dimanche 23 février 2014

Reportage au coeur du centre d'entrainement aux combats urbains



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Entrer dans le centre d’entraînement aux combats urbains de l’armée israélienne, c’est pénetrer dans un autre monde. Le centre se trouve à seulement quelques heures de route de Tel-Aviv, mais il ressemble à une forteresse terroriste du sud du Liban. C’est là que les soldats de Tsahal viennent apprendre comment faire face aux défis les plus complexes de la guérilla urbaine moderne. Lancez la vidéo et plongez au coeur de la guerre du 21e siècle.
Après la seconde guerre du Liban, les dirigeants de l’armée israélienne ont compris que la guerre classique avait disparu depuis longtemps. Les ennemis d’Israël ne s’alignent plus sur un champ de bataille pour défier les troupes israéliennes dans un face-à-face violent. Au lieu de cela, les terroristes se cachent au sein de villes densément peuplées et utilisent la population civile pour tendre des embuscades contre toute force qui tente de s’opposer à eux.
Le centre de formation simule une authentique ville orientale du désert. Il est composé de bâtiments ayant jusqu’à huit étages, de cabanes misérables, de écoles, de magasins, de bâtiments publics et de places de marché. Des armées du monde entier viennent se former dans cette installation de pointe.
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Les différentes unités de Tsahal utilisent le centre pour s’entraîner dans des exercices conjoints. Des soldats de l’infanterie, de l’artillerie et de l’armée de l’air s’entraînent ensemble pour apprendre à combattre l’ennemi. Cette installation donne au soldat israélien les outils dont il a besoin pour être prêt à se battre sur le champ de bataille du 21ème siècle.

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Les Manipulations De L’Etat Factice D’Alger

Contribution d’Afraniman Ifettiwjen
 
 
 

Les kabyles ne doivent pas se sentir humiliés puisqu’ils ne reconnaissent pas cette Etat qui terrorise les peuples d’Algérie. Ils ont maintenant le devoir de se consacrer à la construction d’un Etat kabyle indépendant qui leur garantira la sécurité et la paix.
23/02/2014 – 20:31 mis a jour le 23/02/2014 – 20:31 parAfraniman Ifettiwjen
 

