vendredi 28 mars 2014

CHERIF KHEDDAM en duo avec sa fille SANA "Kra id yetsnulfun"

Une baleine s'échoue sur les côtes d'Azeffun | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie

Tizi Wezzu






Les services de la marine,
accompagnés par des éléments de la protection civile s’affairent, en
cette matinée de vendredi, à extraire le corps de cette baleine, pour
ensuite le confier aux services de la commune d’Azeffoun afin de
l’enterrer. Et ainsi, éviter tout éventuel danger de maladie après la
décomposition de ce corps.


28/03/2014 - 13:24 mis a jour le 28/03/2014 - 13:32 par

Amenay A

Une baleine de près de 10 mètres de long s’est échouée, dans la nuit
de jeudi à vendredi, sur une plage de la ville d’Azeffoun, à 60 km au
nord est de Tizi Wezzu. Le corps sans vie de ce mammifère, qui pèse 7
tonnes à été retrouvé sur une plage rocheuse, au lieu-dit Amarigh, non
loin de la ville d’Azeffoun.


Les services de la marine, accompagnés par des éléments de la
protection civile s’affairent, en cette matinée de vendredi, à extraire
le corps de cette baleine, pour ensuite le confier aux services de la
commune d’Azeffoun afin de l’enterrer. Et ainsi, éviter tout éventuel
danger de maladie après la décomposition de ce corps.


Il est à rappeler que, plusieurs cas similaires ont été signalés ces dernières années sur les côtes du Pays kabyle.
Le
dernier en date est celui qu’une autre baleine retrouvée dans le même
état l’année dernière dans la localité de Tigzirt. Aucune étude
scientifique n’est menée pour déterminer les causes exactes de la mort
mystérieuse de ces baleines.

Ce qui n’est pas évident, quand on sais
que l’état dictatorial d’Alger, ne se souci même pas de la mort de
ses citoyens, alors que dire des mammifères marins.


Amenay A



«Pourquoi j'ai cessé de porter le hijab» - Poste de veille

27/03/2014





«Pourquoi j'ai cessé de porter le hijab»










Enfin libérée de son tissu de charia!

Screen shot 2014-03-27 at 3.26.45 PM

 Marwa Berro, libérée du hijab



Voici un
extrait du témoignage, aussi essentiel que magnifique, de Marwa Berro
(un nom de plume), une Américaine d'origine libanaise ayant commencé à
porter le hijab à 8 ans au Liban Sud, et qui a pu  - enfin! - s'en
débarrasser après avoir atterri en Amérique du Nord, loin de l'emprise
du Hezbollah, ce groupe terroriste qui la maintenait virtuellement
captive, et qui impose le port de ce tissu de charia.

Alors
qu'ici, nos "féministes islamiques" (par ailleurs souvent sympathiques
au Hezbollah, telles que les Batris Elsy Fneiche et Rima Demanins
Joboury) essaient de nous vendre le hijab comme un rempart contre l'objectivation du corps de la femme, Marwa le vivait plutôt comme hypersexualisant
...





(Away Point)
J’ai commencé à porter le hijab à 8 ans et je l’ai porté pendant 15
ans. J'ai grandi dans une famille chiite très conservatrice qui croit
qu'il est fardh (obligatoire) pour les jeunes filles de
commencer à porter le hijab à 9 ans (lunaires), et j’ai commencé à le
porter l’été précédant cet anniversaire pour éviter de faire la
transition pendant l’année scolaire.

Quand j'étais enfant, il m’apparaissait
juste et naturel de porter le hijab, à l’instar de ma mère et de toutes
ses amies, que je considérais comme des tantes, et quand on m’a demandé
si je voulais le porter, j’ai répondu «oui», comme si un enfant était en
mesure de comprendre les implications d’une telle décision. Les
arguments en faveur du hijab étaient simples et attrayants pour un
enfant : le hijab offre une protection, comme l’huitre protège la perle,
en préservant et sauvegardant ce qu’il y a de plus précieux. C'était
une question de dignité, de fierté, de joie. C’est le système de valeurs
normalisé dans lequel j’étais plongée.

Pendant les 15 années où j’ai porté le
hijab, j’ai traversé plusieurs étapes dans la compréhension de sa
signification, particulièrement après avoir pris conscience que le
merveilleux concept que j’avais apprécié dans mon enfance, était basé
sur une analogie déficiente et déshumanisante entre la femme et des
objets tels que les perles ou les bonbons enveloppés, et surtout en
prenant conscience de la notion de sexualité et de son rapport direct et
irréversible avec le hijab. En bref, le hijab a signifié beaucoup de
choses différentes pour moi à différentes étapes de ma vie, et son
abandon a été un long parcours d’exploration, de questionnement et
d’introspection.

J’ai arrêté de le porter parce que
j’avais de graves problèmes avec l’idéologie qui le sous-tend. Au début,
je voyais le hijab comme une chose humanisante, une protection
empêchant d’être traitée comme un objet sexuel, qui sauvegarde et
préserve. Plus tard, j’ai réalisé que c’était tout le contraire. 

Enfant, le hijab hypersexualisait mon
corps, et je l'ai compris par la façon dont mon corps était considéré
plutôt qu’avec des concepts clairement formulés : je n'avais pas encore
développé de poitrine, or mes bras, mes cheveux et mes jambes devaient
être recouverts de tissu au cas où ils pourraient être vus comme
séduisants ou tentants. Si un bout de tissu était mal ajusté, la
réaction d’urgence et de colère que cela suscitait était révélatrice. Je
ressentais profondément les restrictions concernant mon corps, et les
comportements qui l’accompagnaient : un manque complet de vie privée, la
fouille régulière de mes possessions, l’écoute des conversations
téléphoniques avec mes copines, des questions fréquentes qui tournaient
parfois en interrogatoires. Ces restrictions n’étaient pas indépendantes
du hijab : elles faisaient partie du même système de valeurs de
protection et de sauvegarde, qui revient à limiter vos interactions et
votre corps pour éviter qu’il ne devienne une source de tentation et de
péché.

