mercredi 9 avril 2014

MATOUB L'IMMORTEL (VIDEO2).flv



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Partagé en mode public  -  17:49
 
C’est la plus grande catastrophe pour le peuple amazigh,elle est la phase finale et le parachevement de la quonqête arabo-musulmane ! Et voila,ce qu’on redoutais le plus arriva:le message le plus intolerent le plus retrograde ,le plus négationniste,un message qui s’est repandu par les larmes et le sang,qui a exterminé le plus de peuples et de cultures que ne l’a fait ni le communisme ni le fascisme ni le nazisme,qui reduit la femme à un objet de jouissance,qui enprisonne les intelligences et qui pronne la violence et la soumission de tout ce qui sort de son cadre,le message qui est antinomique aux valeurs des droits de l’homme,qui ne fait pas de difference entre le religieux et le politique,qui ne reconnait pas la liberté de culte,qui condamne à mort tout ex musulman....etc,le voila prendre le masque de la culture pour accomplir sa salle besogne.Meditez messieurs,ce qui se passe dans tous les pays musulmans qu’ils soient arabes ou pas,regardez comment ils baignent dans l’ignorance et l’obscurantisme !Regardez par contre les arabes non musulmans comme les chretiens maronites,grecs orthodoxes ou ceux des autres religions comment ils sont ouverts et tolerents !regardez du coté des regions algeriennes arabophones oû l’islam a pris racine comment elles sont dans l’inculture et l’obscurantisme et du coté de la Kabylie,la region la moins atteinte par ce poison,comment elle revendique la modernité et la democratie !Mais vous etes vous meme sous l’emprise de cette drogue pour que vous l’aperceviez !
Je sais que le coran est traduit dans toutes les langues,et vous me diriez pourquoi donc pas en berbere ?Mais la reponse est simple:nos sommes trop exposés et nous prenons trop de risques pour notre culture et nos valeurs qui ont survecu justement parceque toutes les cultures dominantes ne se sont pas donné de la peine pour se traduires dans notre langue.Le coran s’il se propage avec notre langue devastera nos valeurs car il suprimera l’autre version tolerente de l’Islam que nous avons pu diluer et soumettre à notre culture.Nous avons pu echappé à l’islamisme que parceque nos ancetres ne Cette tentative nous apportera le veritable Islam qui est intolerent par nature ( regardez combien de sourates se trouvant dans le coran qui pronnent la violence et les chatiments corporels !).
Vous rendez ainsi le plus grand service aux islamistes !Il ne manquait plus que vous adoptiez les caracteres arabes pour en faire autant aux baathistes !
Ma d kunwi id imazighen,nek fghegh-kwen !

Prophete qui profite !
Moins

Matoub Lounès (Images rares)



Publiée le 2 août 2012
(Takhoukht - 1982)

(21) Vie Liberté et 72 autres personnes - Messages

UN GRAND HOMMAGE Colonel Amirouche Aït Hamouda..Le Colonel Amirouche Aït Hamouda naquit le 31 octobre 1926 au village de Tassaft Oughmoune, l'un des villages des montagnes du Djurdjura où il grandit au sein de la nature.
Il adhéra au Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques dans la ville de Relizane où il était employé dans un magasin, tout en exerçant ses activités politiques consistant à distribuer des tracts, communiquer les instructions, faire de la propagande pour le Mouvement et collecter les fonds.
Son activité qui était intense et remarquable amena les autorités françaises à l'emprisonner deux fois , la première fois en 1947 et la deuxième en 1948, au cours desquelles elles lui firent subir les pires humiliations et tortures.
Devant l'absence de perspectives, il se rendit en France en 1950 afin d'y poursuivre son activité politique et revint au pays deux mois avant le déclenchement de la lutte de libération, pour se joindre à ses frères combattants dans la zone de Aïn El Hammam (ex- Michelet). Dès le début de son incorporation, Amirouche révéla une grande capacité à organiser le combat, ce qui lui permit de gravir rapidement les échelons de la responsabilité. Il fut d'abord responsable de la zone de Aïn El Hammam après la mort au champ d'honneur de son premier chef, ensuite responsable de la zone de Petite Kabylie où il réussit en très peu de temps à mettre en place une organisation révolutionnaire et constituer des cellules dans les villages et les hameaux.A la fin de l'année 1955, Amirouche fut promu au grade de lieutenant et put déjouer tous les plans mis en œuvre par l'ennemi dont le plus célèbre était l'opération intitulée "l'espoir et le fusil" qui fut l'une des premières opérations conçue par le génie de Robert Lacoste.
Une fois de plus, Amirouche put manifester son courage ainsi que sa capacité à défier le colonisateur. Ainsi, malgré l’encerclement de la région par plus de 60 mille soldats, il déploya des efforts considérables pour la tenue du Congrès de la Soummam. Il intensifia les opérations militaires dans les environs afin de dérouter l'ennemi, de même qu'il prépara et arma cinq katiba (bataillons) pour veiller directement sur la sécurité des congressistes parallèlement à l'aide fournie par les moussebiline (volontaires, membres de l'Organisation Civile du Front de Libération Nationale) et les citoyens .
Au cours du printemps 1957, il se rendit en mission à Tunis où il rencontra les dirigeants de la Révolution qui s'y trouvaient. Il prit également contact avec certains responsables de wilayas (I & II) parmi lesquels Si El Haouès.
Durant l'été 1957, il fut nommé chef de la wilaya III après que Krim Belkacem et Mohammedi Saïd eurent rejoint le Comité de Coordination et d'Exécution à Tunis.Après la réunion des colonels en 1958 au cours de laquelle furent débattues des questions liées à la Révolution, le Colonel Amirouche et son compagnon Si El Haouès furent chargés de prendre contact avec les dirigeants basés à Tunis.
Amirouche retrouva Si El Haouès pour accomplir cette mission. Mais sur leur chemin vers Boussaâda, les deux colonels eurent un violent accrochage avec les troupes de l'ennemi et tombèrent ensemble au champ d'honneur à Djebel Thameur, le 29 mars 1959.