Les peuples d’Algérie sont gouvernés par des criminels capables de tout. Leurs plans changent mais leur objectif est le même. Ce qui se passe depuis quelques mois nous renseigne sur ce qui se trame.
Au départ le DRS avait son joker pour continuer à exercer, dans l’impunité la plus totale, ses activités criminelles. Boutef allait être réélu sans problème, une campagne avant l’heure a commencé dans les stades le suppliant de se présenter. Une façon de dire, qu’il ne fait que répondre à son devoir de continuer à gérer un pays qu’il a ruiné enterrer ainsi définitivement les 128 jeunes kabyles qu’il a assassinés en 2001 à travers ses gendarmes qui est un corps de l’Armée.
Pour justement faire "adhérer" la Kabylie, une pétition pour Tamazight est lancée. "L’espoir" de son l’officialisation justifiera la fraude en Kabylie et "prouvera" de ce fait qu’elle est partie prenante de la fausse nation algérienne créée par le général Shneider, ministre français de la guerre, le 14 octobre 1839.
C’est, évidemment, une façon de contrer le Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK) qui est devenu la première force politique de Kabylie. De l’autre côté pour intimider les nationalistes kabyles, l’Etat major de l’armée a annoncé que ce n’est plus le DRS qui surveillera désormais le MAK mais les RG (renseignement généraux). La Kabylie est le seul pays qui n’a pas voté pour Boutef et qui l’a fait savoir. Le peuple kabyle qui s’est de tout temps opposé aux terroristes d’Alger reste difficile à absorber.
Vint ensuite un événement inattendu, leur Joker s’est "payé" un AVC ce qui a démoli leur plan préparé depuis longue date. Ils avaient besoin de temps mais l’échéance des présidentielles arrive. Il fallait détourner l’opinion en attendant de voir ce qu’il faut faire. Pour cela, il n’y a pas mieux qu’un bon massacre, à huis clos de préférence. 
Ne pouvant plus toucher la Kabylie qui risque de basculer dans sa totalité vers le projet souverainiste du MAK, ils ont choisi les amazighs de la vallée du Mzab. La mobilisation des peuples amazighs d’Afrique du Nord les en a dissuadé. La propagande qui veut que ce soit un conflit ethno-confessionel a été démentie par des vidéos montrant des policiers aux côtés des Chambas instrumentalisés qui attaquent les mozabites.
Mais que faire alors ? Reculer la date des élections pour gagner du temps sans avoir recours aux meurtres ? Ils ne peuvent pas faire ça car ils reconnaîtront l’incapacité de leur momie à rester président, d’autant plus que leur constitution taillée pourtant sur mesure les obligerait à le destituer.
Le DRS a trouvé une solution qui lui convient.
La momie doit être candidat mais il faut que ce soit son entourage qui l’aurait décidé malgré "l’opposition" du DRS. Pour rendre cela plausible, il faut quelques attaques contre le général Toufiq, ce qui suscitera une grande peur (certains nous invitent même à sauver l’"Algérie »). Ce faux conflit leur permettra de préserver la machine DRS quand la momie rendra l’âme si elle ne l’a déjà fait.
L’objectif des manipulateurs d’Alger est d’obtenir une période de transition, le temps de faire émerger une personnalité qu’ils placeront par une fraude massive pour continuer à piller et consacrer ainsi l’impunité à ces criminels au sommet de l’Etat factice d’Alger.
Les kabyles ne doivent pas se sentir humiliés puisqu’ils ne reconnaissent pas cette Etat qui terrorise les peuples d’Algérie. Ils ont maintenant le devoir de se consacrer à la construction d’un Etat kabyle indépendant qui leur garantira la sécurité et la paix.
La symbolique du tremblement de terre est une réaction de la Kabylie qui tente de se détacher de l’Etat terroriste d’Alger, car Vumerdas (Boumerdas) est un département kabyle et la terre kabyle irrigué du sang de ses meilleurs enfants crie à son indépendance à sa liberté et à sa dignité.
Aken isyena Matoub : « Ma nedjats aka tergel as nen hedder atnen mettel s deghl agh d’ yerjem wakkal. Ma nedukel s laqvayel ad yifssus felanegh cghul, azeka agh daddsen wussen. » 
« Si nous restons dans cette impasse, en ne faisant qu’enterrer les nôtres, notre terre nous lancera des pierres. Si nous kabyles, nous nous unissons, le fardeau sera moins lourd, nous verrons alors les jours nous sourire. »
Afraniman Ifettiwjen

Timlilit n MAK di Buzgan ass 22 02 2014





Timlilit n MAK di Buzgan ass 22 02 2014

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Kabylie : un séisme a secoué la région de Boumerdès (USGS)

23/02/2014 – 16:09

TIZI N-AT AYCHA (SIWEL) — Une Secousse Tellurique D’une Magnitude De 4,6 Sur L’échelle Ouverte De Richter A Été Ressentie Samedi Soir Dans La Partie Ouest De La Kabylie. Le Séisme Qui A Eu Lieu À Boumerdès En 2003 Reste Dans Les Mémoires. Une Grosse Panique A Gagné De Nombreuses Personnes Dans Les Localités Situées À L’est De Boumerdès Comme Tizi-Wezu Ou Bordj-Menaïel