Source : Unveiled. Three Former Muslim Women Look Back on the Hijab. Part 2: Marwa Berro, Away Point, 18 mars 2014. Extrait traduit par Poste de veille

Un combattant touareg : « C’est l’Azawad ou la mort » | Azawad | Rue89 Les blogs

Un combattant touareg : « C’est l’Azawad ou la mort »



Publié le 17/01/2014 à 17h31


Omeyyata à Tamanrasset, en Algérie (Alissa Descotes-Toyosaki/Rue89)

Omeyyata Ag Ambery, un jeune combattant du MNLA, le Mouvement national pour la libération de l’Azawad qui se bat pour l’indépendance de ce territoire, rencontré à Tamanrasset, nous a livré quelques tranches de sa vie.


Il a 25 ans, a fait des études d’architecture puis est entré dans
le « mouvement » aux côtés du plus irréductible des chefs touaregs, Ibrahim Ag Bahanga. A Kidal, il a été témoin de l’enlèvement des deux journalistes de RFI avant qu’ils ne soient assassinés.



Il a grandi dans le milieu de la rébellion. Toute sa famille était dans le maquis. Il raconte :


« Au début, ça me plaisait juste d’avoir une arme. C’est après que j’ai compris la cause. »



Omeyyata allume une cigarette. Il montre sa photo en tenue de combat,
le regard grave, le drapeau de l’Azawad perché sur son arme a servi
maintes fois d’effigie au MNLA depuis 2012. Pourtant, rien en lui
n’inspire la violence.



« Automatiquement, tu deviens rebelle »


Né à Kidal, capitale du Nord-Mali, dans une famille d’intellectuels,
il est comme ces milliers de jeunes « diplômés chômeurs », qui rêvaient
de faire quelque chose pour leur communauté.



Quand la rébellion éclate en 2006, il était en train de faire des
études d’architecture à Bamako. Là, il ne se sentait pas considéré :



« On te traite de rebelle même quand tu n’as rien fait. Automatiquement, tu deviens rebelle. »



Le non-respect des accords d’Alger
signés en juillet 2006, et qui promettaient le développement de la
région du Nord-Mali, débouche sur une autre insurrection, en 2007. Il
participe alors au mouvement, sous le commandement d’Ibrahim Ag Bahanga.




Omeyyata à Tamanrasset, en Algérie (Omeyyata Ag Ambery)

« Un soldat m’a juré qu’il allait déserter »


Ibrahim Ag Bahanga, « le plus radical des chefs touaregs », évoluait en marge des divers accords de paix, convaincu que le gouvernement malien ne respecterait jamais ses engagements.


Sous son commandement, Omeyyata entrevoit les vrais enjeux de la
cause touarègue. Un des épisodes les plus marquants est la prise en
otages de centaines de soldats maliens. Omeyyata est chargé de les
surveiller :



« Ibrahim les traitait de manière impeccable. Il y avait
des jeunes gens parmi nous qui étaient toujours furieux, prêts à tuer,
ils avaient perdu des frères, mais il y avait toujours ce leader qui les
empêchait de déraper.



C’était facile de tuer les otages, mais on pensait toujours au
lendemain : si nous sommes aussi faits prisonniers par l’armée malienne,
il faut qu’on traite bien nos otages pour qu’on puisse les échanger. »




Pendant leur captivité, les otages maliens sont entrés pour la
première fois en contact avec les Touaregs dans l’intimité du désert.
Certains ont commencé à douter de l’armée malienne qui les laissait pour
compte, et à se demander pourquoi ils combattaient :



« Je me rappelle d’un soldat qui m’a juré qu’il allait
déserter. On leur dit d’attaquer des bandits armés, des trafiquants de
drogue, mais quand ils viennent causer avec nous, et qu’on leur explique
tous nos problèmes et pourquoi on combat, ils comprennent facilement.
Nous avons une cause. Moi ce n’est pas vivre toute ma vie avec une
kalachnikov qui me plaît, je veux avoir un bon avenir, un futur
joyeux. »





Interview d’Omeyyata sur les otages maliens

Le glissement vers le terrorisme


Exilé en Libye, Bahanga meurt dans un accident de voiture en
2011 alors qu’il projette avec le MNLA de ramener des armes de Libye. L’attaque de janvier 2012
menée par les indépendantistes touaregs contre les bases maliennes sera
une victoire explosive. Mais entre-temps, les islamistes se sont déjà
propagés partout. Oumeyatta participe à l’offensive.



Il vit simultanément le plus beau jour de sa vie et son pire
cauchemar, avec la déclaration de l’indépendance de l’Azawad en avril
2012. Mais la trahison d’Iyad Ag Ghali, qui proclame en même temps un
Etat islamiste, plonge le MNLA dans le chaos. Le monde découvre alors
l’importance de l’islamisme dans cette région, avec la présence de
nombreux autres groupes. Pour Omeyyata, ce n’est pas nouveau :



« On a commencé à voir des véhicules d’Aqmi [Al Qaeda au
Maghreb islamique, ndlr] vers 2004. Au début, on ne savait pas d’où ils
venaient, mais après on a compris qu’ils venaient d’Algérie et
s’implantaient chez nous. »




Le recrutement se fait chez les nomades, qui connaissent mal l’arabe
et le Coran. Le chômage fait rage dans la région. Chaque nouvelle recrue
est rémunérée. Mais le pire est à venir avec la naissance du groupe
islamiste Ansar Dine en 2012, dirigé par Iyad Ag Ghali, héros de la rébellion touarègue.



« Iyad était un chef de la rébellion de 1990, de celle
de 2006, puis a été relegué au rang de simple soldat par Bahanga. C’est
pour handicaper le MNLA qu’il a créé Ansar Dine. Les combattants
indépendantistes fidèles à Iyad ont cru à une stratégie, ils n’ont pas
cru que ça irait si loin. Mais actuellement, Iyad les a menés au
terrorisme. »




Chez Ansar Dine, où il compte beaucoup d’amis, les gens ont été « piégés » :


« Tu ne peux pas déserter. Si tu désertes, tu dois trouver une protection auprès du MNLA. »




Interview d’Omeyatta sur l »enrolement

La Minusma ne boit que de l’eau minérale


Depuis l’application de l’accord-cadre de Ouagadougou en juillet 2013, l’armée malienne et les groupes armés touaregs sont cantonnés chacun dans leur caserne à Kidal.


