Dans tous les cimetières des communes de Tizi N’berber et
d’Aokas où sont enterrées les victimes du terrorisme islamiste, des
gerbes de fleurs ont été déposées sur leurs tombes lors des
recueillements observés en début de matinée. Une quinzaine de policiers
et militaires de la région ont été assassinés, par les hordes
islamistes, durant la décennie noire.
24/03/2014 – 16:47 mis a jour le 24/03/2014 – 19:47 par Massidida
Le collectif des militants du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie
de la daïra d’Aokas a décrété la journée du samedi 22 mars contre
l’oubli et dédiée à Katia Bengana, cette jeune lycéenne assassinée à
Meftah (Blida) pour avoir refusé de porter le voile islamique.
Dans tous les cimetières des communes de Tizi N’berber et
d’Aokas où sont enterrées les victimes du terrorisme islamiste, des
gerbes de fleurs ont été déposées sur leurs tombes lors des
recueillements observés en début de matinée. Une quinzaine de policiers
et militaires de la région ont été assassinés, par les hordes
islamistes, durant la décennie noire.
Dans l’après-midi, les organisateurs ont rendu visite à la
veuve d’un inspecteur de l’enseignement, natif d’Aokas, enlevé par des
terroristes dans un faux barrage et dont le corps n’a jamais été
retrouvé, pour lui offrir un présent symbolique. La veuve éplorée a
déclaré n’avoir pas encore fait son deuil car son mari est peut être
vivant.
ALGER (SIWEL) — Passe encore que le Rassemblement pour la Culture et
la Démocratie (RCD) choisisse de s’allier avec des islamistes dans un
reniement aussi spectaculaire que déshonorant, c’est son droit le plus
absolu et personne ne le lui conteste même si un reniement aussi
décomplexé en a choqué plus d’un ; mais salir le drapeau amazigh dans
des rencontre aussi déshonorantes est une grave insulte à la Kabylie
et aux Amazighs ; de même que ce meeting de la honte est une grave
insulte aux victimes du terrorisme, à Tahar Djaout, à Katia Bengana, à à
ceux que ce même RCD avait appelés à la « résistance » parce que
« l’islamisme c’est comme la mort, on n’en fait l’expérience qu’une
fois »…Les nouveaux amis du RCD avaient raison de scander :« Ya Ali, Ya
Abbasi, El Djeha rahi labas , [Ô Ali (Belhadj) Ô Abbassi, le front
(islamique) se porte bien].
Le RCD ne croit pas si bien dire quand, dans son allocution entièrement en arabe, il disait que le meeting de la salle Harcha, à Alger, était une rencontre « historique ».
Cette rencontre est effectivement historique dans la mesure où elle marque le passage définitif du RCD dans le camp des ennemis héréditaire de la Kabylie et des amazighs : celui des islamistes qui ne sont jamais que le bras armé de l’arabo-islamisme qui impose, par le crime et la terreur, sa langue et son uniforme.
Le RCD a déjà adopté la langue, ses slogans sont arabisés depuis longtemps et son discours à la salle Harcha a été entièrement en arabe, hormis une misérable petite phrase en kabyle pour tromper les badauds ; désormais, il ne restera plus au RCD qu’à adopter l’uniforme...
La « convivialité peu commune dans les traditions algériennes » dont on a osé parler dans des articles relatant ce spectaculaire reniement s’est manifestée par des tonitruants « 3alayha nahya 3alayha namut ! », le fameux slogan qui a emporté Tahar Djaout, Rachid Tigziri, Said Tazrout, Katia Bengana…et 250 000 autres victimes.
Faut-il rappeler au RCD que ce sont ses nouveaux amis qui ont assassiné Kamel Amzal, et que ce sont encore ses nouveaux amis, qui ont assassiné Djaout, Tigziri, Bengana. Faut-il aussi rappeler au RCD que cette hécatombe n’a été possible qu’avec le « partenariat » de ses anciens amis, car il faut bien rappeler qu’avant d’être ouvertement ami avec les islamistes, il fut un temps où le RCD était ami avec Bouteflika ; du moins du temps où il était jugé capable d’assumer la fonction de président au profit de son clan et non pas « incapable d’assumer un 4è mandat », qui n’est jamais que la réédition de l’éternel même scénario : assurer la pérennité d’un système despotique, raciste et criminel dans un jeu d’équilibre entre les divers clans qui le composent.