Localisation de l'épicentre du séisme et localités kabyles limitrophes (PH/USGS/SIWEL)
Localisation de l’épicentre du séisme et localités kabyles limitrophes (PH/USGS/SIWEL)
Selon un bilan provisoire fourni par les services de la protection civile, au moins une personne a été blessée à Corso (Boumerdes) et une autre choquée à Draa Ben Khedda (Tizi Ouzou) à la suite de ce tremblement de terre. 
Le journal en ligne Tamurt.info rapporte que le CHU de la ville de Tizi Wezu a enregistré 25 évacuation juste après le tremblement, mais se sont juste de légères blessures et des évanouissements surtout de femmes. Aucun dégât matériel n’a été causé par le séisme. 
Selon les rapports en temps réel émis par le centre mondial de données sismologiques géré par l’USGS (U.S. Geological Survey) depuis son centre fédéral à Denver, dans le Colorado, et l’EMSC (Centre Sismologique Euro-Méditerranéen), voici les détails précis sur ce tremblement de terre : 
La secousse s’est produite samedi à 20H30 heure locale (19:30:34 UTC), avec une magnitude de 4,6, son épicentre a été localisé à 13,7 km de profondeur, à une latitude de 36.813° Nord / longitude de 3.660° Est, à quelques : 
10 km N des Issers 
10 Km SE de Zemmouri 
13 km NE de Tizi N-At Aycha (Thenia, Minerville), 
16 km ONO de Naciria, 
17 km ENE de Boumerdes, 
43 km SE de Tizi-Ouzou, 
55 km E d’Alger 
Voici quelques témoignages de la population quant au ressenti de ce séisme (via EMSC ) : 
- Boumerdes (17 km au SE de l’épicentre) : Secousse forte 
- Boumerdes (17 km au SE de l’épicentre) : Vu le bruit engendré par le séisme, j’ai cru qu’un avion vient de passer à coté 
- Tizi Ouzou (43 km au SE de l’épicentre) : plus de peur que de mal, les gens ont eu peur et sont sortis dans les rues surtout à cause du souvenir du tremblement de 2003 
- Tizi Ouzou (43 km au SE de l’épicentre) : Tout le monde est choqué ! 
- Tizi Ouzou (43 km au SE de l’épicentre) : Ca a été fort ! Ca a commencé genre un Boum comme si une boule s’est formée au sol aprés ça a commencé à vibrer et a faire un son de tremblement 
- Larbaâ N-At Iraten (59 km au SE de l’épicentre ) : C’était davantage ressenti par les gens assis, comme ma mère… Elle était assise et elle l’a senti plus que moi, et en fait je ne l’aurais pas ressenti si la porte ouverte n’avait grincé. 
- Rouiba (37 km au SO de l’épicentre ) : Ce lieu est accoutumé aux séismes (2003 très fort plus de 7), mon pays est habitué 
- Bouira : Très faible secousse 
- Alger (55 km à l’O de l’épicentre ) : Assis sur un divan, ressenti les tremblements relativement forts pendant 10 secondes à peu près 
- Alger (55 km à l’O de l’épicentre ) : Il prend 10 à 15 secondes pour terminer 
- Alger (55 km à l’O de l’épicentre ) : il y a eu balancement et les vitres en face de moi ont tiqué et pas vibré 
- Alger (55 km à l’O de l’épicentre ) : la terre a bougé, comme si elle était partie puis revenue 
- Alger : Très faible secousse 
- Boufarik : Très faible secousse 
- Kouba (51 km à l’O de l’épicentre ) : Ça a commencé par une légère vibration suivie par un vide, ensuite les murs se sont mis à vibrer pendant quelques secondes. 
- Vgayet (130 km à l’O de l’épicentre) : C’était pas tres fort mais on l’a senti vomme même et on a eu tres peur surtout que depuis l’année dernière Vgayet a connu beaucoup de séismes 
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Maroc
 
 
 

Aucun bilan n’a été établi pour le moment. Des militants qui ont contacté Tamurt-info affirment que la manifestation était pacifique, mais des centaines de policiers se sont rués sur les civils et les ont matraqués sauvagement.
23/02/2014 – 15:41 mis a jour le 23/02/2014 – 16:08 parR. Moussaoui
 