Malgré la présence de la mission Serval et des forces onusiennes de
la Minusma, deux journalistes de RFI ont été assassinés à une dizaine de
kilomètres de la ville. Ils sortaient d’une interview avec Ambery Ag Rhissa, le père d’Omeyyata.



Interrogé par les services français, alors qu’il a poursuivi le véhicule avec les deux journalistes, il déclare :


« J’ai agi car cela s’est passé devant ma propre maison.
Si c’était au marché, je n’allais même pas bouger ! Si je n’avais pas
fait ça, la Minusma allait passer au moins deux jours dans le désert
avant de localiser les ravisseurs… Mais les Touaregs sont habitués : la
France n’est jamais reconnaissante ! »




Le MNLA a été mis en cause dans cette affaire choquante dont
l’enquête continue. Le propriétaire du véhicule était un touareg, mais
affilié à Aqmi.



« C’est facile d’accuser toujours le MNLA et
lesTouaregs, mais celle qui tient les check points à Kidal, c’est la
Minusma. Et qu’est-ce-qu’elle fait la Minusma à part boire de l’eau
minérale ? »




Une manifestation pacifiste
organisée à Kidal a tourné au bain de sang : l’armée malienne a tiré
sur la foule, blessant des enfants et tuant une femme. Omeyyata attend
le déroulement pour savoir s’il va retourner au front.



« C’est l’Azawad ou la mort. »


Le document accablant de l’Union européenne sur la situation en Algérie | TSA-Algérie

Le document accablant de l’Union européenne sur la situation en Algérie

europe



L’Union européenne a publié, ce jeudi 27 mars, un document au vitriol
sur la situation en Algérie. Cet acte diplomatique recense tous les
blocages de l’Algérie et les difficultés rencontrées dans la coopération
avec l’Union européenne (UE).


Les diplomates bruxellois rappellent d’abord que l’Algérie et l’UE
sont liées par un accord d’association signé en 2002, qui est entré en
vigueur en 2005. En décembre 2011, l’Algérie a officiellement indiqué sa
volonté d’élaborer un plan d’action pour mettre en place une nouvelle
politique européenne de voisinage. Ces discussions ont démarré en
octobre 2012 sur la base d’une proposition de l’Union européenne. Une
contre-proposition a été transmise par l’Algérie, le 30 juillet 2013, et
un premier round de négociation s’est tenu à Alger le 13 octobre 2013.
Mais depuis, aucun rapport d’étape n’a été élaboré en l’absence d’un
plan d’action, écrivent, ce jour, les diplomates de Bruxelles dans ce
mémo de l’Union européenne. Ce document dévoile la position de l’Union
européenne à l’égard de l’Algérie.



Lenteur des réformes politiques


Après avoir rappelé le remaniement gouvernemental de l’an dernier,
les diplomates bruxellois notent qu’en ce qui concerne « les réformes
politiques lancées depuis 2012 dans divers domaines, le processus de
mise en œuvre des lois fondamentales est resté lent. Certaines de ces
lois – comme la loi sur les associations – ont aussi des lacunes
évidentes par rapport aux normes et standards internationaux.
D’importants projets de loi sur la réforme du Code pénal et sur le
secteur de l’audio-visuel sont toujours pendantes », écrit l’Union
européenne.



En 2013, pour les diplomates de l’Union européenne, « il n’y a eu
aucun progrès visible dans la mise en œuvre des recommandations de la
mission d’observation électorale de l’UE « mai 2012″ des élections
législatives ». Cette semaine, l’Europe a refusé d’envoyer des
observateurs à l’occasion de l’élection présidentielle du 17 avril. On
comprend mieux pourquoi.



Droits de l’Homme


Bruxelles note également le mauvais comportement d’Alger en matière
de respect des libertés des ONG, « qui n’ont pas possibilité de
coopération internationale ». L’Union européenne note que plusieurs ONG
internationales se sont plaintes aux autorités de l’Union européenne que
leurs représentants ont été incapables, depuis plusieurs années,
d’obtenir un visa pour entrer en Algérie, ce qui entrave leur travail de
coopération avec les ONG locales ».



Concernant le volet des droits de l’Homme, « la situation générale
n’a pas changé de manière significative en 2013. Il y a une perception
d’un manque persistant d’indépendance judiciaire et la situation semble
s’être détériorée par rapport à la liberté d’association et de réunion
(y compris les obstacles pour des syndicats indépendants) ainsi que la
liberté d’expression (y compris pour les blogueurs) », notent les
diplomates européens.



Situation économique : ralentissement de la croissance


Sur l’analyse économique de l’Algérie, les prix des hydrocarbures ont
permis d’augmenter les dépenses publiques « visant à limiter le
mécontentement social dans un contexte régional instable », écrit
Bruxelles et « nécessitant un prix du baril de pétrole bien au-dessus de
100 dollars pour couvrir les dépenses prévues au budget 2014 et cela
pourrait créer des déséquilibres difficiles à réparer en cas de cycle
prolongé de baisse des prix pétroliers », écrivent les diplomates
européens.



L’Algérie occupe le 153e rang sur 189 économies selon le
rapport « Doing Business 2014 » de la Banque mondiale, cité par les
auteurs du document européen.



La croissance économique devrait ralentir, écrivent les experts de
Bruxelles, « passant de 3,3% en 2012 à moins de 3% en 2013. L’inflation
devrait se stabiliser à 5% en 2013 après avoir accéléré à 9% en 2012. Le
taux de chômage en 2013 est resté à des niveaux des années précédentes à
10 %. Le déficit budgétaire continue de baisser à 1,2 % du PIB en 2013
après avoir été de 2,7% en 2012. Le solde du compte courant est positif,
mais a diminué de 6 % du PIB en 2012 à 1% en 2013. Les réserves de
change de l’Algérie ont augmenté à 194 milliards de dollars à la fin
2012, soit l’équivalent de 3,3 années d’ importations, note Bruxelles
pour qui le pays continue d’être trop dépendant des hydrocarbures , qui
s’élèvent à 35% du PIB , plus de 95% des recettes d’exportation et plus
de deux tiers des recettes fiscales en 2012. Les investissements directs
étrangers sont limités, surtout en raison du contexte régional et des
limites à la propriété étrangère et au rapatriement des bénéfices ».