Le meeting de la salle Harcha a regroupé des partis arabistes et islamistes, dont Ennahda, le Hamas, le parti islamiste de Djaballah ainsi qu’une pléiade de petits partis, sortis de nulle part, et qui partagent tous l’idéologie arabiste. Dans la foule des participants, il y avait le criminel Ali Belhadj avec ses disciples ; et parmi la crème des crèmes islamiste, comme un cheveu dans la soupe, il y avait le RCD qui, non satisfait d’avoir asséné cette ultime insulte aux 250 000 victimes de ses « nouveaux amis », s’est permis d’entacher en plus le drapeau amazigh en l’exhibant dans une salle où il était en communion avec les pires ennemis des amazighs et qui hurlaient à ses côté : « Ya Ali ya abbas, el djeha rahi labas , [Ô Ali (Belhadj) Ô Abbassi, le front (islamique) se porte bien].
On se demande pourquoi le RCD a emporté avec lui le drapeau amazigh alors qu’il méprise et qu’il ne l’arbore jamais dans ses activités publiques, poussant même parfois le zèle jusqu’à l’interdire à ses propres militants, sauf quand le RCD, dans ses tentatives de redorer son blason en Kabylie, vient se greffer aux manifestations du MAK le 20 avril…
Sur la première vidéo ci-dessus on peut écouter le discours
entièrement en arabe de Mohcine Bellabes, successeur de Said Sadi. Mais,
étant donné le caractère démocratique de ses nouveaux amis, le RCD a
été obligé de recourir aux vertus du montage pour camoufler les
promesses de guerre de ses nouveaux amis qui hurlaient " Ya Ali Ya
Abbas, el djebha rahi labas !"
L’auteur de la vidéo a camouflé les hurlements des nouveaux amis
du RCD avec des morceaux de musique choisis dans un style
particulièrement apaisant. Mais après avoir visionné la seconde vidéo
ci-dessous, celle où l’on entend très bien les nouveaux amis du RCD, on
en comprend parfaitement les raisons.
Enfin, pour apprécier l’ampleur de ce reniement spectaculaire,
ci-après une série de photos du meeting du RCD à la salle harcha avec
ses nouveaux amis.
Photos prise sur les réseaux sociaux où l’on note un "silence
religieux" de la part du RCD ... un avant-gout de sa reconversion ?!
M. Ouyahia a rappelé que « l’Histoire retiendra que c’est sous Bouteflika que tamazight a été consacrée langue nationale ». N'avait-il pas dit par ailleurs: « Ce n’est pas Massinissa qui a inscrit tamazight langue nationale dans la Constitution, mais c’est Bouteflika.
» Mais de quel Massinissa nous parle-t'il? De notre ancien roi
réunificateur de nos forces ou de notre petit frère torturé, assassiné
dans les locaux de la gendarmerie à Ath-dwala. Des milliers de blessés
handicapés à vie ont payé de leur sang pour que Tamazight soit inscrite
comme langue nationale dans cette fameuse constitution.
On
se rappelle que cet incident dramatique avait embrasé la Kabylie
pendant deux ans, faisant 126 morts. A l’époque de notre ancien aguellid
Massinissa, la constitution algérienne n'existait pas ! Souvenez-vous
de la visite de Bouteflika en 1999 à Tizi-ouzou pour sa campagne
électorale. Il avait clamé haut et fort que tamazight n’allait “jamais
être langue officielle” et que “jamais” il n’accepterait qu’elle soit
langue nationale sans référendum populaire.
Ahmed OUYAHIA, directeur de cabinet à la présidence de Bouteflika, l'ex-Premier ministre algérien
Aujourd’hui
ce régime veut nous tromper encore et nier les martyrs kabyles. Aussi
ils disent qu’ils ont fait entrer tamazight comme langue national dans
la constitution ! A l’époque du Roi Massinissa tamazight était déjà
langue nationale et officielle. Le "khortisme" arabo-musulman n'était
pas chez nous mais en "arabie-maudite".
Hommage à nos deux
Massinissa ! Leurs combats sont gravés dans nos mémoires et resteront à
jamais glorifiés par la génération présente comme celle du future. Vous
êtes tous les deux entrés dans l’histoire des imazighen. Mais les
ennemis et beaucoup d’autres eux sont plutôt entrés dans les mémoires de
l'enfer et verrons leur souvenir banni de la mémoire des peuples.