Les policiers de Makhzen au Maroc ont réprimé dans le sang les militants Amazighs de la ville de Tiznit qui a manifesté ce matin contre la spoliation de leurs biens terriens. Des centaines de personnes ont été grièvement blessés. Certains sont hospitalisés et sont dans un état grave, d’après des échos qui nous sont parvenus.
Aucun bilan n’a été établi pour le moment. Des militants qui ont contacté Tamurt-info affirment que la manifestation était pacifique, mais des centaines de policiers se sont rués sur les civils et les ont matraqués sauvagement.
« Les militants amazighs qui ont toujours soutenu la famille d’Ibba Ijju, ont fait l’objet d’agressions violentes de la part des forces coloniales du Makhzen arabe. Je dis coloniales sciemment. Car ces tortionnaires ne peuvent être que des colonialistes », nous affirme un militant qui a participé à la manifestation. 
Il ajoutera « en tous les cas, beaucoup de jeunes militants violentés se trouvent actuellement aux urgences de l’hôpital provincial de Tiznit. Il faut les soutenir avec force. Et faire connaître leur drame auprès du monde entier. Je profite de ce moment pour poser la question aux connaisseurs, est-ce qu’il est possible de déposer plainte contre les tortionnaires du Makhzen auprès des tribunaux internationaux ? ».
Les Amazighs de Tiznit ont dénoncé avec vigueur et colère les actes de racisme du régime et des services de sécurité qui se sont acharnés contre les civils. 
Au moment où nous rédigeons ces lignes, de violents affrontements sont toujours en cours entre services de sécurité et manifestants dans la ville de Tiznit.
R.Moussaoui

POURQUOI J'AI ADHERE AU MAK

POURQUOI J'AI ADHERE AU MAK

23 février 2014, 15:20




       L'impasse  



 De cette tumultueuse effervescence,sont nées des solidarités, des sympathies et des amitiés que, seules, de longues années de luttes communes pour un grand idéal peuvent créer et faire verdir et grandir entre les hommes. En cela les marches du 12 et du 19 février  2011 initiées par la "CNCD" * et articulées autour des émeutes nationales ont en eu le mérite.

Face à une classe politique obsolète, soit totalement corrompue, mise aux ordres des uns ou des autres, soit désabusée par les ambitions démesurées, étroites et égoïstesde ses leaders , soit complètement affaiblie par de longues années de terrorisme et de mise à l'écart des medias et interdite d'actions publiques, subissant  des crises d'identité successives et sansmoyens parce que non affiliée à des groupes d'influence au sein du pouvoir, faceà ces appareils lourds, appendices de l'Etat, ces organisations, gonflées artificiellementpar les divers services,  aux discours démagogiques populistes à outrance par moments , arrogants et méprisants, pard'autres,  conçus pour accompagner lacorruption généralisée, la banalisation du népotisme, du clientélisme, des passesdroit, à la dénaturation de l'activité politique, à la décrédibilisassions du militantisme et de l'action bénévole, aux autres discours pompeux, sectaires et si peu sérieux,  face à des appareils, pans et fragments de partis qui ont laissé, à petite dose, le désespoir, la démobilisation,les projets de retraites anticipées, les desseins de vies ailleurs, les prospectives macabres devenir  peu à peu l'alternative à l'engagement  militants désintéressés,  aux combats quotidiens  et totalement engagés pour la cause du progrès et pour l'émancipation des Hommes, pour l'Etat de droit et pour le respect de la citoyenneté que des femmes et des hommes,de divers horizons de différentes régions se sont mis en quête de solutions à même de transcender cette invalidité politique par la création de mouvements d'opinions, par des propositions de formules de transitions (bien que un peu crédules à l'évidence), par des rencontres informelles, denses et sérieuses entre de nombreux "vieux"  militants ,des échanges via internet et utilisation interactive de réseaux sociaux, en particulier par les jeunes etc..