L’administration envoie des agents pour convaincre les citoyens de voter | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie

Tizi Wezzu




C’est la mobilisation générale
pour les agents administratifs. Des fonctionnaires administratifs des
daïras et mairies sont envoyés faire du porte à porte pour distribuer
des cartes de vote aux citoyens qui ne sont pas encore inscrits sur le
fichier électoral.


28/03/2014 - 00:05 mis a jour le 27/03/2014 - 23:04 par


R. Moussaoui

Le fort taux d’abstention qui s’annonce en Kabylie
n’est pas pour arranger les choses pour les décideurs. L’administration
est instruite afin de convaincre les citoyens d’aller aux urnes pour
leur éviter une douche froide le soir de 17 avril prochain.

C’est
la mobilisation générale pour les agents administratifs. Des
fonctionnaires administratifs des daïras et mairies sont envoyés faire
du porte à porte pour distribuer des cartes de vote aux citoyens qui ne
sont pas encore inscrits sur le fichier électoral.

C’est une première en Algérie.

« J’étais étonné de trouver devant ma porte des agents de
l’administration venus me remettre une carte de vote. J’ai refusé de la
prendre et j’ai demandé poliment aux trois fonctionnaires qui ont pointé
leur nez devant ma porte de ne plus revenir. A la mairie, ils nous
chassent comme des pestiférés lorsqu’il s’agit de nous délivrer un
extrait de naissance, et là ils viennent jusque chez nous pour nous
ramener des cartes de vote ! C’est incroyable », a laissé entendre une
habitante excédée de la ville de Tizi Wezzu.


Les fonctionnaires administratifs qui sont forcés d’effectuer cette
tâche ô combien délicate sont dans l’embarras. Ils sont dans
l’obligation de faire du porte à porte, mais aussi de faire face à la
colère des citoyens. « Rares sont les citoyens qui acceptent de prendre
les cartes de vote. « Les citoyens que nous avons sollicités nous
renvoient devant leurs portes. Certains nous ont même insultés. C’est
vraiment une tâche délicate et aucun fonctionnaire administratif ne veut
l’accomplir » », nous a fait savoir un employé de la mairie de Tizi
Wezzu.


R.Moussaoui



jeudi 27 mars 2014

Nicolas Beau résume les forces en présence en Algérie.

Sellal aux Chaouis : "Dieu m'a créé pour aimer les Algériens et les Algé...



Sellal, caillassé par les chômeurs, évacué de Ouargla par la gendarmerie et la police





Caillassé par les chômeurs en colère lors de
son meeting, Abdelmalek Sellal n’a pas pu finir son discours et a été
évacué les gendarmes et une unité d’élite. La salle omnisports étaient
encerclée par de jeunes manifestants en colère. Il a fallu que les
gendarmes ouvrent un couloir protégé entre les manifestants pour lui
éviter d’être blessé par les projectiles.



PS/ Vidéo d’archives, nous reviendrons bientôt avec d’autres informations et images

Maatkas's Blog


 ACAF d’Ath Smail organise sa 12e édition de la poésie berbère



Massidida pour Tamurt.info


 



 
Parrainée par le chanteur Zedek Mouloud et dédiée en hommage à
Mouloud Mammeri, cette édition sera riche en conférences et animation
artistique. Le parrain donnera son concert le deuxième jour, soit le
vendredi, à l’esplanade de la maison de jeunes de la localité.







27/03/2014 – 10:24 mis a jour le 27/03/2014 – 10:24 par Massidida



 





Du jeudi 27 au samedi 29 du mois, l’association culturelle
Adrar N’Fadh (ACAF) de la commune d’Ath Smail, à l’Est de la wilaya de Bgayet, organisera sa 12e édition du festival de poésie d’expression amazigh.



Parrainée par le chanteur Zedek Mouloud et dédiée en hommage
à Mouloud Mammeri, cette édition sera riche en conférences et animation
artistique. Le parrain donnera son concert le deuxième jour, soit le
vendredi, à l’esplanade de la maison de jeunes de la localité.



Plus d’une centaine de poètes, venus d’une dizaine de
wilayas, dont Ichenwiyen, Ichawiyen, Ikbayliyen seront de la partie et
s’y produiront au niveau de cette esplanade.



Toutes les manifestations se dérouleront au niveau de la
maison des jeunes, seule structure en mesure de répondre aux attentes de
la jeunesse dans cette commune rurale déshéritée.



Ce concours de la poésie berbère sera, bien entendu, animé
par de la musique mais également par des conférences lesquelles auront
des thèmes en relation avec la vie active de Mouloud Mammeri. Celles-ci
seront animées par Sara Slimani Ingrachen, Zahir Meksem, Malika Fatima
Boukhelou, Salim Benkhelifa et Saïd Chemakh, entre autres.



Massidida

Indifférence totale en Kabylie | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie

Election présidentielle en Algérie





Personne ne veut entendre
parler de ces élections en Kabylie. En dépit des divergences politiques
et de courants dans la région, tout le monde s’accorde à dire que la
prochaine élection sera une autre mascarade du régime central et raciste
d’Alger.


27/03/2014 - 09:37 mis a jour le 27/03/2014 - 10:05 par


Saïd F.

Rien n’indique à Tizi Wezzu et un peu partout en Kabylie
qu’une élection présidentielle aura lieu dans moins d’un mois.
Certaines personnes ignorent même que c’est le début de la campagne
électorale. L’indifférence est totale. Les représentants des six
candidats ne se sont pas manifestés pour le moment.

Les Quelques posters de Benflis et de son mentor Bouteflika collés ont été vite arrachés par les citoyens.

Personne ne veut entendre parler de ces élections en Kabylie. En
dépit des divergences politiques et de courants dans la région, tout le
monde s’accorde à dire que la prochaine élection sera une autre
mascarade du régime central et raciste d’Alger.