Ahmed
Ouyahia n'est ni un auteur, un chanteur, ou encore un comédien, et
encore moins un poète qui élève les consciences! Il est constamment
interviewé par de simples animateurs ! La chaîne amazighe culturelle
Berbère Télévision l'invite à tout bout de champ. Il faut dire que
Ouyahia est un homme politiquement bien armé, très cultivé, un enfant
élevé dans le moule du système, rôdé à l'audimat au discours politique
de masse.
Il est facile pour lui d'être interrogé par des
animateurs qui ont l’œil sur tous les évènements de l’Algérie. On est à
des années lumières d'émissions politiques dirigées par des journalistes
! Ouyahia est un démagogue, il se sert de tout et de n´importe quoi à
des fins de notoriété.
La dernière interview abjecte d’Ouyahia sur
Berbère Télévision et surtout le manque de répartie de l’animateur n’a
finalement servi que de faire valoir du régime !
L'intervieweur
est-il crédible ? Est-il journaliste de formation, non il est diplômé en
droit, humoriste, ancien animateur à la chaîne 2 dans les années 2000.
Trop de Kabyles aiment bricoler avec les choses très importantes, ou
encore ils utilisent du provisoire qui dure pour l’éternité.
Vues
et entendue, les questions abordées par l‘animateur, sont faciles pour
M. le chef du gouvernement algérien plus que jamais maître du jeu!
D’ailleurs il a l’air très détendu. On avait comme l'impression qu'il
discutait avec son arrière petit fils de 10 ans qui l'interpellait sur
ce qui se passe dans la politique dans l’actualité algérienne! Le chef
du gouvernement était très à l'aise. Il s'est exprimé exclusivement en
kabyle pendant deux heures avec un petit sourire de temps à autre !
En abordant la question de tamazight, l’animateur pose la question Ahmed Ouyahia « êtes vous pour tamazight langue nationale et officielle?".
Ouyahia n'a répondu ni par oui et ni par non ! Pour certains Kabyles
cette esquive est très grave. D’un côté ces Kabyles paraissent
instruits, compétents, doués de toutes les qualités des hommes qui faut
pour analyser les choses, mais d’un autre côté on les voit comme des
petits orphelins qui pleurnichent pour celui qui a choisi son camp.
Pourtant au fil des évènements, des générations les traîtres nous ont
enseigné leur ruses ! Vous habitez en Kabylie et vous parlez kabyle donc
on pense de vous que vous êtes Kabyles, non c’est absolument faux ! Le
pouvoir que confère la pratique de la langue des parents, acquise
facilement, doit servir en priorité à l'intérêt des Kabyles dans leur
ensemble.
Que ferons-nous de Tamazight promulguée langue nationale
et officielle dans un Etat arabiste ? Honnêtement ! Nos soucis, nos
problèmes, nos souhaits seront-ils réglés après cela ? Bien sûr que non!
Depuis que Tamazight est langue nationale rien n'a progressé.
Finalement cela n'a servi qu'aux intérêts personnels des Kabyles du
système .
Jamais, depuis l'éclatement du
conflit entre Mozabites et Arabes dans la wilaya de Ghardaïa, le conflit
n'a atteint une gravité telle que celle vécu depuis ces derniers mois.
Jusque-là circonscrit dans des localités avoisinantes, notamment
Berriane, et Guerrara, le conflit s'invite à présent à Ghardaïa- ville
et ses nombreux quartiers populeux où se mêlent Mozabites et Arabes.
L'image la plus frappante est offerte par le spectacle de destruction et
de désolation qu'offre la place du marché, qui accueillait les deux
communautés et les visiteurs de passage
Une chanson intitulée
"AZUL" jouée en direct au Théâtre Crocker, Cabrillo College, Aptos,
Californie, le 22 Février, 2014, Avec la participation de nouveaux
membres : " ELIZABETH TORRES, GENOA BROWN "
Paroles (traduction en français) :
Azul ayazul a iminu, ( Salutations à vous, maman )
Azul ayazul a babanu, ( Salutations à vous, papa )
Ktigh kmd a immi dernd imttawen, ( je me suis souvenu de ma mère, j'ai pleuré )
Ktigh kid a baba zrigh igran ( je me suis souvenu de mon père,J'ai vu des champs )
Amarg nun yuger ignwan yuger ikalen ( Envie de vous est plus grand que le ciel et la terre )
..
