Tizi Wezzu
« 3 000 policiers envoyés en Kabylie »
Karima Oufli pour Tamurt.info
Sachant que le taux de participation sera insignifiant en Kabylie, puisque toutes les tendances politiques dans cette région, le FFS, le RCD et surtout le MAK ont opté pour le rejet des élections, les décideurs veulent sauver la face ont envoyant des électeurs dans cette région. Ce scénario n’est pas nouveau. Par le passé le régime algérien, grand spécialiste en fraude électoral, avait envoyé des policiers pour remplir les urnes en Kabylie.
16/04/2014 - 18:37 mis a jour le 16/04/2014 - 19:53 par
Les services de sécurité ont envoyé plus de 3 000 policiers supplémentaires enKabylie ces dernières 48 heures, selon une source sûre. Ils sont arrivés dans la nuit et les hommes en tenue bleue se sont éparpillés à travers plusieurs carences de la région de Tizi Wezzu. D’autres policiers sont attendus cette semaine, soit à la veille des élections. Ils ont été mutés pour une durée indéterminée. La majorité d’entre eux viennent de la région Est de l’Algérie, soit de Constantine, Skikda et Annaba, ajoute notre source.
La raison de cet envoi en nombre aussi important de policiers supplémentaires en Kabylie n’est pas donnée par notre source. Mais toute porte à croire qu’il s’agit d’une opération de fraude à grande échelle que le régime à concocté.
Sachant que le taux de participation sera insignifiant en Kabylie, puisque toutes les tendances politiques dans cette région, le FFS, le RCD et surtout le MAK ont opté pour le rejet des élections, les décideurs veulent sauver la face ont envoyant des électeurs dans cette région. Ce scénario n’est pas nouveau. Par le passé le régime algérien, grand spécialiste en fraude électoral, avait envoyé des policiers pour remplir les urnes en Kabylie.
Sachant que le taux de participation sera insignifiant en Kabylie, puisque toutes les tendances politiques dans cette région, le FFS, le RCD et surtout le MAK ont opté pour le rejet des élections, les décideurs veulent sauver la face ont envoyant des électeurs dans cette région. Ce scénario n’est pas nouveau. Par le passé le régime algérien, grand spécialiste en fraude électoral, avait envoyé des policiers pour remplir les urnes en Kabylie.
Les policiers sont appelés aussi à faire face en cas de dérapage au niveau des bureaux de vote, ou au lendemain de l’élection. Un soulèvement populaire n’est pas à écarter. La tension est très palpable en Kabylie. Tous les scénarios sont possibles.
Karima Oufli
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