En plus du MAK qui a appelé au rejet pur et simple de toutes les
élections organisées par les forces de l’occupation en Kabylie, le RCD
mène une campagne active en faveur du boycott de l’élection
présidentielle le 17 avril prochain. De son côté, le FFS, une autre
formation politique ancrée en Kabylie, malgré l’ambigüité de sa décision
(ni boycott ni participation), tous les militants de ce parti ont
exprimé, eux aussi, leur rejet du prochain rendez-vous électoral.


« Ils vont bourrer les urnes et l’administration votera à notre insu,
donc il est impératif de prévoir quelques chose au lieu de rester les
bras croisés », suggère un jeune étudiant de Tizi Wezzu.


« La Kabylie n’est pas concerné par ce vote. La seule élection qui
devrait avoir lieu est celle du référendum sur notre autodétermination
et elle devrait être organisé par la communauté internationale pour
faire barrage à la fraude », ajouta en colère notre interlocuteur.



Saïd F.



Maatkas's Blog













Image


La chaîne de télévision religieuse saoudienne Iqraa a
suscité un véritable scandale en Algérie. Cette télévision, propriété du
milliardaire saoudien Cheikh Saleh Kamel, a diffusé récemment une
«fatwa» d’un mufti salafiste algérien du nom de Mohamed Hamen appelant
au meurtre des ibadites, une minorité algérienne qui habite la vallée du
M’zab à Ghardaïa, située à 600 Km au sud de la capitale Alger.


“La Ilah illa Allah, el-ibadhi ‘aduw Allah !” (les ibadites
ennemis de Dieu). Le message de cette fatwa est clair et net : les
ibadites, appelées communément mozabites en Algérie parce qu’ils
résident à Ghardaïa, sont des “impies” qu’il faut abattre et assassiner !
Un appel à la haine diffusé en direct par cette chaîne de télévision
saoudienne très regardée en Algérie notamment par les familles
conservatrices et attachées à la religion.


Trés suivie par les salafistes algériens, Iqraa dipose d’un
véritable pouvoir d’influence dans notre pays. Un pouvoir qu’elle n’a
pas donc hésité à utiliser pour semer la haine et la division au moment
où Ghardaïa brûlait sous les flammes des affrontements communautaires
qui ont opposé ces dernières semaines les Ibadites aux sunnites. Depuis
la diffusion de cette Fatwa par la chaîne Iqraa, de nombreux ibadites
algériens ont exprimé leur indignation. Ces derniers avouent ne pas
comprendre le silence des autorités du pays, que ce soit le Ministère
des affaires étrangères ou celui des affaires religieuses.


A un moment où cette région connaît de dramatiques
événements ayant provoqué la mort de plusieurs citoyens, la diffusion
d’un tel enregistrement est à la fois suspicieux et criminel.
D’ailleurs, les mozabites rappellent que la diffusion de cette fatwa
coïncide souvent avec la reprise des affrontements entre les deux
communautés sunnite et ibadite. Il suffit quelque fois de rien pour que
la situation dégénère. Et cet appel à la haine ne fait que compliquer
une situation d’ores et déjà inextricable.


Avec Elyas Nour

Entretien avec Said Sadi



Publiée le 26 mars 2014



L'actualité en continu reprenant le fil quotidien des articles publiés sur TSA http://www.tsa-algerie.com/

Ferhat Mehenni sera l'invité de Radionumydia ce Samedi 29 Mars 2014 à 20h00

Ferhat Mehenni sera l'invité de Radionumydia ce Samedi 29 Mars 2014 à 20h00



27/03/2014 - 07:45




USA (SIWEL)- L'infatigable et incorruptible militant de la cause
Kabyle et de toutes les causes justes, Ferhat Mehennni, Président de
l'ANNAVAD (Gouvernement Provisoire Kabyle) sera l'invité de Sonia dans
Askasi ce Samedi 29 Mars 2014 à 20h00 (Heure kabyle) / 15h00 américaine,
pour répondre aux questions se rapportant à l’actualité politique
kabyle et internationale, les élections présidentielles algériennes, et
son nouveau livre : LA FRANCE VA T'ELLE PERDRE L'AFRIQUE?




Soyez au Rendez-Vous.








Ferhat Mehenni sera l'invité de   Radionumydia ce Samedi 29 Mars 2014 à 20h00

mercredi 26 mars 2014

OULAHLOU BEST OF



Publiée le 1 juin 2013



Oul Lahlou de son vrai nom Abderrahmane Lahlou est un auteur-compositeur-interprète kabyle
Oulahlou
(en kabyle Ulaḥlu), à ne pas confondre avec Lahlou Tighremt autre
chanteur kabyle, est né le 9 août 1963 à Takorabt, un village de la
commune d'Ighil Ali1, dans la wilaya de Béjaïa en Algérie. Il a suivi
des études supérieures à l'Université de Constantine où il a obtenu un
diplôme en psychologie.
Il se fait connaître avec ses chansons
engagées, comme Pouvoir assassin et Ulac smaḥ ulac (pas de pardon) qui
ont été reprises par les manifestants du Printemps noir de Kabylie de
2001, manifestations contre le pouvoir algérien.
Dans ses chansons,
Oulahlou dénonce la corruption et l'autoritarisme, il revendique la
liberté pour son peuple et la reconnaissance des valeurs identitaires de
la Kabylie, ainsi que la reconnaissance de la langue tamazight comme
langue officielle.1998: Ithvirène
1999: si 1954 ar 1999
2000: uccen d weydi (Le chacal et le chien)
2001: Pouvoir assassin
2002: USU (ulac smah ulac - Pas de pardon)
2005: Azul al Paris (Salut Paris)
2006: Arraw n Tlleli (Les Enfants de la Liberté)
2008: Hemlegh-kem (Amour et Liberté)
2010: Slilwan
2012: Nostalgik

Italie / Plus de deux millions de vénitiens se sont exprimés pour l’indépendance de la Vénétie

Italie / Plus de deux millions de vénitiens se sont exprimés pour l’indépendance de la Vénétie



26/03/2014 - 17:19




TREVIS (SIWEL) — Le 22 Mars 2014, à l’issue d’un référendum
organisé sur le net consacrant la volonté de plus de 2 millions de
vénitiens, la Vénétie a proclamé son indépendance de l'Italie. Les
initiateurs du référendum en ligne est un groupe d’activiste réunis
dans une organisation du nom de « Plebiscito.eu » ; une organisation
qui se définie comme un soutien au droit des peuples disposer
d’eux-mêmes. Après la grande réussite du référendum pour l'indépendance
de la Vénétie « Plebiscito.eu » s’est dit déterminé à aider les autres
régions d’Italie pour organiser la mise en œuvre de la révolution
numérique. La Sardaigne a déjà annoncé son intention de prendre part à
la révolution numérique et le projet est discuté dans le Frioul et en
Sicile.