C'est aussi un autre mérite des marches du 12 et 19 fév. 2011 d'avoir cassé les peurs et réserves relatives à l'utilisation de la manifestation de rue, comme forme d'expression, pour l'ensemble des couches et catégories de la société; la chape de plomb a sauté, la peur a reculé et les revendications tues, jusqu'à la, se sont mise à éclore. Nous n'en sommes qu'au début !





Ces mouvements de masse entrainant des milliers d'individus des différentes couches de la société et catégories socioprofessionnelles ont abouti à la satisfaction d'un certain nombre de revendications notamment salariales et autres mesures prises dans l'urgence en faveur des jeunes et de l'agriculture. Deux ans après,nous constatons les effets catastrophiques sur le pouvoir d'achat des Algériens et la non application des décisions d'un conseil des ministres tenu à l'occasion pompeusement pour calmer cette effervescence.  

Des revendications corporatistes, socioprofessionnelles, nous nous dirigerons sans conteste vers des mots d'ordre politiques demandant le changement du mode de gestion des institutions, de la société et de l'Etat, indéniablement, pour la seule raison que le pouvoir en place n'est plus en mesure de faire appliquer ses propres décisions et que les gouvernés s'en rendent compte progressivement mais certainement. Nous serons alors dans une situation ou "ceux d'en haut ne peuvent plus et ceux d'en bas n'en peuvent  plus" vielle formule pour caractériser une situation révolutionnaire.  Le pouvoir, disposant, sans limites,  des moyens et des réserves financières considérables du pays, usera de toutes ses capacités pour ralentir ce processus et protéger ses arrières mais les lois de l'Histoire sont ainsi faites, bien que complexes,elles ne sont pas corruptibles ! Elles sont inéluctables. Loin de tout déterminisme ou de conceptions mécanistes, il est évident qu'un système moribond est en attente d'une fin!

Les augmentations démesurées de salaires comme attitude immédiate pour contenir la révolte sociale, ou une Révolution et pour attirer la sympathie et l'adhésion de certaines catégories sociales, entrainent  nécessairement une inflation durable et de nouvelles inégalités  en particulier chez les retraités qu'on a obligé soit directement soit par des formules scélérates à quitter leurs emplois à un âge précoce au moment ou ils pouvaient donner le meilleur d'eux même alors qu'à ce même moment le premier ministre  se plaignait de la trop mauvaise qualité de notre jeune main d'œuvre (?).

Ce réservoir de savoir faire, de compétence et d'énergie mis au chômage de manière contrebandière (sous couvert de retraite anticipée) ne peut rester en marge de la société sans affirmer son droit à la dignité et à la reconnaissance par une participation active à la vie économique et sociale sous une forme ou une autre et, par nécessairement une implication politique plus organisées et même organique. Ils refuseront d'être les nouveaux laissés pour compte.

Nous pouvons continuer longuement l'énumération des mécontentements exprimés ou à venir et du nombre de plus en plus grands de couches sociales et de personnalités (en particulier les chefs d'entreprises, cadres et hauts fonctionnaires)  lassées par l'incapacité structurelle du pouvoir à mettre en œuvre une quelconque politique de redressement  et par la dilapidation révoltante et effroyable des ressources nationales   