dédie a tout les parents Amazighs. J'espère que vous l'aimez
CHORFA - AKBOU (SIWEL) - Comme à l’accoutumée, le Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie
( MAK) profite du week-end pour aller à la rencontre des citoyens
kabyles en vue de les sensibiliser en faveur de la nécessité de se doter
d’un État afin de ne pas subir la mort absurde des aztèques. à cet
effet, il organise deux meetings populaires : le 28 mars à Chorfa, le 29
à Akbou.
En plus du rejet des élections présidentielles algériennes, le MAK mettra l’accent sur le devoir vital de protéger le pays kabyle contre les criminels du régime raciste d’Alger qui tentent de provoquer une catastrophe humaine et écologique qui aura des conséquences désastreuses sur l’environnement et la santé publique en exploitant le gaz de schiste dans les eaux territoriales de la Kabylie. Le MAK exige l’annulation immédiate du contrat signé entre la société française CGG-Véritas et l’État algérien. cdb Siwel
Les manquements ne datent pas
d’aujourd’hui. La situation perdure depuis toujours, au point où ce CHU
est qualifié « d’abattoir ».
24/03/2014 - 11:49 mis a jour le 24/03/2014 - 12:40 par Karima Oufli
La situation catastrophique qui prévaut au sein du CHU de Tizi Ouzou a
fait réagir L’Observatoire des Droits de l’Hommes de Tizi-Ouzou. « Ce
CHU enregistre des manquements au niveau du service radiologie, où des
centaines de malades et même plus, attendent depuis des mois pour passer
un scanner. Malgré les assurances du Ministre de la santé lors de sa
dernière visite à Tizi-Ouzou, estimant que le problème sera réglé dans
la semaine, la situation persiste », dénonce les membres d’ODH.
Les manquements ne datent pas d’aujourd’hui. La situation perdure
depuis toujours, au point où ce CHU est qualifié « d’abattoir ». L’Observatoire des Droits de l’Homme de Tizi-Ouzou se demande si le
« créneau » de la radiologie n’est pas devenu commercial." La plupart
des malades sont orientés indirectement vers le privé au vu de la longue
attente pour avoir un rendez-vous, jusqu’à deux mois pour un scanner ce
qui est inadmissible dans pays où on annonce la construction d’une
dizaine d’hôpitaux ! " accusent les militants des droits de l’homme
dans cette ville de Kabylie.
A cet effet, l’ODH de Tizi-Ouzou dénonce « cet état de fait et
interpelle les services concernés à régler la situation, ce qui est un
droit garanti par la constitution algérienne comme le stipule l’article
54, « tous les citoyens ont droit à la protection de leur santé »,
lit-on sur la déclaration rendue publique aujourd’hui, à la veille de la
visite du ministre de la santé algérien à Tizi Wezzu.
Cherifa, La grande dame de la chanson Kabyle شريفة .غناء قبائلي Chérifa
ou Cherifa n w-Akbou, de son vrai nom, Ouardia Bouchemlal, née le 9
janvier 1926 dans le village de Ait Halla de la commune d'el Main (dans
l'actuelle wilaya de Bordj Bou Arreridj) pas loin de Beni Ourtilane, est
une chanteuse de musique traditionnelle kabyle.
Tout comme la culture en
général, le patrimoine immatériel évolue constamment, et se trouve
enrichi par chaque nouvelle génération. De nombreuses expressions et
manifestations du patrimoine culturel immatériel sont menacées, mises en
péril par la mondialisation et l’uniformisation, mais aussi par un
manque de soutien, d’appréciation et de compréhension. Si le
développement du patrimoine culturel immatériel n’est pas favorisé, il
risque d’être perdu à tout jamais, ou relégué en tant que pratique
appartenant au passé. La préservation de ce patrimoine et sa
transmission aux générations futures le renforcent et le maintiennent en
vie tout en lui permettant d’évoluer et de s’adapter. Afin de
sauvegarder le patrimoine culturel immatériel, des mesures différentes
de celles prises pour conserver les monuments, sites et espaces naturels
sont nécessaires. Pour rester vivant, le patrimoine immatériel doit
conserver sa pertinence pour la culture et être régulièrement pratiqué
et appris au sein des communautés et d’une génération à l’autre. Les
communautés et les groupes qui pratiquent ces traditions et coutumes
partout dans le monde ont leur propre système de transmission des
connaissances et des savoir-faire, qui repose généralement sur l’oralité
plutôt que sur les textes écrits. Les activités de sauvegarde doivent
donc toujours impliquer les communautés, les groupes et, le cas échéant,
les individus porteurs d’un tel patrimoine.