« Piazza dei Signori à Trévise » où les résultats et la déclaration d'indépendance de la Vénétie (PH/DR)

« Piazza dei Signori à Trévise » où les résultats et la déclaration d'indépendance de la Vénétie (PH/DR)

Malgré la réussite spectaculaire du référendum organisé en ligne
pour l’indépendance de la Vénétie , l’évènement a été victime d’un
black-out médiatique total. A l’unanimité, tous les médias européens se
sont accordés à ignorer la volonté de la Vénétie alors que plus de deux
millions de vénitiens se sont exprimés pour leur indépendance d’avec
l’Italie.




Après 5 jours de consultation, 2 102 969 (deux millions cent deux
mille neuf cent soixante-neuf) vénitiens se sont exprimés, dans un
référendum mis en ligne par « Plebiscito.eu », en faveur de
l'autodétermination de la Vénétie. La Vénétie se trouve au nord-est de
l’Italie. Elle compte près de 5 millions d'habitants et dispose de 7
provinces : Venise, qui en est la capitale, Belluno, Trévise, Vicence,
Padoue, Rovigo et Vérone, la célèbre ville de Roméo et Juliette.




Le 21 Mars 2014 à 19h, l’organisation « Plebiscito.eu » a rendu public les résultats ci-dessous :




Votes valides (suffrages valablement exprimés) = 2 360 235, représentant 63,23% des personnes habiles à voter.




« OUI » = 2 102 969, représentant 89, 10% des suffrages valablement exprimés.




« NO » = 257 266, soit 10,90% des suffrages valablement exprimés.




« NULL » (blanc) = 6 815, correspondant à 0,29% des suffrages valablement exprimés




Les organisateurs du référendum ont assuré qu’ils étaient
disposés à mettre ces résultats à la disposition de l'État italien et de
l'Union européenne. Ils ont également affirmé que les procédures, les
méthodes et les résultats de l’évènement sont disponibles à tout
contrôle du corps international légitime dans un contexte d'observation
et de surveillance international tel que requis par les normes
internationales et auxquels tous les Etats doivent légalement se
conformer. Ils ont affirmé que le suffrage exprimé en faveur de la
volonté du peuple de Vénétie à disposer de lui-même est massif et
irréfutable.




Aussi, à l’issue de ce référendum organisé par « Plebiscito.eu »
qui a opté pour l’usage de la révolution numérique pour défendre le
droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et contourner pacifiquement et
démocratiquement les blocages étatiques, une foule immense s’est réunie
sur la place « Piazza dei Signori à Trévise » où la déclaration
d’indépendance de la Vénétie a été lue par Gianluca Busato, le président
de « Plebiscito.eu », le groupe citoyen qui a organisé la consultation
référendaire en ligne.




voir-dessous, la vidéo








La Déclaration d’indépendance de la Vénétie a fait une longue
référence à l’Histoire millénaire de l’organisation originale et
ininterrompue de la Vénétie qui avait su conserver sa liberté dans le
cadre d’un pacte fédéral avec la puissante Rome antique et le sénat de
Constantinople. Référence a aussi été faite à la République de Venise du
VIIe siècle et au rattachement de la Vénétie à la nouvelle république
italienne à la suite de l’émergence des Etats-nations en Europe.





Nous vous proposerons prochainement la traduction complète de la déclaration d’indépendance de la république de Vénétie.


Tôt ou tard, « l’Europe des Nations » devra céder la place à «
l’Europe des peuples » car autant la première est artificielle et basée
sur la négation de nombreux peuples marginalisés et niés dans leur
existence au profit de Nations artificielles, autant la seconde est
naturelle car elle correspond à la réalité historique des peuples et
émane de la volonté de ces mêmes peuples : La Catalogne et l’Irlande en
sont des exemple emblématiques. La Vénétie vient de leur emboîter le
pas, d’autres suivront certainement le chemin de la liberté… affaire à
suivre !





zp,


SIWEL 261719 MARS 14

Rif / Ilyas El-Omari est-il derrière le dossier d'Al-Massae contre Al-Khattabi?

Rif / Ilyas El-Omari est-il derrière le dossier d'Al-Massae contre Al-Khattabi?


26/03/2014 - 18:13

Le quotidien marocain arabophone Al-Massae a publié un dossier sous
le thème "L'autre visage de l'émir Mohamed Abdelkarim Al-Khattabi" dans
son numéro 2327, le 20 mars 2014. Le dossier constitue globalement un
ensemble de rumeurs contre la mémoire du président de la république du
Rif "Mulay Muhand", et contre l'Histoire collective des rifains en
général.« Al-Khattabi utilisait les gazs toxiques contre les soldats
espagnols et français », « quand les rifains brulaient la propre maison
d'Al-Khattabi », « le pauvre journaliste chez les espagnols » ...etc.
Tels sont certains titres des articles publiés dans ce dossier du
quotidien amazighophobe.


Abdelkrim El Khattabi au tribunal au Maroc, après avoir été capturé par les Espagnols à la fin de la guerre du Rif en 1926 (PH/DR)

Abdelkrim El Khattabi au tribunal au Maroc, après avoir été
capturé par les Espagnols à la fin de la guerre du Rif en 1926 (PH/DR)

Opinion : lyas El-Omari est-il derrière le dossier d'Al-Massae contre Al-Khattabi?

par El Azrak Fikri (fikri2959@yahoo.fr)

Le quotidien marocain arabophone Al-Massae a publié un dossier
sous le thème "L'autre visage de l'émir Mohamed Abdelkarim Al-Khattabi"
dans son numéro 2327, le 20 mars 2014. Le dossier constitue globalement
un ensemble de rumeurs contre la mémoire du président de la république
du Rif "Mulay Muhand", et contre l'Histoire collective des rifains en
général.