Jamais, malgré un historique héroïque en 56, dans les année 60, 70 et 80, dans sa lutte contre le colonialisme, dans son implication dans la reconstruction des institutions de l'Etat et de l'Université, dans son engagement a coté des paysans sans terre pour l'abolition du féodalisme et du khemassa, dans son combat pour  la création de syndicats étudiants démocratiques autonomes contre l’hégémonie du parti unique, dans sa longue résistance à la montée de l'islamisme ravageur  et pour l'exigence de la reconnaissance du tamazight comme partie fondamentale de notre identité ,précurseur du mouvement pour les droits de l'Homme, le mouvement estudiantin, après une léthargie et une somnolence de longue durée, n'a montré une force aussi puissante et autonome.C'est le système mis en place, revus et corrigé, en toute quiétude par le même  ministère qui a fini par agacer et les étudiants et les enseignants. Les organisations officielles (UNEA/FLN, UGEL, …) ont été de piètres pompiers. C'est, malgré et contre la médiocrité du système  d'enseignement et de formation que l'exigence d'une sérieuse formation de qualité et la garantie d'une équivalence même relative vis-à-vis des universités de pays proches est exigéeDe la manière dont est gérée la recherche scientifique avec son système de"stimulation" de mise en place de projets de développement de partenariat avec des universités étrangères ou, dans une moindre mesure, avec des entreprises locales, ou les critères bureaucratiques l'emportent aisément sur la rigueur,la qualité scientifique, la créativité et le résultat ne serait il pas "légitime"de s'interroger sur l'orientation générale de la recherche scientifique en Algérie et de la considérer comme éminemment "politique" parce que ayant des répercussions immédiates sur nos besoin de développement  et notre autonomie de décisions stratégiques économiques et donc politiques ?

Les centaines de milliers de demandeurs d'emplois, que les statistiques officielles s'entêtent à ignorer, qui coupent quotidiennement les routes, qui se mutilent et  qui s'immolent, alors que des projets colossaux (autoroute …) sont en chantier dans le pays nécessitant une main d'œuvre tout aussi colossale et  les demandeurs de logements qu'on a "recensé" des centaines de fois depuis des décennies et a qui on dis qu'on a construit trois (3) million de logements  mais que l'on ne peut distribuer pour on ne sais même plus quelle raison (?) ne font il pas de la politique en réagissant y compris par l'émeute (seul moyen d'expression dont  ils disposent après la généralisation des comités de quartier fantoches et des associations maison et de l'interdiction systématique de l'expression démocratique) ? 

Les grèves à répétition des enseignants, des praticiens de la santé, des médecins et résidents, leurs marches et manifestations pour l'amélioration de leurs conditions de vie et de travail et autour des statuts particuliers, la qualité de leur mots d'ordre, leur résistance aux représailles et pressions de l'administration,la combativité dont font preuve les syndicats autonomes sont la preuve tangible que ces couches sont aptes et prêtes à se battre pour un changement qualitatif encore faut-il qu' ils trouve le cadre politique adéquat.



C'est dans ce contexte et sous les pressions des chamboulements dans le monde arabe que le pouvoir concoctât,  dans la précipitation,des reformes politiques en principalement de recomposer la classe politique à sa mesure dans l'espoir d'empêcher et de contenir l'émergence de forces politiques autonomes.      



3)   Leçon d'une expérience politique

Il est évident qu'aucun changement de cette nature n'est possible sans un outil politique puissant caractérisé à la fois par son contenu démocratique et républicain(programme, culture et fonctionnement), ses compétences et par une forte implantation avec de grandes capacités de mobilisation.

Ce parti politique n'existe pas encore! L'expérience de la CNCD (coalition de partis"démocratiques", de syndicats autonomes, d'associations, de réseaux sociaux et de personnalités indépendantes, l'appui d'une partie de la presse)reste à méditer quand à son incapacité à susciter et organiser, autour de mots d'ordre politiques, une forte mobilisation de l'immense  potentiel démocratique existant dans notre société et à dépasser ou transcender les luttes intestines et d'appareil entre certains partis et chefs politiques auto déclarés. Autant, à l'origine l'initiative était louable autant son échec lamentable a montré les limites insupportables des noyaux organisés se proclamant de l'idéal et du changement démocratique.La faible mobilisation, inversement proportionnelle au nombre impressionnant de sigles  et de mandats et légitimité usurpés, la mise en avant de faux leaders par la presse et notamment les médias Français, les pratiques honnis de noyautage et de manipulations grossières au mépris du partenaire politique, les étroitesses partisanes et sectaires ont fini par avoir raison de cette initiative  excellente mais combien jeune et fragile. Dans le cas d'un chamboulement brusque et de grands mouvements populaires, l'Algérie ne dispose pas encore de l'organisation politique autonome à même de diriger et de mener à son terme le changement démocratique radical.     

