meeting de Sellal à Tizi Wezzu
Des moyens sécuritaires qui n’ont jamais été utilisés pour éradiquer l’insécurité et le terrorisme le plus sanglant qui frappe la Kabylie. Pire encore, des groupes de mafieux très connus dans la ville de Tizi Wezzu ont été payés pour épauler les forces de sécurité. Mais ces derniers sont restés en marge, car ayant la peur au ventre d’être confrontés à des militants courageux, motivés par des principes dignes, et déterminés, non pas par des miettes d’argent sale.
07/04/2014 - 00:22 mis a jour le 07/04/2014 - 13:23 par
La sortie électorale de Abdelmakel Sellal, d’hier à Tizi Wezzu, fut une grande foutaise, à la mesure du comique qu’est ce chef de campagne du candidat mourant, Abdelaziz Bouteflika. C’est également le cas de tous les larbins, et mafieux locaux qui ont organisés cette sortie, pour le moins que l’on puisse dire, rocambolesque. Mais que veulent-ils faire croire ? Personne n’est dupe de leurs mises en scène des plus absurdes.
Le régime dictatorial d’Alger n’a pas du tout lésiné sur ses efforts pour réussir sur la forme, puisque sur le fond, c’est chose impossible à réussir en Pays kabyle avec de telles marionnettes politiques.
Ainsi donc, des moyens de guerre ont été mobilisés pour assurer la sécurité de Sellal, et des morveux locaux contre les manifestants kabyles venus en nombre pour crier leur rejet total de toute mascarade électorale du système despotique d’Alger, en Terre kabyle.
Des chars de l’armée algérienne coloniale ont été mobilisés pour la circonstance, postés tout au long de l’axe Alger-Tizi Wezzu. Plus de 5 milles policiers sont appelég en renfort pour sécuriser le lieux où s’est déroulé le meeting, à la maison de la culture de Tizi Wezzu.
Ainsi donc, des moyens de guerre ont été mobilisés pour assurer la sécurité de Sellal, et des morveux locaux contre les manifestants kabyles venus en nombre pour crier leur rejet total de toute mascarade électorale du système despotique d’Alger, en Terre kabyle.
Des chars de l’armée algérienne coloniale ont été mobilisés pour la circonstance, postés tout au long de l’axe Alger-Tizi Wezzu. Plus de 5 milles policiers sont appelég en renfort pour sécuriser le lieux où s’est déroulé le meeting, à la maison de la culture de Tizi Wezzu.
Des moyens sécuritaires qui n’ont jamais été utilisés pour éradiquer l’insécurité et le terrorisme le plus sanglant qui frappe laKabylie. Pire encore, des groupes de mafieux très connus dans la ville de Tizi Wezzu ont été payés pour épauler les forces de sécurité. Mais ces derniers sont restés en marge, car ayant la peur au ventre d’être confrontés à des militants courageux, motivés par des principes dignes, et déterminés, non pas par des miettes d’argent sale.
Par ailleurs, cinq bus ont été dépêchés d’Alger, tôt dans la matinée d’hier, sous escorte, remplis de « citoyens-applaudisseurs » pour servir de décor à l’intérieur de la salle.
Cela alors que Sellal, déclarait hier àBgayet que les manifestants qui l’ont humilié dans cette ville venaient « d’autres wilayas ». Mais, en réalité, qui vient des « autres wilayas » ? Les manifestants ou les applaudisseurs pour un sandwich ?
Cela alors que Sellal, déclarait hier àBgayet que les manifestants qui l’ont humilié dans cette ville venaient « d’autres wilayas ». Mais, en réalité, qui vient des « autres wilayas » ? Les manifestants ou les applaudisseurs pour un sandwich ?
En tout, au maximum une vingtaine de personnes de Tizi Wezzu ont participé à ce semblant de meeting de Sellal, et encore, ces personnes sont, soit payées, soit induises en erreur, ou carrément forcées d’y être présentes. Abdelmalek Sellal s’est prêté à un discours des plus archaïques, fade, sans queue ni tête.
Sinon, aucun kabyle digne de ce nom ne pourra applaudir un tel énergumène politique, ni soutenir un système dictatorial et sanguinaire qui les opprime dans leurs droits les plus élémentaires.
Sinon, aucun kabyle digne de ce nom ne pourra applaudir un tel énergumène politique, ni soutenir un système dictatorial et sanguinaire qui les opprime dans leurs droits les plus élémentaires.
Les convictions et les principes politiques sont deux choses qui restent à inventer dans le sillage du petit nain d’Oujda. Un clan qui ne connaît que la rapine, la corruption, la traîtrise et les sales manœuvres. Une chose est sûre, le vote n’aura pas lieux au Pays kabyle, car son peuple a vomi ces imposteurs depuis belles lurettes.
Amenay A
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire