algérienne !!? 

Que prépare le pouvoir Algérien Aux citoyens Mozabites??

Jusqu’ou le pouvoir Algérien veut mener sa guerre contre les Mozabites?? 

Jusqu'à quand va durer le mutisme national et international devant ces crimes racistes contre l’humanité ?? 


Ghardaia le 17 /01/2014 

Dr Kameleddine FEKHAR 
Journaliste indépendant et Militant pour la démocratie 
Activiste pour la défense des droits humains 
Algérien appartenant à la minorité Mozabite victime d’ethnocide 
+213663932646 & +213560221110 
kameleddine.fekhar@yahoo.fr

Quatre terroristes abattus et un militaire tué à Ath Yenni | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie

Tizi Wezzu
L’accrochage entre les militaires et les terroristes a duré presque une heure. Un militaire a été tué par les terroriste indique notre source et un autre a été touché également par balle à l’épaule. Notre source parle aussi de terroristes blessés mais qui ont réussi à s’échapper.
17/01/2014 - 14:07 mis a jour le 17/01/2014 - 14:14 par Saïd F.
Une embuscade tendue par des militaires dans la région d’Ath Yenni, à Yatafen plus exactement, au sud-est de Tizi Wezzu, a permis l’élimination de quatre terroristes, hier soir, selon une source locale. Les militaires ont agi suite aux renseignements fournis par des citoyens sur la présence d’un groupe armé dans les parages.
L’accrochage entre les militaires et les terroristes a duré presque une heure. Un militaire a été tué par les terroriste indique notre source et un autre a été touché également par balle à l’épaule. Notre source parle aussi de terroristes blessés mais qui ont réussi à s’échapper.
Le militaire blessé a été évacué vers la polyclinique d’At Wacifs et ses jours ne sont pas en danger. Plus de 10 autres terroristes, par contre, ont échappé à l’embuscade des militaires.
Au cours de cet accrochage, au moins quatre armes ont été récupérées par les services de sécurité. Le ratissage se poursuit toujours par les militaires qui ne perdent pas espoir de localiser les autres terroristes qui leur ont échappé hier soir.
Des renforts et plusieurs autres unités de l’armée ont été dépêchés dans la région pour épauler les militaires sur place et cerner tous les maquis de Yatafen. Des bombardements sont entendus par les villageois de la région de Yatafen. Un climat de guerre règne dans la région. Plusieurs axes routiers sont fermés à la circulation automobile par les militaires. Ces derniers sont sur le qui-vive. Des hélicoptères sillonnent le ciel dans la région.
Saïd F

Ferḥat Mhenni d inebgi n Youssef Zirem, deg tedwilt n Graffiti di BRTV (...



Invité de Youssef Zirem dans l’émission "Graffiti", Ferhat Mehenni déclare : « Je ne suis pas là pour la division mais je ne peux plus accepter que mon peuple n’ai pas le droit d’exister »
17/01/2014 – 12:51
MONTREUIL (SIWEL) — Au cours de l’émission littéraire Graffiti, animé par Youssef Zirem, Ferhat Mehenni qui en était l’invité à l’occasion de la sortie de son dernier livre, Afrique : le casse-tête français. Son parcours littéraire, artistique, militant et politique a été évoqué au cours de l’émission. Il n’a pas manqué de renouveler son soutien au peuple Mozabite, actuellement en situation de conflit ouvert pour sa survie dans un environnement étatique résolument hostile, et à Kamel Eddine Fekhar qui dénonce courageusement les irrépressibles pulsions racistes de l’Etat algérien envers les peuples amazighs. Nous publions ci-après un extrait de l’émission Graffiti.
Parlant du combat que mène la Kabylie pour son droit à l’existence, Ferhat Mehenni dit : « Nous sommes des acteurs, et je suis parmi les acteurs qui veulent faire de la Kabylie une Nation, un Etat parmi tous ceux qui existe de par le monde. Je ne suis pas là pour la division mais je ne peux plus accepter que mon peuple n’ai pas le droit d’exister, d’avoir son propre gouvernement, d’avoir son propre parlement, d’avoir ses propres lois, de protéger ses enfants comme sa culture, comme sa langue, comme son identité" ».
zp,
SIWEL 171251 JAN 14

La Kabylie s'invite à l'Ecole des langues du Département d'Etat US.

La Kabylie s'invite à l'Ecole des langues du Département d'Etat US.

17/01/2014 - 11:20

WASHINGTON (SIWEL) — Une exposition sur les Berbères a été mise en place pour la troisième fois successive par trois enseignants Kabyles :Hmimic A . Amina C et Linda B. à NFATC (National Foreign Affairs Training Center)


Pour la troisième année consécutive, trois enseignants Kabyles organisent une exposition sur la Kabylie  à l'Ecole des langues du Département d'Etat américain US, au National Foreign Affairs Training Center, NFATC (PH/DR)
Pour la troisième année consécutive, trois enseignants Kabyles organisent une exposition sur la Kabylie à l'Ecole des langues du Département d'Etat américain US, au National Foreign Affairs Training Center, NFATC (PH/DR)
La Kabylie s'invite à l'Ecole des langues du Département d'Etat US. 