Hommage à Ali-André Mécili assassiné à Paris : Dimanche 13 avril 2014 au Cimetière du Père Lachaise, à 14 h 30

Hommage à Ali-André Mécili assassiné à Paris : Dimanche 13 avril 2014 au Cimetière du Père Lachaise, à 14 h 30

09/04/2014 - 17:27


PARIS (SIWEL) — Chaque année, la famille et les amis d’Ali André Mécili appellent à la commémoration de l’anniversaire de l’assassinat d’Ali-André Mecili par le pouvoir algériens en plein Paris. Cette année, un rassemblement aura lieu ce dimanche 13 avril 2014 à 14 h 30 au Cimetière du Père Lachaise pour rendre hommage à l’avocat, au militant des droits de l’homme et grand opposant au régime algérien. Ali Mécili a été assassiné le 7 avril 1987 à Paris devant l'entrée de son immeuble. Son assassinat, un crime politique flagrant, commis dans la capitale des droits de l’Homme, demeure à ce jour impuni, encore protégé par la « raison d’Etat »


Hommage à Ali-André Mécili assassiné à Paris : Dimanche 13 avril 2014 au Cimetière du Père Lachaise, à 14 h 30
Les hommes et les femmes épris de justice et de liberté sont invités à aller nombreux ce dimanche 13 avril pour commémorer le 27è anniversaire de l’assassinat d’Ali-André Mécili par un pouvoir criminel qui règne sur l’Algérie depuis plus de 50 ans. Ce même pouvoir demeure, à ce jour, « l’interlocuteur privilégié » de l’occident et son « allié dans la lutte contre le terrorisme » malgré ses crimes et son implication directe dans la « gestion » du terrorisme : une arme qui s’avère d’une redoutable efficacité dans l’asservissement des peuples et permettant aux puissances économiques, que sont les anciennes puissances coloniales, de spolier les richesses de ses anciennes colonies en « tout bien, tout honneur ». 

27 ans après, couvert par les intérêts que partagent les Etats algérien et français, l’exécution de Mécili en plein Paris demeure encore impunie ... Son assassin jouit toujours de sa liberté et « l’affaire Mécili » reste une affaire franco-algérienne…« non élucidée » ! Son fils, Yalhane Mécili, auteur engagé de quelques titres bien acérés, dans une chanson judicieusement intitulée « Les poubelles de la VIè », rappelle que « la justice n’est pas aussi transparente que les diamants de Bokassa ! », reprenant la célèbre citation de Charles Pasqua : « La démocratie s’arrête là où commence l’intérêt de l’Etat » ! 


Dans un texte trouvé après son assassinat, Ali-André Mécili avait écrit: « Lorsqu'on ouvrira cette lettre, se sera accomplie une destinée qui, depuis ma plus tendre enfance, n'aura jamais cessé de hanter mon esprit. [...] Je meurs sous des balles algériennes pour avoir aimé l'Algérie. [...] Je meurs seul, dans un pays d'indifférence et de racisme. [...] Je meurs pour avoir vu mourir l'Algérie au lendemain même de sa naissance et pour avoir vu bâillonner l'un des peuples de la Terre qui a payé le plus lourd tribut pour affirmer son droit à l'existence » 

Si Ali-André Mécili a été assassiné, si aujourd’hui encore il manque terriblement à sa famille, à ses amis, à sa patrie, son héritage demeurera encore longtemps la voie privilégiée d’un peuple viscéralement épris de justice et de liberté, depuis plus de 2000 ans d’existence et de luttes incessantes. 

Venez nombreux ce dimanche 13 avril au cimetière Père Lachaise, à 14h 30, pour commémorer le 27è anniversaire de l’assassinat d’Ali-André Mécili par le pouvoir algérien. 

maa, 
SIWEL 091727 AVR