« Al-Khattabi utilisait les gazs toxiques contre les soldats
espagnols et français », « quand les rifains brulaient la propre maison
d'Al-Khattabi », « le pauvre journaliste chez les espagnols » ...etc.
Tels sont certains titres des articles publiés dans ce dossier du
quotidien amazighophobe. Le journal est la propriété du scénariste et
réalisateur Mohamed EL Asli, très connu dans les affaires de trafic des
devises et de l'immigration clandestine des syriens (l'immigration qui
était dans le cadre d'arabiser et d'islamiser les zones qui gardent
encore leur amazighité, une action mise en place bien avant la
révolution syriene).

Ce dossier de presse a complètement pour le bût de détruire
l'image de Mohand Abdelkarim Al-Khattabi, marquée par l'or et le sang de
la dignité. Il est un poison, contre tous ceux qui croient a la
libération, dans une époque historique où les rifains marchent dans le
chemin de l'indépendance, et désirent réaliser ce projet politique
commencé dans les années vingt du siècle dernier par Al-Khattabi
lui-même.

Alors, qui est derrière ce poison des services secrets marocains
qui veulent tuer l'esprit de la résistance rifaine? et qui le premier
bénéficiaire de la destruction du chemin de la libération déjà tracé
par Abdelkarim Al-Khattabi?

On sait bien que la plus grosse tête des services secrets
marocains qui s’occupe de la cause du Rif est "Ilyas El-Omari" eton sait
aussi qu’il est arrivé au pouvoir sur le dos du Rif, notamment sur le
dossier des gazs toxiques. Or, l'homme est maintenant menacé de perdre
son poste au pouvoir après que certains mobilisations des rifains
remettent à l’ordre du jour cette question et remettent en cause les
thèses établies.

N'oublions pas aussi que cet homme, El-Omari, était derrière une
série d’interviews réalisés par ce quotidien même avec Aïcha
Al-Khattabi, la fille de Mohamed Abdelkarim Al-Khattabi, en 2009 (durant
le mois de ramadan), ou elle déclarait une série des proclamations où
elle transmettaient la vision du régime marocain à propos de la causes
du Rif, le rapatriement de la dépouille d'Al-Khattabi, l'équité et
réconciliation, la relation entre le Rif et la monarchie...etc; et
surtout où elle critiquait tous les rifains qui réclament certains
droits. Elle était dans ses déclarations la fidèle porte-parole du
Makhzan ! Le pire, est qu'elle disait dans ce même contexte d'interview
que "l'appel à l'autonomie du Rif est une parole vide !", elle dont le
père avait défié trois Etats, dont deux puissances internationales : la
France et l’Espagne, pour la liberté du Rif...

Il n’y a pas de doute que l'homme des mauvais services d'El-Himma,
Ilyas El-Omari, a une grande relation avec ce quotidien. C'est lui qui
était derrière tout ce qui a été publié dans ce journal contre le Rif.
Cela signifie que c’est lui qui est derrière ce dossier contre la
mémoire d'Al-Khattabi et contre notre histoire collective, parce que
c’est lui tire un profit personnel de tout ce qui passe contre le Rif et
les droits des Rifains et cela est une chose connue de tous !


Dépêches de SIWEL - Agence kabyle d'information : L’association Franco-Berbère Tilleli de Soissons organise le 12 avril une conférence avec M. Ferhat Mehenni


26/03/2014 - 14:57 par


SIWEL - Agence kabyle d'information


SOISSONS (SIWEL) — A l’ occasion du 34è anniversaire du Printemps
Amazigh et du 13è anniversaire du printemps Noir, l’association
Franco-Berbère Tilleli de Soissons organise une conférence avec M. Ferhat Mehenni, Président du Gouvernement provisoire kabyle (Anavad). La conférence est programmée le 12 avril à 14h à « Halte Fluvial », Rue Ernest Ringuier, 02200 Soissons.



L’association Franco-Berbère Tilleli de Soissons organise le 12 avril une conférence avec M. Ferhat Mehenni


A l’ occasion du 34è anniversaire du Printemps Amazigh et du 13è
anniversaire du printemps Noir, l’association Franco-Berbère Tilleli de
Soissons organise une conférence avec M. Ferhat Mehenni, Président du
Gouvernement provisoire kabyle (Anavad).

Date : 12 avril

Lieu : « Halte Fluvial », Rue Ernest Ringuier, 02200 Soissons.

Heure : 14h
Entrée gratuite



SIWEL 261319 MARS 14




Conférence-débat le 26 avril avec M. Lyazid Abid : « L’indépendance de la Kabylie : pourquoi et comment ?»

Conférence-débat le 26 avril avec M. Lyazid Abid : « L’indépendance de la Kabylie : pourquoi et comment ?»



26/03/2014 - 13:44




PREVERENGES (SIWEL) — A l’ occasion du printemps Amazigh,
l’association Kabylie-Suisse organise une conférence-débat le 26 avril
avec M. Lyazid Abid, Vice-président du Gouvernement provisoire kabyle,
juriste, chargé des relations internationales au sein de l’Anavad,
autour du thème « L’indépendance de la Kabylie : pourquoi et comment
?». La conférence débat sera suivi d’un couscous traditionnel et d’une
soirée dansante.






Conférence-débat le 26 avril avec  M. Lyazid Abid : « L’indépendance de la Kabylie : pourquoi et comment ?»



L’évènement est organisé le 26 avril , en Suisse, à la salle
polyvalente de Préverenges, Chemin du Collèges 1028 Préverenges, à
partir de 18h30.





Au programme il y a :





A 19h : Une conférence-débat avec M. Lyazid Abid , Vice-président
du Gouvernement provisoire kabyle, juriste, chargé des relations
internationales au sein de l’Anavad, autour du thème « L’indépendance
de la Kabylie : pourquoi et comment ? »





A 20h15 : Un dîner avec au menu un couscous traditionnel kabyle





A 21h30 : Une soirée dansante animée par You You, célèbre DJ à
Frankfurt en Allemagne et moniteur de danse salsa et zumba.