Une exposition sur les Berbères a été mise en place pour la troisième fois successive par trois enseignants Kabyles :Hmimic A . Amina C et Linda B. à NFATC (National Foreign Affairs Training Center) 

L'exposition s'étale du 9 au 15 Janvier et a lieu à la bibliothèque de l'école par ou passent tous les diplomates américains .Elle est organisée à l'occasion de Yennayer2964. 
En Plus du Power Point qui retrace l'histoire des Berbères en général et de la Kabylie en particulier en Photos et en écrits, des objets (bijoux kabyles/poterie/robes...),livres et autres œuvres d'art ont été exposés. 

Entre autres évènements historiques, on peut lire sur la Genèse du MCB, le printemps Amazigh, le printemps noir et l'avènement du Mouvement pour l'Autodétermination de La Kabylie. 

L'exposition est un succès, vu l'intérêt montré par les diplomates étudiants américains et les enseignants de différentes nationalités. 

Aseggwas Amgaz. 

Hmimic M At-Lmulud 

SIWEL 171120 JAN 14

Paris : Rencontre littéraire avec Smaïl Medjeber le 19 janvier 2014

Paris : Rencontre littéraire avec Smaïl Medjeber le 19 janvier 2014

17/01/2014 - 12:03

PARIS (SIWEL) — Dimanche prochain 19 janvier 2014, une rencontre littéraire avec Smaïl Medjeber est organisée au restaurant « Les Petits Campagnards », au 320 rue des Pyrénées dans le vingtième arrondissement de Paris. Les revues et livres de l’auteur seront mis en vente à cette occasion pour soutenir la production en faveur de la cause amazighe et faire preuve de solidarité militante avec l’auteur-éditeur, Smaïl Medjeber.


Rencontre littéraire avec Smaïl Medjeber le 19 janvier 2014 au Restaurant « Les Petits Campagnards », à partir de 18h, Paris 20ième, Métro ligne 11, station Jourdain. (PH/DR)
Rencontre littéraire avec Smaïl Medjeber le 19 janvier 2014 au Restaurant « Les Petits Campagnards », à partir de 18h, Paris 20ième, Métro ligne 11, station Jourdain. (PH/DR)

Lieu de la rencontre littéraire avec Smaïl Medjeber 

Restaurant « Les Petits Campagnards », au 320 rue des Pyrénées 75020 Paris, 

Métro ligne 11, station Jourdain. 

Entrée libre. 

A partir de 18h.
 


Tarifs des revues et livres de Smaïl Medjeber : 

-Revue Abc Amazigh, édition originale : 1 paquet de 14 numéros variés au prix de 10 euros ; 

-Livres Abc Amazigh, une expérience éditoriale en Algérie.Volume 1 et 2. Une réédition de textes publiés auparavant dans les quarante et un numéros des éditions originales, ainsi que quelques inédits de la revue ABC Amazigh. Prix : 20 euros l’un ; 

-Livre : La Grande Poubelle, Journal d’un ancien détenu politique en Algérie. Prix : 36 euros ; 
Paiement en espèces ou par chèque. 

Soyez nombreux et nombreuses. 

Veuillez confirmer votre présence et si possible faire part de votre choix, soit sur cette page, soit par mail à l'adresse : defiberbere@hotmail.fr afin de pouvoir prévoir les quantités de livres et de paquets de revues à mettre à votre disposition. 

Acheter ces revues et livres est un acte de militantisme pour la cause amazighe mais aussi un acte de solidarité en faveur de l’auteur-éditeur, Smaïl Medjeber. 


SIWEL 171203 JAN 14

Ferhat Mehenni, anime une conférence-débat autour de son dernier livre



Publiée le 16 janv. 2014
Ferhat Mehenni, anime une conférence-débat autour de son dernier livre « Afrique : Le casse-tête français » ce dimanche 19 janvier à 15h
à la salle de spectacle de Berbère Télévision 01 ter rue du marais 93100 Montreui
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Du mouvement berbériste à l'académie berbère


Publiée le 16 janv. 2014
Les 25 et 26 janvier 2014, de 15h à 22h, Berbère-Télévision organise deux journées de conférences-débats :
Du mouvement berbériste à l'académie berbère
Des intervenants, des témoins et une exposition de documents vous apporteront des éclairages sur cette période.
Samedi
De 14h30' à 17h00' : Le mouvement berbériste et la crise de 1949
De 17H15' à 19H15' : Aux origines de l'académie berbère
De 20h 00' à 22H00' : Autour de l'académie berbère : De la militance et des témoignages
Dimanche
De 14h30' à 17h00' : Autour de l'académie berbère : l'apport de l'académie au combat amazigh
De 17h15' à 19h00' : De la chaire berbère au groupe d'étude berbère de Vincennes
Soyez nombreux au rendez-vous au siège de BRTV : 1 ter, rue du Marais à Montreuil (M° : Croix de chavaux ou Mairie de Montreuil)