Ce parti politique n'existe pas encore parce que incapable de structurer, de rassembler et de confédérer lors des élections et des campagnes électorales les milliers de citoyens désireux honnêtement de participer à la gestion de la cité ou de s'impliquer dans la chose politique les laissant ainsi  à la merci de la surenchère affairiste,des" partis prédateurs" ou des partis_Etat. S'il va de soit que le système et la tradition électorale actuelle (issu largement du parti unique) encouragent et favorise tous les opportunismes et appétits malsains.



Ce parti politique n'existe pas encore  parce que incapable de former et de fournir aux jeunes, aux femmes, aux travailleurs de l'industrie, de la santé, des services, aux agriculteurs, aux enseignants, aux chômeurs les cadres et militants avertis dont ils ont impérativement besoin pour les aider à s'organiser, à agir avec plus d'efficience et par la  même à structurer la société civile incontournable pour un changement radical et démocratique.     

Enfin ce parti n'existe pas encore parce qu' il ne sait pas être le relais des intellectuelles faisant un travail remarquable sur la société Algérienne, ne sait pas traduire en programme politique, économique  et de formation de cadres politiques les études,essais et recherches existantes et en faire de la matière pour une communication de masse. Il n'existe pas aussi parce qu'il ne sait pas susciter,organiser continuellement la réflexion, l'échange et le débat en fonction de l 'évolution vertigineuse que connait le monde.A vu snat avru iyiwet

Signé Fatiha Rahmouni

Hymne National de La Kabylie ( KABYLIA NATIONAL ANTHEM )





  1. ASS N TLELLI
  2. D ass-a i d ass n tlelli
  3. D ass i deg aɣlan aqvayli
  4. Yufrar-d ger tmura
  5. Yal yiwen ad-d ittwali
  6. Taseddaṛt i fi nuli
  7. Nnig-s ur d-ikki kra
  8. Xas ma tikwal nγelli
  9. Ur ǧin i neḥvis tikli
  10. Nessawaḍ di taggara
  11. Iṭij i si-d neflali
  12. Assa azekka a-nili
  13. Mi nezga nvedd i tnekra
  14. Nekni d aɣref n tlelli
  15. Nekni d tafat i tmuɣli
  16. Nekni d times d wuzzal
  17. Nekni d tamurt d igenni
  18. Nekni d agur d tziri
  19. Nekni d iseɣ d wazal
  20. Nekni d tiẓet d tayri
  21. D talemmast ak d yiri
  22. Nekni d illel d wakal
  23. Nezmer i tniri d tiẓgi
  24. Afus ur ittergigi
  25. ɣef talwit nezmer i ccwal
  26. Nekni d azref d isekkim
  27. Ger imeqranen a-neqqim
  28. Nekkni d tifrat d umtawi
  29. Nekni d afḍis d ugelzim
  30. Yeddan d tussna d uvelkim
  31. Fellaɣ teḥṛes neɣ d llwi.
  32. Isem nneɣ Aqvayli d afzim
  33. F nyir d Amaziɣ d urqim
  34. Fellas lḥif a-t nezwi
  35. Kkert ak° a-ɣid walim
  36. D nnuva nneɣ a-ɣ-d tezzim
  37. Assa-yi a-tt id nawi.

Il brule sa carte d'identit� � cause de Bouteflika



Publiée le 22 févr. 2014
Il brule sa carte d'identit� nationale alg�rienne apr�s l'annonce de candidature de Bouteflika pour un 4 �me manddat.

Il brule sa carte d'identit� � cause de Bouteflika



Publiée le 22 févr. 2014
Il brule sa carte d'identit� nationale alg�rienne apr�s l'annonce de candidature de Bouteflika pour un 4 �me manddat.

Appel aux kabyles dignes de ce nom...



Publiée le 27 févr. 2013
un petit rappel POUR LES KDS....