Le risque existe que
certains éléments du patrimoine culturel immatériel s’éteignent ou
disparaissent sans qu’on puisse l’empêcher, mais comment sauvegarder et
gérer un patrimoine en constante évolution et faisant partie de la «
culture vivante », sans le figer ou le rendre banal ? Les sauvegarder,
c’est transférer des connaissances, des savoir-faire et du sens.
Autrement dit, la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel met
l’accent sur les processus en jeu dans la transmission ou la
communication de génération en génération, plutôt que sur la production
de ses manifestations concrètes, telles qu’un spectacle de danse, un
chant, un instrument de musique ou une œuvre d’artisanat.
Sauvegarder
le patrimoine culturel immatériel signifie s’assurer qu’il joue
toujours un rôle actif dans la vie des générations actuelles et qu’il
est transmis aux générations de demain. Les mesures de sauvegarde visent
à assurer sa viabilité, sa recréation permanente et sa transmission.
Parmi les initiatives possibles de sauvegarde du patrimoine culturel
immatériel on citera l’identification et la documentation de ce
patrimoine, la recherche, la préservation, la promotion, la mise en
valeur ou la transmission, essentiellement par l'éducation formelle et
non formelle, ainsi que la revitalisation de ses différents aspects. La
sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est également une source
importante de développement économique, même si elle ne passe pas
nécessairement par des activités génératrices de revenus telles que le
tourisme, qui pourraient porter atteinte au patrimoine vivant. Au lieu
de cela, l’objectif devrait être de valoriser les fonctions du
patrimoine culturel immatériel dans la société et de promouvoir son
intégration dans les politiques de planification de l’économie.
Ce texte est tiré d’une brochure réalisée par l’UNESCO
Le MAK anime un meeting populaire à Akbou le samedi 29 mars à 10h
24/03/2014 - 09:25
AKBOU (SIWEL) - Le Mouvement pour l'Autodétermination de la Kabylie
(MAK) poursuit sa campagne pour l'avènement d'un État kabyle et le
rejet des élections du 17 avril. Sur invitation de la coordination
locale, les animateurs du mouvement kabyle se rendront ce samedi 29
mars à Akbou pour animer un meeting populaire à 10 h à la place des
Martyrs (devant le cinéma).
Kabylie
(SIWEL) — Une pétition adressée au président de la république française
François Hollande a été lancée sur Avaaz par des citoyens de Kabylie et
de la Diaspora en France. Scandalisés par le cynisme de l’Etat français
qui envoie ses entreprises exploiter les gaz schiste en Kabylie alors
qu’il l’interdit formellement sur le territoire français, ces citoyens
nous ont fait parvenir cette pétition pour une large diffusion.
François Hollande : L’interdiction de l’exploitation du gaz de schiste en kabylie Pourquoi c’est important l’irresponsable projet d’exploitation des gaz de schiste risque de provoquer de graves dégâts écologiques et environnementales irreversibles ! ces méthodes sont unanimement jugées aussi dangereuses sur le plan sismique que hautement polluantes sur le plan sanitaire.Nulle part dans le monde il n’a été prouvé que cette exploitation pouvait être mise en œuvre sans dégâts considérables sur l’environnement et avec les risques incalculables pour la santé. La France qui ne s’autorise pas à exploiter le gaze de schiste sur son propre sol ne doit en aucun cas l’exploiter dans un pays qui ne lui appartient pas ! Il est urgent de stopper la démarche de la France ! Signez la pétition et diffusez-là massivement. La Kabylie ne doit pas servir de terrain d’expérimentation et sa population ne doit pas être sacrifiée aux dessins mercantiles de la France et du régime mafieux et criminel d’Alger ! Ci-après la pétition en ligne : signez et partagez