SIWEL 261344 MARS 14

Blog de ram1546 - http://ram1546.skyrock.com/. - Skyrock.com

Election présidentielle en Algérie Le recrutement des voyous a commencé à Tizi Wezzu

Election présidentielle en Algérie Le recrutement des voyous a commencé à Tizi Wezzu


Election présidentielle en Algérie
Le recrutement des voyous a commencé à Tizi Wezzu par Saïd Bouteflika
Saïd F. pour Tamurt.info

Une somme de 10 milliards de centimes a été débloquée par les frères Haddad qui gèrent l'empire des travaux publics, pour payer les barons de la drogue, les dealers, des prostituées et des proxénètes afin de mener une campagne en faveur du « candidat alité ».
25/03/2014 - 16:05 mis a jour le 25/03/2014 - 17:48 par Saïd F.
Devant le rejet presque quasi-total de la population de Tizi Wezzu de la prochaine élection présidentielle, où même les opportunistes n'osent pas s'afficher, les relais du régime au niveau local, notamment ceux de clan de Bouteflika, n'ont d'autres choix que de faire recours aux services de voyous et de repris de justice.
Une somme de 10 milliards de centimes a été débloquée par les frères Haddad qui gèrent l'empire des travaux publics, pour payer les barons de la drogue, les dealers, des prostituées et des proxénètes afin de mener une campagne en faveur du « candidat alité ».
L'information a été confirmée par plusieurs sources, dont certains opportunistes mécontents de n'avoir pas bénéficié d'une somme d'argent aussi importante que 2009.
D'ailleurs, les partisans de Bouteflika ont si peur de la réaction de la population locale que la permanence de Bouteflika est installé dans le lointain quartier des Corbeaux, à l'Hôtel Fayçal plus exactement.
Aux alentours de cet hôtel, des repris de justice, des voyous et des va-nu-pied tout de bord font la garde. Les proxénètes ont aussi abandonné momentanément leur fonction initiale pour se donner entièrement, l'espace d'une campagne à la politique, à leur manitou !
Les partisans de Bouteflika n'ont pas donné signe de vie pour le moment à Tizi Ouzou. Ils sont restés dans les hôtels pour le moment.
Ils ont certainement peur de la vindicte populaire, en dépit de la surveillance policière dont ils bénéficient.
Saïd F.

Maatkas's Blog

 
 
 

 
25/03/2014 – 20:58 mis a jour le 25/03/2014 – 20:58 parCongrès Mondial Amazigh
 

CONGRES MONDIAL AMAZIGH
AGRAW AMADLAN AMAZIGH
France : Le Président de l’association Tamaynut-France agressé 
au Consulat du Maroc à Colombes
Ali Id Aissa est président de l’association Tamaynut-France, une association qui œuvre dans le domaine de la promotion de la langue et de la culture amazighes en France. Le 19 mars dernier il s’est rendu au Consulat du Maroc à Colombes (département 92-Hauts-de-Seine) dans la région parisienne, pour déposer un dossier destiné au Ministère des Marocains Résidents à l’Etranger, contenant les candidatures des trois enseignants de l’Amazigh, répondant à l’appel à candidature lancé par le Ministère en partenariat avec l’Institut Royal de la Culture Amazighe.
Un fonctionnaire du Consulat reçoit les dossiers et M. Id Aissa demande un récépissé de dépôt des dossiers, ce que le fonctionnaire a accepté de faire mais le vice-consul, M.Hassan Daloul a refusé de délivrer ledit récépissé et s’est mis à poser une séries de questions telles que : « que faites-vous dans l’association ? Pourquoi vous ne venez jamais à nos réunions ? Vous devriez nous fournir des rapports périodiques sur vos actions », etc. Le Président de Tamaynut-France a alors répondu que son association était indépendante de l’Etat marocain et n’a donc aucun compte à rendre au consulat du Maroc. Il a également fait remarquer au vice-consul le mauvais accueil et le traitement discriminatoire réservés généralement aux associations amazighes. A ce moment-là, le consul lui-même, M. Ali Semlali, est intervenu d’une manière arrogante et méprisante en clamant : « on fait ce qu’on veut ici ».
Un fonctionnaire s’est alors mis à éparpiller les feuilles du dossier de l’association et en a même déchiré plusieurs. Le président de l’association a alors sorti son téléphone portable pour prendre des photos de la scène mais le vice-consul lui a sauté dessus, lui tordant violemment le bras pour lui arracher son téléphone. Les autres fonctionnaires sont également intervenus pour prêter main forte à leur chef. Il s’en est suivi une grande bousculade qui a causé plusieurs traumatismes à M. Ali Id Aissa, constatés par un médecin qui lui a prescrit 5 jours d’arrêt de travail.
La police est ensuite arrivée et a escorté M. Id Aissa jusqu’au commissariat de Colombes pour entendre sa version des faits mais sans possibilité de déposer plainte contre le consul et son adjoint, car ils bénéficient de l’immunité diplomatique.
Bien que c’est le président de l’association qui a été victime d’une agression verbale et de violences physiques ayant entrainé une incapacité de travail, on apprend que c’est le vice-consul qui a porté plainte contre M. Id Aissa, qui est convoqué devant le TGI de Nanterre pour le mois d’octobre 2014.
Compte tenu des faits mentionnés et du fait que M. Id Aissa jouit de notre totale confiance et qu’il est réputé pour son intégrité morale, le Congrès Mondial Amazigh déclare :
- Sa totale solidarité avec le Président de Tamaynut-France, 
- Son soutien pour toute action, y compris judiciaire, contre les fonctionnaires du Consulat du Maroc à Colombes, auteurs des violences contre un citoyen, 
- Dénonce fermement le racisme et le comportement de police politique de la part des irresponsables du consulat du Maroc à Colombes, 
- Demande au gouvernement marocain de relever immédiatement de ses fonctions, son consul et son adjoint à Colombes.
Le CMA exige une administration de l’Etat marocain au service de tous les citoyens sans distinction et l’arrêt immédiat des pratiques racistes anti-Amazighs.
Paris, le 21 mars 2014
Le Bureau du CMA